Einstein au fitness
La récente publication d'écrits restés cachés de monsieur Einstein montre un côté de ce personnage que nous ne connaissions pas, un côté raciste pour être précis. Cela ne constitue pas en soi une énorme surprise, mais après avoir bien soupesé cette récente découverte, je puis dire aujourd'hui que c'est plus la bêtise arrogante que le racisme en tant que tel qui frappe l'intellect dans ces quelques mots posés par sa main suite à son voyage en extrême-orient.
Ici certains répondront que la bêtise arrogante n'est jamais très loin quand le racisme est là, certe.
Sans aller jusqu'à la théorie du complot qui consiste à dire que ce sont les nazis (les premiers bénéficiaires de la découverte de la physique quantique) qui ont découvert la bombe, et que les USA ont reçus leurs premiers lots d'uranium enrichi par zyklotron livrés par u-boot avec toute une grappe de scientifiques exfiltrés à la fin de la guerre, il n'en reste pas moins qu'à la lecture des stupidités bien embourgeoisées issues de cet esprit, on ne peut s'empêcher de se dire que ce mec était quand-même... comment dire... pas aussi intelligent que l'on veut nous le faire croire. La question se pose ensuite naturellement ; mais comment a-t-il fait pour découvrir de telles équations alors ?
E=MC2 explique à merveille le comportement de la lumière dans le cosmos, ainsi que son interaction avec la matière, ou la gravité, si mon souvenir est bon, mais c'est bien la physique quantique qui permet de résoudre les problèmes du comportement de l'électron par exemple, ce petit truc qui a une masse quasi nulle, mais qui interagit quand même avec la masse... bref... sachant que tout ce petit monde (Heisenberg, Einstein, Oppenheimer, etc) s'envoyaient des courriers tout le temps dans le cadre de la découverte du nucléaire en général, on est en droit de se demander si c'est vraiment celui que le pouvoir en place a placé au pinacle qui était le plus intelligent. C'est Hahn qui a découvert la fission, c'est Heisenberg qui a découvert la physique quantique, c'est Oppenheimer qui deviendra le 'destructeur des mondes'...
Ici place à la gloire historique redécouverte :
'Les chinois s'accroupissent pour manger comme les européens quand ils se soulagent dans les bois'
Passons sur les questions relatives au contexte et à l'époque, le débat est stérile et je ne manquerai pas de terminer mon article par les trois références que sont le Guardian, le Figaro et RT France, afin de donner tout le loisir à mes lecteurs de bien comprendre que le vieux que je soupçonne d'usurpation avait un gros morceau de bêtise bien implanté dans son cerveau qui finira pourtant découpé en morceaux dans un espoir d'y trouver une trace de génie... (recherches infructueuses il faut le noter, bien que certains aient affirmé qu'il y avait là plus de cellule gliales, ou que l'organisation de ce dit cerveau était particulière).
Génie ou pas, les chinois étant des êtres inférieurs ou pas, il y a une chose de sûre, c'est que monsieur Einstein ne pratiquait pas beaucoup le bivouac.
Lorsque vous portez un sac de 35 kilos et que vous crapahutez sur des pentes abruptes, il y a bien un geste que vous faites souvent, c'est celui de vous accroupir, ça soulage les jambes, ça donne du sang au cerveau, ça soulage le poids et permet aux poumons écrasés de se redéployer. En outre, vous évitez de vous salir le pantalon par terre, et vous relever sera d'autant plus facile. Se mettre sur les genoux est bien trop douloureux. Comme il est rare d'emporter un fauteuil Corbusier avec soi, une fois le campement construit, toutes les tâches qui se passent au niveau du sol vous imposent la même position. Même si le sac n'est plus sur votre dos, c'est dans l'esprit d'économiser vos pantalons au niveau des fesses et des genoux que cela s'impose de soi-même, sans parler des articulations qui en sont recouvertes. Résultat de la course (à pied), ça fait accessoirement faire plein de 'squatts', et ça c'est pas mauvais du tout.
Les gens ne pratiquaient que rarement le bivouac en tant qu'activité de plein air à cette époque c'est possible, mais ne me dites pas qu'à l'armée ils ne connaissaient pas ces pratiques, porter un sac, poser un campement, et faire un feu. Il me semble que leurs genoux se pliaient dans le même sens que les miens.
J'essaie ici de comprendre pourquoi cette position est immédiatement assimilée à l'expulsion des matières fécales chez cet homme dont le cerveau a quand-même été volé après sa mort.
Il s'agit d'un génie qui était lui même gêné par son propre succès, et qui avait pris des dispositions particulières afin que son corps ne fasse pas l'objet de pratiques bizarres après sa mort.
On pourrait citer tout un tas de sages femmes qui affirment avec raison et statistiques à l'appui que cette position est la meilleure pour faciliter l'accouchement, dans la mesure où elle a la force de se tenir de la sorte, ça évite toute cette cacophonie de 'poussez, poussez...' Ici on admet plus facilement que monsieur Einstein ne soit pas coutumier des salles d'accouchement, et qu'il ait également été ignorant des pratiques ancestrales et coutumières d'accouchement. Ces dernières ayant sans doutes été plus protégées par les nazis justement. C'est quand-même eux les racistes ici, non ?
Un père qui revient à la maison où il retrouve son fils de 4 ans, ne s'accroupit-il pas ?
Le nombre de situations probables est donc non négligeable, je me permets donc de mettre en relation sont choix comparatif non pas avec de la haine et du racisme, mais avec l'âge mental auquel il était resté coincé dans son évolution enfantine personnelle, cela débouchant sur une attitude infantile et ridicule, et nul doute que c'est bien là qu'il faut chercher la raison pour laquelle ces notes-là sont restées cachées. C'est un aveu de culpabilité.
Avant le racisme évident et l'infantilité traumatique, c'est l'arrogance qui frappe ici je trouve, et je vous épargne les autres extraits de ces écrits qui sont tout autant stupides, et qui montrent bien à mon avis que cet homme n'avait très probablement pas l'intelligence dont il a été crédité. Cela rappelle le crédit abusif donné à Edison (inventeur de l'ampoule à incandescence) en rapport avec le génie de Tesla (inventeur du courant alternatif). C'est courant chez les franc-maçons de faire ce genre de trucs, une histoire de bourgeois cherchant par tous les moyens à tirer profit de tout ce qui passe dans leur environnement proche.
Mais faites cette expérience, sortez dans le rue en ville, et accroupissez-vous sur le trottoir, un peu en retrait pour ne pas vous faire marcher dessus à une époque où les gens ont la tête dans leur écran, et choisissez une activité qui justifie votre position aux yeux du public. Ne choisissez pas vos habits du dimanche, mais des habits les plus normaux possibles. On peut ainsi parler à un enfant, consulter son portable, ou caresser un petit chien (prenez-en un qui soit gentil). Conscient que vous êtes de faire une expérience scientifique de premier ordre d'une portée sociologique dangereuse, revêtez-vous de votre cape invisible d'espion, et jetez discrètement un œil sur le regard des passants qui évitent votre petit attroupement improvisé. Suivant la ville, suivant la proximité avec les centre les plus en vue de consommation de bien de seconde nécessité, vous constaterez bien vite que l'on vous regarde de haut. Et ce n'est pas tant l'aspect gravitationnel ou géométrique qui doit attirer notre attention ici, plus que l'aspect sociologique. Vous êtes plus bas, vous êtes donc méprisable. Mais alors si c'est l'altitude qui définit la valeur, pourquoi ne pas se payer des échasses ? Trop dangereux ? Nul doute que le conducteur de Range-Rover a trouvé une façon de se payer des échasses à roulettes !
Et que dire de ces gens qui abusent des déplacement en jets privés ? Qu'ils se sont trouvés des échasses à réacteurs ? Ne rentrons pas ici dans la douloureuse question de savoir qui finance le carburant d'un tel déplacement, ce n'est pas la question de ces quelques lignes sans prétentions sur le rapport entre l'articulation du genou et le fonctionnement du cerveau. Prendre l'air aère l'esprit.
Mais on est en droit de se demander comment il se fait que certaines personnes ne réalisent pas à quel point il est stupide de se faire des ennemis en masse en voulant absolument les prendre de haut, au lieu de profiter tout simplement d'une bonne ballade en voiture blindée.
Accroupi sur votre trottoir, il vous sera très difficile de ne pas mal prendre le regard de certaines personnes sur vous, vous verrez.
Si on doit rester debout pendant des heures, faire quelques 'squatts' est libérateur, expérience faite.
Et quitte à marcher longtemps, autant le faire en terrain irrégulier, on vous l'a assez dit si vous êtes familier des sports d'hiver, 'Pliiiiiez les jambes' !
Si vous oubliez ce conseil, attention à la compression inattendue, ou à la plaque de verglas sournoise.
'Plaaaanter du bââââton, monsieur Duce !'... Prenez l'exemple de Starsky bien posé sur ses deux cuisses pliées à moitié, les bras tendus et bien accrochés sur son p38, en train de forcer au respect ses ennemis, l'auriez vous comparé à un homme en train de déféquer ? Ou prenez les photos des brigades rouges (qui étaient en fait bleues), dans une position similaire au milieu de la rue, distribuant des pastilles en plomb avec la même arme ? Pensez-vous que les flics en face avaient envie de se moquer d'eux de la sorte ?
Ou pensez-vous que leur attention se portait sur l'imminence éventuelle d'une décharge rectale intempestive ? Il faut ici préciser qu'il est parfois vrai que l'on se 'chie au froc' dans des situations pareilles, mais c'est anecdotique, rien à voir avec le fait de manger du riz sur un trottoir, dans une ville ou cela ne viendrait à personne de penser de la sorte...
