jeudi 7 novembre 2019

Si Paris m'était raconté! (En verlan dans le texte)

Des nouvelles pour le moral des troupes

Après avoir gardé le silence un bon moment, je reprends la parole pour quelques lignes, afin de vous garder ‘au jus’. La situation mondiale est ce qu’elle est, et commence à correspondre à ce que beaucoup de gens attendent, c’est-à-dire que cet espèce d’embrasement prend de la vitesse ; certains l’attendaient pour, comme d’habitude, faire de l’argent avec, et d’autres, parce que patienter et faire taire la colère n’est pas une chose qu’il est possible d’accomplir éternellement.
J’écris aussi et surtout pour mes enfants, mes deux fils, afin qu’ils sachent qu’ils ont un père, que ce père pense continuellement à eux, qu’il les aime, et que ça aussi ça fait monter la moutarde dans la machine à laver.

Imaginez que je ne compte plus le nombre d’années passées sans avoir de leurs nouvelles, sans JAMAIS les entendre au téléphone, ou même dans une vidéo youtube. Aujourd’hui je comprends mieux pourquoi je me suis pris un tel paquet de calomnies à la figure ; ils savent ce qui leur pend au nez, ils ont honte tout au fond d’eux, alors ils s’inventent une histoire sur ce qu’ils auraient aimé que la situation soit. ‘Ils se font un film’. De ce scénari j’ai encore eu récemment un écho, porté par une messagère bien involontaire de cet état d’esprit qui domine ceux qui aujourd’hui ne peuvent être qualifiés autrement que de kidnappeurs. Cette chanson vous la connaissez, chers lecteurs, et bien elle n’a pas changé d’un iota. Je n’ai aucune envie de revenir là dessus, les archives blogspot ne sont là que pour avoir une estimation du contenu historique de la fosse à purin.

J’écoute la musique que j’écoutais dans les années 90, et je reviens sur ces souvenirs, qui me montrent bien que je suis dans le vrai, plus que je n’aurai pu l’imaginer à l’époque. Vous parler de ce que ces gens qui constituaient ma soit disant famille m’ont fait, de ce qu’ils me font encore, est naturel et nécessaire, car ma situation s’assimile de bien des côtés, à celle des Gilets Jaunes, et l’attitude de mes oppresseurs, à celle du président français, que les Gilets Jaunes estiment être responsable de toute cette situation. Calomniés, menacés, agressés, dépossédés, empoisonnés, et plus encore, mais en passe de devenir des héros de guerre, des héros historiques, à un niveau biblique.

Je suis bien placé pour savoir ce que c’est que la colère, et c’est à ce propos que je pose ces quelques lignes. Aujourd’hui je regarde l’histoire défiler devant moi, et cela me rappelle quelques maximes de sagesse puisées ici ou là, dans le bouddhisme, comme dans le Coran, ou même ailleurs. Il s’agit, quand l’injustice est à son comble, de ne pas céder à la facilité. Penser aux siens, se protéger, s’organiser, dénoncer, éduquer ce qui peut l’être.
Mais, très chers amis, collègues, et autres, bien sûr qu’un jour il faut laisser aller, bien entendu qu’un jour il faut ‘aller au contact’. Il est bien entendu souvent inutile de se déplacer d’ailleurs, car le mauvais cochon, insatiable qu’il est, n’en n’a cure des limites de propriétés, pour ce qui est de chercher son prochain repas.

En d’autres termes, la situation est limpide, il n’y a plus rien à faire pour calmer le jeu de façon artificielle. Et j’en arrive là au point central de cette missive, un aveu, une confession ; JAMAIS je n’aurai cru que certaines personnes soient totalement incapables de se remettre en question, de s’adapter, et de faire un effort. Dans la tempête que nous vivons, j’ai vu des choses incroyables, j’ai vu des gens dans des situations vraiment nauséabondes faire les bons choix. C’est d’ailleurs un cadeau INESTIMABLE que je me considère dans l’obligation de mettre au crédit du compte de Dieu.
Mais je veux dire, c’est pas à nous de prendre des claques pour les conneries, les crimes, les meurtres commis par ceux qui veulent nous tuer, quand-même ! C’est en cela que je qualifiais ces efforts faits pour sauver un max de gens d’artificiels. Car c’est bien à une place comme celle-là que le destin nous a mis, vous les Gilets Jaunes, et moi-même aussi. Ces efforts sont faits, on ne peut plus rien nous reprocher. J’ai aussi été qualifié comme vous de toutes sortes de qualificatifs calomnieux.