Je me permet ici de présenter des excuses à mes lecteurs assidus, afin qu'ils comprennent que la récente surabondance de sujets relatifs aux excréments est bien indépendante de ma volonté, comment aurais-je pu savoir que Albert serait à l'origine d'une telle focalisation sur le plus infernal des plexus nerveux si l'on en croit les Tibétains ?
Donc pour en revenir aux questions précédentes, si la réponse est majoritairement oui, il est temps de consulter, mais évitez je vous en prie les vieux fumeurs de pipe mal coiffés qui tirent la langue devant les photographes !
Quand j'étais plus jeune et que je dévalais les pentes enneigées pas vraiment plates sur mon Burton Air 6.1 aux couleurs nauséabondes (turquoise et violet), j'étais carrément 'en boule', le bout des doigts sur le sol dans les virages. Regardez un 'fou' descendre
les pistes comme cela et dites moi que ça vous donne l'impression qu'il fait caca ! C'est plus une consultation qu'il vous faut, c'est un séjour prolongé en isolement ! Et si c'est pas possible, par manque de place j'imagine, évitez les voyages en Chine !
Et si on vous dit de marcher droit la tête haute, vous en tirerez la conclusion que toute tête un peu courbée en avant est synonyme de honte ou de dépression ?
Prenez un boxeur quelconque au combat, ou un soldat sous le feu ennemi, vous pensez vraiment qu'il a honte ou qu'il déprime ?
Et bien chers lecteurs, laissez moi vous dire qu'il y a des gens qui pensent qu'au combat comme sur les pistes de ski, il faut avoir la tête haute, ils pensent que cela leur donne de la contenance. De mon côté, lorsque je contemple un homme qui skie de la sorte, je trouve qu'il skie... comment dire... de façon inadaptée et dangereuse. Il est difficile ici de ne pas voir défiler les expressions populaires qui décrivent ces attitudes, il y est fait référence à des instruments de nettoyages, à des parties de cycles, etc etc... Attention à la sagesse populaire !
Se battre droit comme un 'i' fait directement référence à cette époque où l'on se plombait allègrement bien droit les uns en face des autres en lignes bien rangées. Glorieux ?
De nos jours, si ce n'est pas dans les lignes des nouvelles troupes 'cyber', le soldat reste un individu qui se rapproche un maximum du sol quand les balles sifflent, et c'est bien le fantassin le plus glamour du point de vue cinématographique qui se met encore un buisson sur la tête. Mais oui, il y a des gens qui pensent que c'est honteux de se battre de la sorte, c'était mieux avant.
Et moi je vous dit qu'il y en a qui trouvent honteux de se battre dans l'armée tout court, ce sont les mêmes qui ont des problèmes de genoux. Ces gens pensent souvent sans le dire que le soldat est un imbécile, que l'armée c'est de la chair à canon, ils sont très souvent 'réformés' au sens du recrutement.
Imaginez maintenant qu'on ait laissé des gens comme cela, arrogants, infantiles et mauvais skieurs, s'occuper d'ingénieurie sociale pendant 70 ans, ne nous retrouverions-nous pas dans un 'merdier' comme celui dans lequel nous sommes actuellement ?
ET franchement, à désirer si ardemment regarder les autres de haut, ne finit-on pas sur la lune ?
Regarder les autres de haut de façon systématique ne permet pas lors de la recherche d'un partenaire sexuel (au niveau biologique), de tomber sur autre chose qu'un être soumis et masochiste.
A manger des hormones de croissance, à 'niquer' sa cousine, sa mère, sa soeur ou une bipède de cet ordre (seule autre option que l'esclave citée précédemment), ne finit-on pas au bout de quelques générations, très grand, très arrogant, et détesté par tout le monde, qui bien que plus petit, est indubitablement surnuméraire ?
Et bien laissez moi vous le dire, c'est précisément le monde antédilluvien dont nous parle la Bible, et il y est précisé que c'est également la situation eschatologique (que cela fasse rire ceux qui sont concernés) qui nous serait imposée.
'Il y avait des géants (puissants guerriers) en ce temps-là'
Ce qui irrite au plus haut point les ignares, les mécréants, et les mauvais skieurs, c'est précisément un Dieu qui ordonne à son peuple (ceux qui l'aiment donc, puisque c'est une affaire spirituelle, et non raciale, ceux qui sont dans le déni à cet égard sont à ranger dans les trois premières catégories) de détruire ces gens ! (référence donc à l'ancien testament)
Traduisez par :'Ceux qui aiment la vie, la nature non polluée, les relations sociales harmonieuses, sont chargés de détruire ceux qui sont (déjà dit) arrogants, agressifs, destructeurs, et qui ne respectent rien à part eux-même (et encore).'
N'allez toutefois pas croire qu'arrogance et taille soient corrélés à 100%, il existe des gens petits et très destructeurs, ceux-là compensent souvent leur incapacité à vous regarder de haut, apeurés qu'ils sont de monter sur des échasses, par de la fourberie, c'est le très classique complexe dit d'infériorité. Il arrive parfois que certaines de ces personnes s'auto congratulent et justifient entre eux par des pensées du genre de : 'les autres ne savent rien, de toute façon c'est de la chair à canon, nous avons des plans pour nous en débarrasser, etc etc'
Et sans aller jusqu'à l'autre théorie du complot que constituent les 'protocoles des anciens de Sion', qui sont bien entendu un faux, force est de constater que celui qui les a rédigés s'est précisément basé sur un schéma psychologique similaire à ce que je viens de décrire.
Il existe aussi des grands frustrés, des petits racistes, et tout ce que vous pourrez bien combiner de la sorte. C'est un combat entre l'ombre et la lumière... les forces des ténèbres disent-ils... ne serait-ce pas plutôt un combat entre la connaissance et l'ignorance ? Entre la stupidité et la sagesse ?
Plutôt que de maudire l'obscurité, allume une bougie ! Disait un sage accroupi.
Autre citation maintenant
'La race juive est la plus intelligente du monde et possède le capital humain le plus élevé'
Député Israélien Mikki Zohar, 13 juin 2018
Je me suis permis ici de porter mon choix sur cette perle de l'intellect humain, afin de ne pas systématiquement prendre les américains comme cible de mes illustrations fleuries sur l'infinie créativité de l'homme en terme de bêtise, à l'instar de la citation d'Einstein sur ce potentiel précis (potentiel humain et non électrique donc). Place à un peu d'anti-anti-américanisme pour une fois.
Donc quand Dieu dit de ne pas aller à Ashur, il s'agit pour lui de nous faire comprendre que ce n'est pas la peine de fréquenter une bande de grands truands qui se prennent pour des dieux. Logique non ? C'est de la SO-CIO-LO-GIE.
Sans parler de médecine, ou retourner en salle d'accouchement, on imagine clairement qu'une femme de 140cm 'engrossée' par un joueur de basket nourri aux hormones, et qui porterai ce bébé de 5kilos, aurait du souci à se faire pour son périnée. C'est la César-Hyenne de toute façon.
C'est au niveau du bassin que se situera néanmoins le problème le plus grave, à l'instar du bonhomme en 'i' qui s'approche à haute vitesse de la fameuse mais vicelarde plaque de verglas innocemment recouverte de son fin coulis de neige fraîche.
Donc il est honnête au bout du compte de reconnaître intellectuellement qu'il est normal que l'homme dominé par son égo, regardant de haut tout ce qui l'entoure finisse par détester un texte (et à plus forte raison un Dieu) qui lui ordonne avec amour (il s'agit ici de savoir faire la différence entre un avertissement et une menace, chose malaisée pour pas mal de procureurs ais-je cru comprendre), de ne pas regarder les autres de haut.
C'est logique.
Et donc, pour renverser, écraser, détruire, éliminer ou neutraliser une société devenue anti-écologique, c'est à dire, SUICIDAIRE, il est normal, logique, inévitable de porter son choix sur des être plutôt petits et HUMBLES. Vous ne feriez pas autrement en jouant un jeu de stratégie en 'GOD MODE', que cela fusse un jeu de construction ou de destruction. C'est la seule 'soluce'.
Donc on répète, Fleeeexion, planter du bââââton, EEEExtensiooooon, monsieur Duce.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/06/14/01008-20180614ARTFIG00306-les-pensees-racistes-d-einstein-devoilees-dans-ses-carnets-de-voyages.php
https://www.theguardian.com/books/2018/jun/12/einsteins-travel-diaries-reveal-shocking-xenophobia
https://francais.rt.com/international/51632-carnet-deinstein-refont-surface-genie-etait-raciste
dimanche 15 juillet 2018
samedi 30 juin 2018
J'invite mon chien au resto
Le chien est un carnivore, et c'est
pour cela que la science nous recommande vivement de ne pas les
manger, la viande en effet est bien plus à même de se faire le
vecteur de différentes maladies, et cela bien plus que les vaches et
autres moutons. Mais bon, quand on a faim, ce genre de considérations
passent souvent à l'arrière plan.
Il n'est pas plus cruel de mettre à
mort un chien qu'une vache non plus, si c'est sous cet angle qu'il
faut considérer la question.
Et quand on prend l'exemple des
dauphins mis à mort sur les plages des îles Féroé, on a là un
exemple de très gentils animaux carnivores mis à mort pour des
raisons autres que la faim.
Et quand je me suis fait mordre par ce
husky récupéré à la SPA, je n'ai pas eu envie de le manger. Ce
chien névrosé dont la précédente propriétaire était une
chinoise qui le laissait dormir dans son lit, n'était pas castré.
On place souvent, outre les
recommandations scientifiques et les ordonnances bibliques, beaucoup
d'affect en regard de ce que l'on considère comme mangeable ou non.
On mangera plus facilement un pavé de bœuf au restaurant après une
dure journée de travail, en compagnie de son conjoint (si on
l'aime), que juste après être passé au centre d'abattage, en
compagnie du chef boucher en tenue.
Les deux chiots morts-nés de la portée
de mon gros loulou, j'ai eu envie de les enterrer, pas de les jeter à
la poubelle ou à la cheminée.
C'est ça l'affect !
Donc quand on entend les gens crier sur
les chinois parce qu'ils mangent les chiens, on se réfère tout de
suite à un rapport direct à l'affect, et aux projections dans le
temps. On se dit immédiatement, 'merde, mon chien'. Même si le dit
chien est mort depuis longtemps, ou même si on en a jamais eu on ne
peut s'empêcher de se les imaginer descendant d'un char de combat
avec des barres à brochettes, vous savez, les longues, celles pour
les fêtes campagnardes !
En plus là on ne peut pas dire que ce
soit de la propagande anti-communiste parce qu'ils mangent vraiment
les chiens.
Mais franchement, à part le fait de se
faire du souci pour la santé de nos amis chinois, je ne vois pas en
quoi le fait que le chien en question finisse dans un estomac vous
gêne plus que le sort de la vache de l'élevage extensif quelques
kilomètres plus loin. Elle finit au même endroit.
Concernant la cruauté, il vous faudra
enlever le Danemark de l'Europe si vous voulez rester cohérents. Et
je ne vous parle pas de ce qui concerne le sort des lévriers de
chasse en Espagne, etc etc
C'est en regardant tout cela que je me
dis que oui, c'est bien de la propagande à quoi nous avons à faire
ici encore une fois, même si le fait est avéré, personne n'a
jamais dit que propagande rimait avec mensonge. Occupez vous de vos
animaux avant de nous prendre la tête avec ce que les chinois font
de leurs chiens.
Merde, les poussins, ça va pas à la
broyeuse, enfin !
Bon, c'est quand on en arrive aux fœtus
que le sujet devient plus sensible, même si beaucoup chassent cela
d'un revers de la main. On est bien embêté de traiter ce
sujet-là... Un peuple qui mange ses bébés, ça fait tache.
Alors admettons pour l'effet que ça
procure, que cela soit vrai. Comment faire pour faire cesser cela, en
admettant que ceux qui se sont amusés à le dire aient, de un des
preuves solides, et de deux les moyens de leurs ambitions, envahir la
Chine ? Ah bon.
Mais une fois que le brouillard se
dissipe, celui causé par le fumigène en question, on retombe bien
vite sur des faits plus solides que ces affirmations guerrières de
mauvaise qualité.
Le fait est qu'après avoir surveillé
le fil des actualités pendant 5 ans avec plus de concentration que
mon beauceron devant un lézard planqué dans les herbes sèches, les
seuls fœtus sacrifiés que j'ai vu passer venaient de Thaïlande, et
étaient recouverts de feuilles d'or. Il s'agissait bien d'un trafic.
Et je ne citerai pas les pays concernés
le plus souvent par ce genre de trafic au niveau statistique.
On me prendrait pour un va-t-en guerre
sans les moyens de ses ambitions.
Je ne suis pas anti-chinois, pas plus
que je ne suis pro-chinois, je reste toutefois admiratif de leur art
pictural, du raffinement de cette culture très ancienne. A la
maison, chez ma mère, il y a avait deux traces de cette culture, un
grand tableau représentant un couple d'empereurs très grands (trop
grands à mon goût), et une boîte noire de Ma-Jong à laquelle nous
n'avons jamais joué. C'est triste mais c'est comme ça. Je crois
qu'en Chine, le lien familial est très fort, contrairement à ce que
le discours anti-communiste bien en place nous a fait croire depuis
longtemps; destruction de l'Etat, de la famille, et de l'individu
pour faire une société d'esclaves soumis à un affreux règne
antéchristique communiste... Avec les USA comme dernier rempart
contre cette barbarie.
De la corruption, il y en a partout,
des réseaux sataniques pour les assouvir aussi, et généralement,
c'est là où les gens ont le plus d'argent pour payer que la demande
rencontre le plus l'offre. Là où les gens sont très corrompus,
mais n'ont pas d'argent, le délire se remarque tout de suite plus.
Généralement par des guerres inter-claniques, des émeutes raciales
violentes, etc etc. Non, c'est le multimilliardaire qui à de quoi dévorer de la
chair facilement, et surtout de quoi effacer les traces, ou se faire
livrer discrètement, s'il est cannibale bien entendu.
Donc par définition, la Chine a bien
peu de chances d'avoir été la plus grosse consommatrice de ses
propres fœtus, en admettant qu'il y ait eu fort trafic de ces petits
êtres. Ils n'avaient pas assez d'argent, le prix du fœtus devant
être astronomique, s'il on en juge par le prix moyen du rein
adolescent à la frontière mexicaine dans les années 90.
Je vous laisse imaginer en fonction de
tout cela quels sont les gens derrière la propulsion de tels
arguments, quels sont leurs intérêts, leurs antécédents, et leurs
angoisses.
À bientôt
mercredi 20 juin 2018
Un acte de naissance qui me soulage
Juste
une petite mise au point
N’ayant
pas le loisir de passer du temps derrière un écran dans le cadre
d’une vie sédentaire bien établie, je saisis l’occasion de mon
passage dans un PMU pour tenir mes lecteurs au courant du dernier
développement.
Je
me suis récemment rendu compte que l’administration suisse a fait
une erreur dans mon acte de naissance.
Selon
leur dernier délire qui date de 2015, date à laquelle j’ai fait
une demande d’acte de naissance, je serai né le 31 décembre, et
non le 30, comme il est écrit dans mon passeport, ainsi que dans toute une
série d’actes officiels en ma possession. Un détail, allez-vous
me dire ! Mais non, ce n’en n’est pas un.
L’acte
de naissance est la base même de votre existence juridique, et pour
une unité sur une variable dans un fichier… hop, je n’existe
plus.
Bien
embêtant pour demander un quelconque acte officiel à partir de là.
La
liste des malversations à mon égard de la part de
l’administration suisse est longue, mais là, c’est le clou dans
le cercueil, c’est la cerise sur le gâteau.
J’en
suis bien heureux quelque part, car plutôt que de tenter de
convaincre les gens que telle ou telle plainte a été oubliée dans
un tiroir, il me suffit maintenant d’exhiber copie de cet acte de
naissance afin de montrer que s’il y en a bien un qui a des
problèmes relationnels avec le hasard dans les tiroirs de l’état
helvétique, c’est moi.
Il
restera aux stupides à se dire que cela est dû à une erreur
involontaire, comme si un horloger vous vendait une Breitling après
avoir malencontreusement marché dessus, ou si une Audi S4 neuve vous
était livrée avec une courroie de distribution qui aurait déjà été
utilisée pendant 130’000 km sur une autre voiture avant d’être
malencontreusement montée sur la vôtre en lieu et place de la
courroie neuve…
Je
veux dire par là que l’état civil, l’administration en charge
de la conservation de ces données, n’a d’autre chose à faire
que de conserver ces dites données en s’assurant de ne pas
laisser, je ne sais pas moi, un fou avec un lance flamme détruire
les serveurs, un agent du mossad d’y mettre un virus en confondant
le bâtiment avec un centre iranien d’enrichissement d’uranium,
ou un franc-maçon de venir modifier les données à la pièce en me
confondant avec Hitler… en imaginant que les fm soient ‘ligués’
contre la réincarnation de ce triste personnage, ce qui reste encore
à démontrer.
Donc
voilà, père tué, héritage volé, enfants subtilisés, pension
alimentaire calculée sur une base lunaire, plaintes pénales
dématérialisées, agressé un nombre quantique de fois, mes
compagnes victimes de terrorisme psychologique, menacé de mort,
empoisonné, manipulé… je passe direct à la fin ; et
maintenant c’est mon existence juridique elle même qui est tout
simplement niée.
Alors
on en vient forcément à ce qui, comme la morve au nez, ne demande
qu’à couler de source, c’est à dire, le fameux, le sempiternel,
le rémanent, l’obsessionnel, POURQUOI, mais bon Dieu, pourquoi
tant de haine ?
J’ai
bien développé quelques théories alambiquées du type :’ce
sont sûrement ceux qui ont le meilleur mobile qui sont derrière
tout cela’, ou encore ‘mais bonsangmécébiensûr, si la famille
du procureur tient un cabinet d’avocat avec la famille de ceux qui
jouissent de mes richesses subtilisées, il y a très
vraisemblablement collusion !’, mais bon, je vois que j’ai
beau péter les pales du moulin au lance roquette, je n’en reste
pas moins un don Quichotte paumé sur sa plage, l’épée à la
main, avec ce moulin sans pales qui fait triste figure à cet
endroit, et d’ailleurs, un moulin n’a rien à faire sur la plage.
Il
n’avait pas le droit de s’occuper de cette affaire, le méchant
monsieur, pas le droit.
Et
maintenant, l’acte de naissance… comme je vous le disais, ‘ils’,
les éléphants fou et maçons du mossad avec leur lance-flamme je
suppose, ne pouvaient pas faire mieux que de produire une feuille de
papier aussi emblématique que celle-là, je pense l’encadrer et
bien entendu la mettre sur internet, en attendant qu’un Hitler né
le 31 décembre 1974, et qui porterait mon nom ne vienne me coller un
procès pour violation de la vie privée, usurpation d’identité.
En
attendant, j’ai appris à survivre dans la forêt, à coller un mal
de crâne en 4 heures à un procureur pourri, et son escouade de
flics de choc, à défendre mon honneur sous différents régimes
bananiers, à démonter les argumentaires de différents esclaves
mentaux de telle ou telle appartenance politique, à interpréter le
fil d’info d’une société mondiale en guerre silencieuse, j’en
passe et des meilleures.
Mais
des fois, devant mon feu, en train de cuire ma 11 millième galette
au poivre, tout en surveillant les bruits alentours, j’en arrive à
me demander comment tout cela va se terminer, car une clique pareille
de gens, distribués à tous les échelons des administrations d’un
pays (ou d’un autre), ne peut mener qu’à sa destruction, tout
comme il n’est pas possible que le tourisme au sommet de l’Everest
ne puisse continuer à se développer, tant que la question de la
gestion des déchets qui s’y trouvent, laissés là par tous les
‘héros’ qui y sont montés, ne soit menée de façon sérieuse.
‘Ouaiiiiii,
je suis au sommet du monde ! … Attends, faut que j’aille me
délester d’un peu de matière fécale !’
‘OK,
je mets où les bouteilles vides, je suis complètement bourré’
‘Bah,
jette les de l’autre côté, il neige de toute façon’
‘Ah,
ça fait du bien, on redescend demain ?’
‘Ben
oui’
‘Bon
alors c’est toi qui démonte les tentes, c’est ton tour’
‘Ah
non rien à secouer, on a fini notre délire, moi je les laisse là,
et comme je te le disais, de toute façon il neige’
‘C’est
toi qui voit’
Discours
fictif, mais fictif ou pas, une fois que le dégel arrive, les dégâts
sont là, tapez ‘la plus haute poubelle du monde + EVEREST’
Ca
devait leur faire un peu cet effet à tous ces pourris, d’être
assis sur le sommet du monde, et de regarder les gens se tordre de
douleur 7’000 mètres plus bas. Puis ils ont jeté leurs bouteilles
vides, ont déféqué dans un coin, et puis un jour, le dégel est
venu. Le spectacle est triste à voir, et mon acte de naissance
truqué représente cela à merveille.
Et
comme le disait Einstein, ‘Ah ces chinois, assis comme ils sont on
dirait qu’il sont en train de déféquer’, c’est pas texto,
mais je reviendrai là-dessus, dans un autre article (tapez, Einstein voyage Chine raciste).
jeudi 31 mai 2018
Petit message à mes amis lecteurs
Petit message à mes amis lecteurs
C'est tout un livre que je devrais
écrire pour vous tenir au courant de mes dernières aventures, mais
comme je n'ai pas le temps, et qu'écrire sur le net, jusqu'à nouvel
ordre, ça se fait avec un clavier, et que les claviers, ça consomme
du jus, et bien je me contente d'un bref message.
Un message pour vous faire savoir
qu'après avoir quitté mon maquis favori, je m'en suis allé faire
un tour en Suisse comme tout le monde le sait maintenant, et qu'après
cela, je suis retourné en France, premièrement sans le sud, puis
vers Anger, puis à Paris, et ensuite en Normandie, et que
maintenant, je suis de retour dans le sud, au milieu des buissons
très précisément.
De retour dans le maquis quoi !
Ce fut un petit Road Trip apaisant,
avec en moyenne une agression/tentative de meurtre par étape.
Un vrai plaisir.
Donner l'identité de ces gens ne
relève pas forcément du secret d'état, mais n'est pas non plus de
la plus haute importance, puisque dans deux tiers des cas, il s'agit
de 'drones', c'est à dire de gens qui ne se rendent pas compte de ce
qu'ils font, et qui au final agissent pour le compte d'autres
personnes.
Il faudra néanmoins cerner leur profil
'publiquement', afin de ne pas donner dans le misérabilisme, dans la
sidération victimaire, ou dans l'excès de clémence. Décrire ces
gens permettra aussi de faire comprendre certains des problèmes qui
nous obsèdent depuis quelques décennies voir plus. Car en effet,
les gens doivent se demander ce qui pousse autant d'individus à
agresser un pauvre type perdu dans la nature qui crie depuis des
années à propos de ce qui lui a été fait, à un niveau purement
familial et personnel.
Vous l'aurez compris, j'affirme que ma
famille n'est pas anodine, mais de là à avoir des problèmes dans
toute la France... quand-même !
Ou alors ce sont mes opinions qui
dérangent. Ce sera au lecteur de se faire une idée par lui-même.
Donc bref, tout ça pour dire que la
santé ça va, quelques douleurs aux cervicales, quelques 'tatouages'
de plus, quelques cheveux blancs de plus, toujours pas vu mes
enfants, une compagne est venue combler le manque d'amour dont je
souffrais, un chien est dans ma vie aussi. J'ai plus de raisons
d'être heureux que le contraire. J'ai de plus en plus de gens qui
comprennent ma situation, bien entendu, mais la raison profonde c'est
ce que mon enseignant bouddhiste appelait l'insatisfaction, celle là,
elle n'est bien entendu pas résolue. Alors... dois-je commencer à
raconter ce que c'est ?
Il me faut ici dire que ma compagne, ma
fiancée, ma femme est catholique.
Et au bout du compte, après avoir
tenté pendant 5 ans de dire aux gens de faire attention, de dire aux
gens que si ce qui m'arrivait pouvait rester impuni, alors ce qui
allait leur arriver ne serait pas non plus regardé par ce qu'ils
appellent la justice. Et bien tenter d'anticiper les choses, de
protéger la société contre une 'clique' de pourris très
influents, ne fait plus partie de mes aptitudes, je vous le dis. Je
me contenterai à l'avenir de commenter ce qui sera arrivé. La
grille de lecture est quasi impossible à saisir sans passer au moins
dix ans de sa vie à fouiner sous les tapis.
Je pense donc maintenant passer le peu
de temps que je peux passer 'online' à tenter d'éclaircir l'esprit
de mes lecteurs avec des tirades plus 'spirituelles', voir
'scripturales'.
Je pense que les événements qui nous
'tombent dessus' sont destinés à faire comprendre des choses, ce
sont des formes de leçons de 'la vie'. Ils nous mènent quelque
part.
Pour certains, c'est la fin du monde,
pour d'autres l'avènement d'un âge d'or, et pour les derniers, la
plongée dans le chaos.
Un mélange des trois, c'est sûr. Une
répétition de l'histoire, bien entendu.
Cesser de me retenir, cesser d'épargner
à mes lecteurs ce qui tranche, ce qui fait mal, et pour ce faire,
point besoin de dénoncer les ficelles obscures de tel ou tel
scandale financier ou politique, non, il suffit de toucher à 'ce qui
est écrit', à 'ce qui nous pend au nez', à ce que l'on sait très
bien, mais que l'on a de la peine à formuler.
A tenter de tout expliquer dans le
menu, je n'ai réussi qu'à m'enseigner à moi même que la vérité
absolue est 'indiscible'. Tenter de raconter comment le monde marche,
c'est impossible.
On en arrive forcément à toucher le
spirituel. Point de tentative massive de conversion automatique ici,
c'est à l'épreuve de l'écriture sauvage et nourrie au thym que je
vous dis cela.
Oh oui courir à gauche et à droite en
distribuant des dossiers incriminants ça finit toujours par
réveiller des gens, reste à savoir quelles sont les statistiques
officielles, mais au bout du compte, le monde a-t-il compris, ou
plutôt ses habitants, que consommer en détruisant tout autours de
nous ne peut mener qu'à une grande destruction dont nous seront les
victimes nous-même. C'est l'effet boomerang, c'est sûr.
Nan je n'ai pas mis la main sur un
magot fantastique, Dieu m'en garde. Oui je considère les fruits de
ma lutte d'information avec un certain confort. Oui j'aimerai passer
du temps à dormir, à manger du pavé de bœuf, et le soir venu,
boire quelques verres avec ma compagne au bord de la piscine. Mais
pour l'heure, je vis dans les buissons en mettant en place les idées
fondamentales du survivalisme sincère, celui qui est pris entre les
buissons et la ville, celui qui ne sait d'où viendront les bombes,
mais qui malgré tout cherche la meilleure solution pragmatique.
Je ne peux vous la donner, car elle est
individuelle, elle dépend de chacun d'entre nous. C'est à chacun
d'entre nous de la chercher, les solutions ne sont pas évidentes, un
peu comme si la vie nous protégeait de nous faire voler ces
solutions, elles ne sont pas transmissibles.
Mais je peux continuer à écrire pour
donner les 'briques' de base qui sont le tronc commun à tous de
cette quête. Je ne prendrai pas la place de Jésus dans cette
histoire, il est déjà venu nous donner ces choses. Mais je peux
tenter de montrer de quelle façon d'autres éléments nous sont
confiés à l'époque que nous vivons.
Une chose est sûre, l'individualisme
exacerbé, l'égoïsme cynique, et la méchanceté institutionnalisée
ne sont pas les briques, à l'heure d'une information décentralisée,
qui seront suffisantes pour tenir le choc.
A bientôt pour des nouvelles des
buissons.
mercredi 30 mai 2018
Dassaut est mort, entre éloges et cynisme, les titres des journaux varient
Dassaut est mort, entre éloges
et cynisme, les titres des journaux varient.
Symbole du capitalisme européen pour
certains, homme ayant trempé dans différentes magouilles pour
d'autres (ce qui peut sembler redondant à d'autres), il s'en est
allé au milieu d'une crise sans précédents dans notre histoire.
'Pourquoi la liberté de parole serait
aux journalistes et pas aux actionnaires ? C'est quand-même
extraordinaire, ça !' C'est cette citation qui m'a sauté aux
yeux hier avant de me coucher, je pense très clairement en avoir
rêvé toute la nuit, couché au sol entre deux buissons sous ma
bâche plastique favorite, bien à l'abri de la pluie qui délave la
France du sud au nord.
Si tu mets quelques dizaines de
centimes dans un distributeur, et que tu choisis la cannette de Coca,
c'est un Coca que tu auras, si tu as de la chance avec les
différentes mécaniques concernées. Pas un Orangina, un Fanta ou
des cacahuètes. Quand tu achètes un journal, c'est ce journal et
ses opinions dont tu te rends responsable. Les opinions de ce journal
sont là pour exprimer et défendre les vues politiques, sociales ou
autres des gens qui sont derrière ce journal.
Il te faudra beaucoup beaucoup de
cannettes de Coca pour prétendre avoir le droit de dire à Coca
Cola, 'changez votre recette'.
Devenir 'patron' du Figaro pour leur
dicter la ligne éditoriale, c'est un acte de guerre, puisqu'il entre
en contradiction avec la dite 'liberté d'expression'.
Avoir un droit de regard c'est normal,
mais s'étonner de ce que la liberté de l'actionnaire ne soit pas
équivalente à celle du journaliste, c'est s'étonner de recevoir un
Coca après avoir payé la machine pour obtenir ce résultat très
précis.
Bien entendu, j'ai pris cette citation
pour ce qu'elle me semble être à première vue, comme l'a sans
doute fait la majorité des lecteurs de ce pays, c'est à dire comme
l'expression très brutale et sans aucune discrétion d'un 'gros'
capitaliste bien borné. 'Il s'est trahi', sans aucun doute...
Produire le fleuron de l'armée
française en terme d'armement, et tenter de fuir le fisc... normal
quand les soldats doivent débourser de leur poche pour que leurs
chaussures ne soient pas trouées ?
Rien de bien surprenant à tout cela au
final il me semble.
Nan, ce qui me surprend, c'est qu'après
avoir sorti une ânerie pareille, le mec soit resté à son poste, il
est quand même surveillé par une famille non ? Ou un état au
moins, une opinion publique non ?
Dire que ce monde est une jungle et que
tout ce qui compte c'est le fric, et que la fin justifie les moyens,
c'est le genre de choses que l'on dit entre membres de la même
clique, quand on est sûr qu'il n'y a pas d'oreilles dans les murs.
Mais on ne dit pas cela à un journaliste.
Etait-il bête à ce point ? Gavé
de lui même au point de penser pouvoir provoquer inutilement les
gens en leur crachant à la figure ? Ou cela était-il une
manœuvre diabolique destinée à provoquer de façon scientifique et
neurologique les lecteurs en les poussant un peu plus vers une guerre
civile inévitable quand l'armée elle-même se rend compte de la
façon dont elle est traitée, quand le peuple se rend compte de la
même chose ?
Je ne connais pas assez le personnage
pour pouvoir me prononcer. Etait-il bête et méchant, ou faisait-il
semblant ?
Cette citation a donc provoqué en moi
une réaction épidermique. Quand on fait de la propagande, on prend
soin de ne pas le montrer, quand on veut étouffer la justice, on ne
le crie pas devant la porte d'entrée du tribunal, avec une corde à
piano dans la main. Je le soupçonne d'avoir été tellement sûr du
pouvoir que son argent lui conférait, qu'il en a omis de considérer
qu'il n'était toutefois pas le maître du monde pour autant, corde à
piano ou pas corde à piano. Un peu comme un assassin persuadé que
les lieux du crime sont entièrement déserts. Dans son cas ;
que le peuple de France serait incapable de lui rendre la monnaie de
sa pièce. Car je suis persuadé que même dans le sud de ce si beau
pays violé avec autant d'indolence, on sait apprécier les qualités
du Figaro.
On dit d'un journaliste qu'il 'défend
une opinion', une position politique. Un journaliste ce n'est pas un
pamphlétiste, ou un satyre. Il ne fait pas des tracts de propagande,
ou des listes de cibles. C'est un journaliste. Les journaux prennent
toujours un ton plus dur lorsque la guerre est aux portes bien
entendu. Mais lorsque certains journaux perdent le ton adéquat, ils
sont alors qualifiés avec justesse 'd'instruments du pouvoir' ou
autres qualificatifs du genre, avec justesse j'entends. Il arrive
bien sûr que des journalistes soient qualifiés de la sorte à tort,
même s'ils sont 'dans le ton', mais c'est une autre histoire...
Un journaliste est donc 'en défense'
par la nature même de son activité. Ce n'est pas de la conquête,
c'est de la description, de l'investigation, ou de la philosophie.
Acheter un journal pour en redéfinir
la ligne éditoriale s'apparente donc à du viol, ou à de la
trahison/infiltration, ou à une attaque toute simple contre la
liberté d'expression justement, ce qui est criminel.
Une OPA agressive reste une manœuvre
légale, même si elle est clairement acceptée comme faisant partie
de la panoplie guerrière de l'acteur économique évoluant dans la
jungle de ce monde.
Mais accepterait-on qu'une OPA sur un
hôpital précède une injonction de mettre de la mort aux rats dans
les vaccins pour bébés ?
Non, car l'hôpital reste soumis au
droit du pays dans lequel il se trouve. Idem pour le journal 'le
Figaro'. Donc avoir 'un droit de regard' sur ce qu'écrivent les
journalistes, c'est prétendre devenir rédacteur en chef du dit
journal suite à l'acquisition de position dans le capital action.
C'est le directeur qui décide de comment fonctionne la machine. Les
actionnaires peuvent prétendre à un rendement minimal des actions,
mais pas à la façon dont le directeur gère les affaires, sauf en
cas de mauvaise gestion bien entendu. Mais même dans ce cas, ça ne
fait pas d'eux des directeurs compétents. Ils n'ont qu'à en trouver
un autre, qui doit alors être suffisamment qualifié pour le poste.
S'il y avait bien un journal à ne pas
acheter pour appliquer une telle politique de prédation économique
assortie d'un tel bouquet d'insanités, c'est bien le Figaro.
Dans mes différentes enquêtes sur
toute une série de sujets explosifs, je suis souvent retombé sur ce
journal, y piochant des articles qui dépassaient le monde
journalistique d'une petite coudée, des éléments manquants
ailleurs, une vision synthétique particulière, ou une morale
conclusive particulièrement lumineuse. Je n'ai pas enquêté sur ce
journal (heureusement pour moi à l'époque, j'avais assez d'ennemis
comme ça), et sans l'avoir fait à l'heure qu'il est, je tiens
toutefois à leur tirer mon chapeau, car avec le peu d'expérience
que j'ai dans le domaine, je sais toutefois à quel point cela peut
être dur de mener son enquête dans des sujets difficiles ou
épineux. Et si en plus c'est votre 'patron' qui vous met des bâtons
dans les roues, il y a de quoi se mettre à manger sa chaise.
jeudi 6 juillet 2017
Texte imaginaire post freudien
Tout ce qui suit est le pur produit de mon imagination, toute ressemblance avec des événements passés ou actuels étant survenus ne serait que malencontreusement due à votre imagination trop fertile. Faut bien que je gagne un peu d'argent, alors je me dis que je vais mettre les bases d'un prochain bouquin. Baby needs new shoes!
La liste des choses
que j’ai subies dans ma vie fait vomir. La plupart des gens qui
prennent connaissance de ces actes de cruauté sont soit pris
d’incrédulité, soit en arrivent à vivre un choc psychologique.
C’est pas marrant, mettez vous à ma place.
Ce n’est pas de me
plaindre de mon sort, afin de trouver des gens qui compatissent, qui
me motive à écrire. C’est de sortir cela de moi, pour passer à
autre chose.
Lutter, je ne fais
que cela depuis des décennies, au point que pleurer ne fait plus du
tout partie de mon registre, et que tenir tête aux pires pervers est
mon pain quotidien (enfin plus maintenant il est vrai).
Trouver les
coupables fait bien entendu parties de mes objectifs, raconter
devient par conséquent un acte logique et inévitable, pour tenir
informé ceux qui enquêtent.
Mais il y a autre
chose, c’est une envie de voir avec du recul l’ensemble de ces
choses pour trouver une raison à cette immense… indignation,
tristesse, colère profonde qui est lancinante au fond de mon coeur.
Et après cela, découvrir quelle est l’énergie qui m’a permis
de ne pas devenir fou comme tant d’autres le sont devenus après
avoir subi ne serait-ce qu’une partie de ces choses. Une sonde en
antarctique.
Petit j’ai été
victime de pédophilie de façon assez violente, de la part de ma
mère aussi. A 9 ans je n’ai plus voulu de ses bras maudits, elle a
donc décidé de me lancer une guerre secrète à mort. Elle a
employé ses relations fermentées pour qu’une brute me défonce à
l’école afin de m’envoyer méditer quelques tortures à
l’hôpital pendant deux mois. Cette brute est un enfant adoptif
péruvien d’un homme politique du canton de Vaud, de deux ans mon
aîné je crois, il m’a envoyé la tête à pleine force sur un
coin de table. Des années plus tard il commettra un rapt, qui fit
les premières pages. Tout ça pour dire que ma mère n’y a pas été
avec le dos de la cuiller. A l’hôpital je me rappelle d’une
infirmière qui m’a laissé le souvenir d’un bourreau, vraiment,
un monstre méchant, très méchant, prenant plaisir à la souffrance
d’un enfant avec sa face de porc.
J’étais à part
cela souvent malade étant petit, de façon violente, avec des
attaques de démons dans mes rêves (si on fait abstraction de ma
mère en elle-même), l’impression qu’il m’en reste, c’est
d’avoir grandi au bord de la mort. J’ai mis peu de temps à me
rendre compte que peu de gens vivaient des choses similaires dans mon
entourage. Puis quand mon père et moi-même avons quitté le
domicile familial je ne suis plus jamais tombé malade. Je suis très
résistant en fait, très très résistant.
Mais là c’est mon
père qui a amorcé la descente vers la mort petit à petit.
Et pendant ces
quatre années j’ai été son aide-soignant. Quelle belle bande de
bras-cassés dans la campagne sous l’artillerie !
Mais pensez-vous que
j’ai été soutenu d’aucune façon ? Non, bien au contraire,
ma mère et sa fille ne cessaient de me faire des reproches à son
égard, lorsque nous nous voyions.
Après sa mort, ma
part de l’héritage m’a été volée avec l’aide de quelques
notaires pourris dont un passe maintenant au tribunal pour des actes
similaires.
Le comportement du
mari de ma sœur, de ma sœur, et de ma mère me montre que leur
implication dans ce que je sais être un assassinat est difficile à
ignorer quand on y regarde de près.
Je me suis donc
retrouvé seul, vraiment seul.
Mais toujours
chassé.
En 1998, un grave
accident de surf. Dans le cadre d’un guet-apens. Je n’ai pas été
soigné, l’accueil médical a été une insulte qui se paiera un
jour où l’autre. Les preuves sont dans mon corps.
Côtes cassées,
vertèbres déplacées, épaule luxée, et je ne parle pas des
organes internes. Au moins sur le champ de bataille on a parfois
droit à des mains qui vous secourent et vous veulent du bien, si on
n’est pas mort avant.
Comme je ne pouvais
plus travailler, j’ai demandé 100 francs à ma sœur, elle et son
mari m’ont poliment fait comprendre dans leur langage hypocrite
d’aller me faire foutre… tout simplement.
Moi qui tentais
toujours dans mes relations de couple de protéger mes copines des
mains baladeuses de leurs pères (j’ai pas eu de chance dans la
sélection faite par ma mère), pensez vous que ma sœur amatrice de
tirades lyriques à propos des méchants papas incestueux aurait
bougé son petit doigt crochu, ou rien que son cul, pour m’aider ?
La réponse fait sourire, quand on est coutumier des enquêtes sur la
pédo-criminalité dite ‘satanique’ (pour le show).
Je me suis en plus
de tout cela, quelques temps après, trouvé défini comme cible par
la famille de ma femme. Femme qui en plus de cela avait un prénom
franchement ridicule.
Ma mère était
proche de °°°°°-°°°°°° °°°°°°°, responsable de la
culture pour la ville de Lausanne, et par conséquent proche du
ballet Béjart. Moi je pense que ma mère était en fait la madame
Claude de cette ville. Au moins deux de ses vendeuses avaient fait
partie du ballet. Ce n’est pas pour dire que les danseuses sont des
putes, mais dans cette ville à l’époque, presque.
Donc se dire qu’une
famille en relation avec des assassins, des notaires pourris, des
‘danseuses’ sur le retour, qui est impliquée dans au moins un
vol gravissime constaté, puisse être impliquée dans un trafic
d’êtres humains, ce n’est pas de l’affabulation. Vol
gravissime car commis sur un orphelin isolé, donc particulièrement
révélateur d’un manque total de retenue, ou de connaissance du
code d’honneur, procureur satanique ou pas.
Mes relations aux
femmes étaient donc totalement contrôlées. Mes relations avec mes
amis aussi, après un certain temps, 1993 pour être exact, la mort
de mon père interviendra.
Cette année-là
j’ai tout simplement été abandonné par ceux que je croyais être
mes amis. Il faut dire que quelques années avant, j’avais perdu
dans une avalanche ceux de ma classe qui auraient pu aller avec moi
plus avant dans une vie professionnelle réussie et intéressante.
Mais de là à penser que cette avalanche n’est pas due au hasard…
nanan, dans une vallée qui n’avait jamais vu cela de mémoire de
prêtre !
Qu’importe.
Le jour de la mort
de mon père, c’est quatre jours que j’ai dû attendre avant de
pouvoir l’annoncer à ma mère et à ma sœur. Je l’ai déjà
raconté dans mon bouquin, mais je le répète car aujourd’hui je
ne peux que constater que cela ne laisse aucun doute, c’est encore
une preuve de leur participation à un assassinat. Ils étaient en
train de fomenter ensemble de ce qu’il fallait dire, faire, en ce
qui concerne la façon de faire main-basse sur le pognon. Jamais de
ma vie je n’avais eu besoin de plus d’une demie journée pour
joindre l’une ou l’autre, accros au téléphone, les deux
pétasses.
Bref.
Je passe sur les
nombreux comportements dangereux de la part d’usagers de la route à
mon égard qui me donnaient plus l’impression de vivre au portugal
ou au maghreb qu’en suisse.
Ma mère se vantait
bien plus d’avoir eu une mini à Londres que d’avoir vendu son
cul à des journalistes à Paris. Ses liens avec le gratin
franc-maçon côté sodomie et petits garçons ne fait aucun doute
pour moi. Alors quand vous les avez à dos avant même de savoir
interpréter un petit doigt en l’air, c’est Verdun sans le fusil,
laissez moi vous le dire !
Dans ce bout
d’article sécrété sans souci pour la tournure, je ne souhaite
pas vous faire part de l’impression que ça fait de voir ces
visages quand vous les voyez, mais simplement faire la liste, ou
tenter de le faire de temps à autres, histoire de réactiver mes
‘réseaux neuronaux’, pour ne pas les laisser aller en enfer sans
avoir le vent dans le dos (ces gens-là, pas mes réseaux).
Puis il y a eu Miss
Disney World dans ma vie, et de nouveau la destruction, le vol, Ils
nous ont tout pris. Le manège équestre que je tentais de construire
à bout de bras, mes enfants, les chiens, la situation sociale, etc.
Alors nous avons fui, en France.
Un an dans la forêt,
pour écrire ce livre, plusieurs battues de chasse clairement
destinées à nous faire vivre ce fameux ‘accident de chasse’ qui
ne viendra pas. Nous avons appris sur le champ les techniques
‘troupes spéciales’, toujours sans le fusil. Parfois le tir est
entendu à moins de 30 mètres, et le calibre 12, ça pète. Protéger
ma copine, comme d’hab.
Suis habitué
maintenant, n’ai rien connu d’autre, avant de me les faire
violer.
Et tout ce que ma
mère et ses copines ont dit de moi : je suis un drogué
paranoïaque, je suis méchant avec les femmes, je suis un
affabulateur, je dilapide l’argent.
Mais ma vie à moi,
c’est une pluie de morts encore plus longue, mon patron à la
Piscine de Bellerive, mort. Mon Patron chez Protectas, mort (c’est
moi qui ‘par hasard’ ai racheté son chien Blacky), celui qui a
fait l’émission télé de Tell Quel sur la piscine quand j’y
étais en me montrant de façon défavorable, mort. Mon parrain, chef
de ‘révision’ à la Deutsche Bank, mort. Je trouve que ça fait
beaucoup d’anciens patrons morts, mais bon, je ne voudrai pas être
taxé d’affabulation. Je vous parle de morts survenues il y a 10,
20 ou 30 ans maintenant de cela, pour des hommes entre 60 et 70 ans
il me semble. Des morts survenant par les temps qui courent
pourraient bien être dues à la vieillesse bien entendu. Donc
celles-là… pas !
Ils ont violé mes
enfants bien entendu, pas la peine de le dire.
Ils les ont tournés
contre moi bien entendu, comme ma mère a essayé de le faire avec
moi.
Je n’ai pas de
nouvelles d’eux depuis six ans, cela relève du pénal, mais ils
n’en ont cure.
Menaces de mort,
empoisonnements.
Pendant qu’ils
passent le brevet d’hélico, des vacances en Algarve, en Suède, à
Davos, etc
Et toujours cette
accolade fraternelle, aaaah comme c’est beau d’être une pute à
ce point-là !
Oui, c’est moi qui
ai honte de les avoir eu dans ma vie, c’est bien ça qui me colle
sous les semelles avec cette odeur ! De quoi vous faire jeter
les chaussures.
Moi qui ai tout fait
pour apprendre la sagesse, j’ai été persécuté de toute leur
énergie par des châtelains de MA PROPRE FAMILLE. Invité dans des
réseaux par personne, car maudit par eux, par ces porcs, je suis
leur pire cauchemar à l’heure qu’il est.
Et puis ils ont jeté
tout ce qu’ils avaient en terme de sorcellerie électro-magnétique
et tout le bataclan. Mais ça c’est une autre histoire, ça fait
cinquante ans qu’on sait que les ondes radars interfèrent avec le
cerveau, mais ils persistent à croire que leur pédophilie leur
donne du ‘pouvoir occulte’. Pauvres mecs !
Ils ont torturé mon
fils cadet, mais ça c’est une autre histoire. Lui le radar, il lui
ont écrasé la tête avec quand il était déjà sorti, mais
toujours pas atteint les neuf mois. Quelle technique !
Alors chers
lecteurs, comprenez que tout cela m’a amené au-delà de ce que
l’on appelle une ‘envie de vengeance’ ou ‘envie de justice
exercée par moi-même’. Pour diriger, il est important de savoir
déléguer !
C’est aussi un peu
pour cette envie de refaire ce grand voyage avec vous mes lecteurs,
que je pose ces lignes, car un truc est sûr, c’est que j’incarne
une certaine forme de courage, de force mentale. Mais bien plus que
cela, quelles sont les vraies ressources cachées qui se sont
révélées à moi pour me permettre de vous écrire aujourd’hui ?
C’est cela la question. La sagesse que j’ai étudiée pendant
tant d’années, est-il possible que cela soit lié dans l’invisible
à ma victoire, car c’est une victoire aujourd’hui de pouvoir
vous raconter tout cela, indubitablement.
Que suis-je pour
avoir été capable de les emmerder autant que cela ? C’est
encore un autre sujet.
Alors en attendant,
le monde entier (ou presque) a switché en mode ‘évacuation de la
merde’, les réseaux pédopornos, les partouzes au vatican, etc
etc, va savoir pourquoi je me suis retrouvé dans cette merde
mondiale à ce moment-là, au moment où enfin la justice des hommes
met la main sur mes tortionnaires ! Ah quel panache ce caca sous
mes chaussures !
Et je dois dire que
je suis bien sorti d’auschweitz une fois pour toute, mais
croyez-vous que j’ai des nouvelles de mes enfants ? Non.
Croyez-vous que j’ai un espoir de me voir rembourser la somme
volée, sans même parler des intérêts ? Non. Merde quoi, ça
s’appelle la part réservataire, et même en usufruit, c’est
quand-même un dû.
Tous les jours de ma
vie, je travaille à bousiller leur ‘royaume’ fait de boulettes
de caca de bébé constipé, et qui saigne du cul.
Ca ne me laisse que
ZERO vacances, je dors avec mon pantalon TOUTES LES NUITS, je ne me
rase que rarement, car JE N’AI PAS LE TEMPS. Ce qui fait peur à la
plupart des gens, moi je m’en fous. Ce qui déchire le coeur de la
plupart des gens, moi ça me motive à mettre en PLS et commencer à
poser les questions d’usage en attendant l’ambulance, ou s’il
n’y a plus de questions, le corbillard.
Donc dans cette
lutte qui est devenue une guerre pendant ce temps, à une époque où
bien des entrepreneurs avaient investi dans la destruction de villes
entières, j’en veux pour preuve le fait de fabriquer des tours
d’habitation avec des panneaux inflammables, je continue à avancer
sans avoir le ‘luxe’ de me reposer. Le résultat c’est que mon
esprit s’est complètement détaché de l’émotion relative à la
vengeance/justice. Je n’ai plus de place pour les enfantillages et
l’ignorance des choses graves de ce monde en guerre. Je regarde les
bas-fonds de la corruption humaine avec une désillusion qui me
rapproche du ciel, au sens intellectuel, les merdes ne volent pas.
Car il n’y a que
dans les védas, dans la mythologie grecque, ou dans la Bible bien
entendu, que l’on trouve des passages qui peuvent permettre
d’aborder ce qui s’approche le plus d’une ‘rétribution’
adéquate face à un tel niveau d’abrutissement démentiel.
Peut-être est-ce
pour cela que la Bible dit bien que la vengeance appartient à Dieu.
Logique non ? Car devant tant d’horreur en érection dans du
sang de bébés, se venger reviendrait à devenir fou je crois, ou
tout du moins chercher à le faire pendant des années. Donc je crois
que c’est cela tout simplement qui m’a aidé à tenir : ne
pas le prendre perso, comme un bon militaire.
Et maintenant la
vengeance arrive, dans sa dimension judiciaire, policière,
militaire, incendiaire.
Car il n’est pas
interdit de lutter, de se défendre, de dénoncer, et pourquoi pas de
coller une tarte ou deux de temps en temps. Mais à part la légitime
défense, ou les cas où l’on intervient pour sauver des innocents,
se venger soi-même, je pense, a le défaut de faire prendre le
risque de laisser échapper le coupable à une partie de ce qu’il
mérite ici-bas. Rien ne remplace le plaisir immense de voir des
monstres confrontés à leurs actes EN PUBLIC, et ça c’est
vraiment horrible (ou jouissif, selon l’angle d’attaque). TANT
MIEUX. Souvent, lorsque le coupable d’horreurs est abattu par la
police, les proches des victimes expriment le regret qu’on n’ait
pas pu l’amener face à ses juges.
Je n’ai rien à
voir avec ces gens, il est évident que je n’ai plus aucune
affection pour eux, mais je n’ai plus non plus de colère, ce sont
les stades naturels psychologiques face à la mort ; le refus,
la colère, la tristesse, et l’acceptation. J’en suis à
l’acceptation, l’acceptation du fait que ces gens-là et
moi-mêmes sommes totalement différents. Je me suis retrouvé au
mauvais moment au mauvais endroit par ma naissance. J’ai appris la
noblesse par la force, j’ai appris la vie par moi-même, j’ai
appris la sagesse par la guerre, et l’amour par la perte. J’ai
appris la force par l’amour.
Je n’en donnerai
pas une goutte à ces gens, ce serait un poison mortel dans leur
équilibre mental imaginaire et pschopathologique, incestuel
post-freudien, je ne voudrai pas les terminer avant qu’ils ne
comparaissent.
Bon, si ça arrive
par accident, j’en suis plus à me lamenter sur mon sort, une balle
de perdue, dix de retrouvées.
Plus de de dix fois
la galle hyper-profuse, Ascabiol est mon ami ! Des céphalées
dans la forêt avec des vomissements en jets à me faire tomber les
plombages et me faire des plaques d’abdos et me limer les côtes
cassées (au niveau du fossile des fractures). Me faire braquer dans
ma chambre d’hôtel par des flics qui tremblent, le canon sur la
tête, des troupes d’élite. Ramener des gens aux urgences, mon
père, ma femme, mon enfant, des brûlés, des accidentés, y aller
moi-même, ma déco d’intérieur, c’est celle de l’ambulance.
Apprendre par des moyens détournés que mon fils aîné se prend
pour spiderman. Avoir vu des faux-flics me menacer chez moi avec des
gants en cuir. Apprendre qu’on viole mes enfants en changeant leurs
couches. Avoir frôlé la mort en bateau, à pied, en voiture, à
moto, à cheval, avec une femme, dans des restos, et tout ça pour du
fric, du fric d’un mort. Me faire insulter, calomnier, menacer,
trahir, mais jamais ridiculiser. Me faire flinguer dans la neige.
Etre cocu au point de devenir une blague populaire. Se faire
dévisager par le lieutenant d’une section de blindés légers sur
le parking devant chez moi. Voir des gens mourir pour avoir été
sympathiques avec moi. Voir des avions de chasse en rase-motte devant
mon balcon, ou au dessus de ma tête, pour des bonnes et des
mauvaises raisons. Des super pumas. Poursuivi par des orages de
grêle. Se faire accuser d’être l’antéchrist. Se faire voler
tout ce qui restait de la vie d’avant. Être tancé par des
simulacres virtuels du diable, dans un grand jeu de rôles. Voir le
Mistral à Marseille. Se retrouver coincé entre Gladio et la mer
bleue et profonde. Ecouter des chants de jeunes soldats dans la nuit,
près du campement. Voir des orages de loin dans un horizon de
guerre. Faire la morale à un douanier russe. Faire la morale à un
ambassadeur russe qui parle allemand. Parler à un hypocrite sans lui
montrer que je vois son jeux. Constater un deal pour une bombe
nucléaire dans la ville où elle est sensée exploser. Rencontrer
des tueurs de guerre, des assassins, dormir avec. Bouffer du riz
pourri avec des soldats africains dans un abri nucléaire. Se faire
traiter de SDF. Sentir le vent tourner autours de la montagne au
sommet de laquelle vous méditez. Voir les mirages en rase motte
juste en dessous, prenant le virage pour éviter le sommet d’à
côté. Préparer des cambriolages pour manger sans jamais pouvoir en
faire un, maigrir. Voir des croix glorieuses dans le ciel (faites par
des avions). Expliquer et démontrer pendant quatre heures à un
procureur qu’il sera fusillé à cause de sa corruption. Inspirer
la peur aux gens à cause de ce qu’on vous a fait. Contempler
l’histoire et ensuite se faire rattraper par elle. Être au milieu
d’un gros braquage.
Donner des
instructions de guerre, soigner les enfants, parler à une femme,
regarder les roses grandir. Regarder des roses mourir.
Regarder des trains
de marchandises, regarder les nuages et y lire la politique, regarder
les arbres et y lire l’histoire, regarder les pierres et y
contempler les rois, regarder le feu et y voir l’enfer.
Regarder des
chanteuses de mauvais goût, des continents de plastique, des
accidents d’avions, des fraudeurs du fisc en politique. Des agents
doubles qui affirment tout avouer.
Allez, à la
prochaine bande de nouilles en treilli.
lundi 17 avril 2017
Un Oeuf de Pâques
Bonjour à mes
enfants, Bonjour à mes amis,
C’est Pâques, et
aujourd’hui, une inspiration me prend. Je vais vous parler de mes
enfants.
Depuis 6 ans que je
ne les ai pas vus, il est temps maintenant de faire un petit résumé
de la situation.
J’emploierai des
mots simples, pour que mes enfants eux-mêmes puissent lire les mots
de cette petite histoire, et aussi, tous les autres enfants.
Et puis je leur ai
promis de continuer à les tenir au courant.
Mes enfants sont
comme tous les enfants, ils sont merveilleux, deux fils.
Les gens autours de
notre famille ont vraiment été très méchants, et ont exercé
beaucoup de pressions sur leur mère pour casser notre famille. Ils
ont tout fait ensuite pour dire du mal de moi.
Pourquoi ?
Pour de l’argent.
Il faut savoir que la Suisse est un pays très très méchant et bête
où plein de banquiers vivent ensemble et font tout pour garder leur
argent qu’ils ont très souvent volé. Les exemples sont nombreux,
mais je ne vais pas les raconter ici, je l’ai déjà fait dans
d’autres articles.
J’écris ces
lignes pour que les gens qui ne sont pas des banquiers, et qui ont
entendu plein de mal sur moi, se rendent compte que tout cela est
faux, que je suis un gentil papa, et que c’est totalement injuste
que je ne voie pas mes enfants.
Nous avons vécu
dans un chalet en montagne, c’est là que Nathan est né. Cette
région s’appelle les Diablerets, et c’est un endroit où les
gens adorent le diable. Les gens n’ont pas été gentils. Papa a eu
beaucoup de problèmes. La société suisse nous avait mis là-haut
pour me punir d’avoir découvert plein de secrets des banquiers et
leurs affreuses histoires. Ils espéraient que je meure là-haut.
Quand nous avons fui
cette région, nous sommes finalement allés vivre dans un mobilhome,
une caravane. C’est là que j’ai accouché ma femme de Timothée.
La vie n’était pas facile là-bas non-plus. C’est le moins qu’on
puisse dire.
Ma mère ne m’a
pas aidé. Mais après un moment elle a proposé que je travaille
avec elle comme pour faire semblant de m’aider. Ce qui est faux. Il
y a longtemps j’avais déjà travaillé avec elle, tout comme ma
sœur, mais je n’avais pas besoin d’elle pour trouver un travail,
je me suis toujours débrouillé sans elle. C’est elle qui
cherchait toujours à me tirer vers elle, pour me présenter ses amis
banquiers, surtout leurs femmes, et essayer de me faire devenir bête
et méchant.
Il faut savoir aussi
que le grand-père de Nathan et Tim est mort dans des ‘circonstances
louches’ (je crois qu’il a été tué), et que Pirkko la sorcière
toute noire a pris tout l’argent. C’est pour ça qu’elle et ses
amis bêtes et méchants veulent soit que je meure, soit que je
devienne bête et méchant comme eux. Et tant que cela durera, il
empêcheront Nathan et Tim de sortir de la Suisse, ce pays bête et
méchant.
Il y a plein de gens
qui pensent comme moi, et qui savent tous les petits secrets de ces
banquiers, et qui font une grosse guerre pour sauver le monde des
griffes des gens qui adorent le diable, et qui font plein de mal aux
petits enfants. Nous sommes en train de gagner, c’est sûr.
Ces banquiers bêtes
et méchants sont de plus en plus fous, ils ont peur, et des armées
de guerriers courageux vont bientôt les pendre dans la rue, et
ensuite marcher sur leurs cadavres en buvant de la bière et avec de
la jolie musique, comme a la fin de toutes les guerres où les
gentils font comme il faut.
Les USA, la Russie,
et même la France font la guerre à Daesh qu’on entend partout à
la télé, et Daesh est payé par des banquiers bêtes et méchants.
Un jour je vous parlerai de Daesh, les méchants guerriers très bêtes.
J’ai divorcé de
la mère de mes enfants parce qu’elle devenait méchante avec moi.
Elle me criait dessus tous les jours, et je ne voulais pas devenir
méchant. Je ne suis pas bête. Sandy faisait comme ça avec moi à
cause des pressions que des méchants faisaient sur elle, avant ça
Sandy avait été très courageuse pour ses enfants et avait vécu
des choses très dures. Les médecins qui aiment le diable ont fait
beaucoup de mal à Timothée quand il était petit, beaucoup de mal.
Et pour une maman, voir des choses comme ça et en plus être très
malade, c’est une des pires tortures qu’on puisse vivre.
Après mon divorce,
j’ai rencontré Tiphaine et nous avons essayé de faire une ferme
avec des chevaux. Tout a vite été cassé par les méchants, et
Tiphaine et moi avons quitté la Suisse, et c’est là que Papa a
écrit un livre.
Ce livre, beaucoup
de gentils guerriers très forts l’ont lu, sont devenus très en
colère, parce qu’ils avaient tous un peu d’argent dans des
banques suisses, comme tout le monde. Mais ils ne savaient pas à
quel point les suisses peuvent être méchants. Parce que les suisses
ça fait longtemps qu’ils font croire au monde qu’ils sont très
gentils, et juste un peu bêtes.
Papa il est devenu
un peu connu après ce livre.
Il y a un film qui
raconte une histoire un peu comme ça, c’est le film ‘Bouboule’.
C’est marrant parce que mon papa à moi il m’appelait Böbö,
parce que quand je pleurais ça faisait, beuuuuuh, beuuuuuh. Et
apparemment, je pleurais souvent. Ma maman me disait aussi que
j’étais pas beau quand j’étais petit, mais ça c’est parce
qu’elle est méchante.
Je me rappelle
aujourd’hui de Timothée dans ma main, prématuré, il faisait
froid. Il fallait que j’appelle les secours d’une main, et que je
le colle contre mon torse de l’autre pour le chauffer. En même
temps surveiller les écoulements de sang de leur mère dans l’autre
chambre. Papa il sait accoucher une femme maintenant. Dieu tout
puissant lui a montré plein de choses, et il s’est servi des
méchants pour ça, nanana !
Pourquoi les
banquiers suisses sont aussi méchants ? Parce qu’ils savent
que notre Terre, cette jolie planète toute malade, est en danger, à
cause de la bêtise de plein de gens. Alors ils ont volé plein
d’argent pour se mettre à l’abri, pensant qu’ils allaient
laisser mourir tout le monde sauf eux. Pour ça il fallait persuader
les gens que tout allait bien, pendant qu’ils volaient tout cet
argent. Ils sont devenus fous, parce que maintenant les gens savent
tout ça.
En plus ils gardent
Nathan et Tim parce qu’ils se disent que si je meurs, tout l’argent
de mon papa qu’ils ont volé, et bien c’est mes enfants qui
l’auront, et alors c’est normal, ils les gardent en prison, comme
beaucoup de princes emprisonnés dans l’histoire de cette planète
malade.
Tout ça il faut que
les gens sachent, parce que c’est pas normal qu’un papa qui
n’aime pas l’argent plus qu’un brave guerrier, mais qui veut
juste être un bon papa, et un homme bien, se fasse chier toute sa
vie à cause de l’argent, et qu’on lui vole ses enfants.
Maintenant Papa il
est en France, le pays des gens libres, et il s’occupe de trouver
toutes les choses que ces méchants banquiers ont faites. Beaucoup de
journalistes, de politiciens, de militaires, de policiers, et de
simples gens font la même chose que Papa, et c’est très drôle.
On s’amuse bien
parce que on voit bien que les bêtes et méchants, quand on sait ce
qu’ils ont fait, et bien ça fait beaucoup rire. Je vous explique.
L’homme est un
animal sans poil (ou juste un peu), et quand il fait la guerre, il
ressemble toujours à un autre animal. Ca peut être un ours, un
lion, un léopard ou n’importe quel autre animal. Et bien le
banquier suisse, quand il a tué des gens pour leur voler leur
argent, il a ressemblé à un cochon. Et ca c’est très drôle.
Tous les suisses ne
sont pas des cochons bien sûr, il y a des journalistes là-bas, des
gens pauvres, et même des politiciens qui se sont battus et qui se
battent encore pour la justice. Il faut prier pour eux, parce que
leur vie elle est très dure. Une porcherie ça sent pas bon.
On a aussi un autre
problème, c’est qu’il y a des gens qui font la guerre contre les
banquiers bêtes et méchants parce qu’ils veulent prendre l’argent
et faire comme eux après. Mais ça c’est pas grave parce qu’ils
sont des traîtres, et les traîtres, ça finit toujours très mal.
Finalement, si les
banquiers bêtes et méchants ils ne retenaient pas mes enfants en
suisse, je ne serai pas obligé de faire la guerre comme ça contre
la suisse. On peut donc considérer, c’est à dire penser, que les
banquiers bêtes et méchants font du mal à la suisse en me forçant
à lui faire la guerre, en retenant mes enfants. Et ça c’est vrai.
Il y a encore
quelques années, la suisse elle aimait encore Dieu, il y a longtemps
de cela, Dieu avait fait un cadeau ENORME qui a donné beaucoup de
puissance à la Suisse, et même de l’argent. Tout l’argent des
Suisse n’ a pas été volé. Il n’y a pas que des méchants
là-bas. Mais depuis quelques années, les choses sont allées très
mal pour la Suisse, surtout depuis 1993, l’année où mon papa est
mort.
Alors les enfants,
les gentils ils ont la vie éternelle. Mon papa il était très fort,
et gentil. Il n’est plus de ce monde, mais souvent il me parle dans
mes rêves, et souvent je sens sa force en moi. Il est toujours
vivant, mais ailleurs, ce ne sont pas des croyances, c’est la VIE !
Ca marche comme ça,
punkt schluss !
Les guerriers
méchants, qui violent les femmes, qui tuent pour de l’argent, ça
s’appelle un mercenaire, et les mercenaires, ça meurt tout seul et
très triste, ça se voit dans leurs yeux. Ils ont décidé un jour
d’arrêter d’être gentils (on est tous gentil au départ), et ça
c’est lâche, c’est faible, c’est pas bien.
Mais quand on est
gentil, on a tout à fait le droit d‘être en colère, très en
colère. Dieu lui-même est en colère, très en colère. Alors les
enfants, restez gentils et courageux.
Votre papa en colère
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