Je reconnais aussi bien-sûr que je ne savais pas tout, et qu’encore aujourd’hui j’en apprends des vertes et des pas mûres sur tel ou tel réseau, sur telle ou telle structure mentale, sur telles ou telles actions. C’est aussi cela la raison de ma patience extrême qui a pu en faire douter plus d’un. Cette patience est arrivée au bout. Non que je sois au bord de l’explosion, je comparerai plutôt cela à un évier qui se vide. Je ne retenais pas les tentions en les refoulant, mais en les comprenant, en les analysant. Je ne me sens en aucun cas hyper énervé, bien que parfois j’ai quand même l’impression d’avoir un lion au fond de moi qui est prêt à déchirer. Non, je me sens comme au sortir de la douche, après m’être habillé de façon adéquate, avant de sortir sous une grosse pluie continue et bien lourde.

C’est la guerre civile qui pointe son nez, avec tous les experts et les spécialistes qui se voient déjà en leaders ‘courageux’, et super combattants. On imagine bien que leur cortex frontal leur sert d’écran de projection pour tous les films de merde qu’ils ont bien pu avaler, comme des cochons dans l’auge. Mais cela ne nous regarde plus, car nous avons appris une chose en tout cas chers collègues, c’est leur excellence dans l’art bien ‘français’ en apparence, de la récupération, de l’usurpation, du vol d’identité. Cela je crois est bien inscrit au fond de nous au fer rouge, et voilà bien une chose que le fait d’attendre, d’attendre et encore d’attendre, nous a permis d’admirer ; le grand défilé des enfants de putains, des hypocrites, et je vous le dis aujourd’hui, ‘ainsi font font font, les petites marionnettes’ a été créé pour eux, enfin pour nous plutôt, mais en se basant sur leur comportement. N’est-ce pas magnifique, de voir à quel point toute cette sagesse populaire semble dépeindre notre situation actuelle ? A genoux maintenant ! Mécréants ! (je plaisante).

Toute cette méchanceté, toute cette sorcellerie, toutes ces erreurs de jugement, qui semblent se mettre de concert pour nous y pousser, à cette guerre civile, il faut que vous vous le disiez, est en grande partie ARTIFICIELLE, et c’est aussi bien pour cela que je souhaitais attendre, afin de le chopper ce vieux barbu derrière le rideau, comme dans ‘Alice au pays’ de la connerie brutale. Je crois que ça aussi, c’est fait. Ce qu’il aurait fallu, c’est la justice, mais ils font tout pour un bain de sang, car ils préfèrent le chaos, pour avoir une chance d’échapper aux conséquences de leurs actes.

Et maintenant je voulais vous le dire, à quel point, une fois que je me la suis pris, la claque, la vraie,  dans ma vie, à quel point je l’ai senti, le diable, au travers de tel ou tel ‘joueur de playstation’, dans les méandre de la guerre cyber, à quel point je l’ai senti impatient de me voir sombrer dans tel ou tel piège de cette société où il était sûr de tout maîtriser. En ce dernier point je ne souhaitais pas forcément le contredire, bien trop méditant que j’étais, mais pour le point d’après, ça oui, je souhaitais à tout prix, ne pas le laisser m’imposer sa perception des choses. Devenir gourou, devenir violeur d’enfants, devenir quoi que ce soit qui puisse écraser ma foi. Une de ces nombreuses sorties qu’il réserve en apparence à ceux qui veulent cesser d’avoir soif dans ce désert. Cesser d’avoir chaud, cesser de vieillir devant son miroir.

Et bien je vous le dis, maintenant je considère avoir passé cette étape, son répertoire est vide, son argumentaire est séché, il ne lui reste que la guerre civile.
A la suite maintenant ! que les choses deviennent sérieuses maintenant, mais pas seulement pour ceux qui savent ces choses !
J’ai tout fait pour empêcher la mort de frapper autant de monde si vite, sans leur laisser le choix. C’est un peu l’histoire de la ‘bombe islamique’ si vous voulez. Moi ce sont des rêves ou plutôt des cauchemars que j’ai depuis 25 ans maintenant, c’est le sens de ma vie, d’avoir passé autant de temps à vous les expliquer, tout en les étudiant, ces choses. Pendant que celui qui est le plus coupable de l’avoir détruite ma vie, écrit un bouquin sur [l’atome vert !]. Je ne me permettrait en aucun cas de faire un lien direct et maçoniquement ENTIEREMENT corrélé, mais bon, je suis quand-même en droit de dire que lui n’a pas passé son temps à éduquer les ‘masses’ sur les dangers qui les menaçaient, ça c’est sûr. C’est pas comme si je disais que lui et son meilleur ami le procureur du canton de Vaud étaient des adorateurs du diable ! Nan, je dis juste que ce sont des égoïstes comme peu ont eu le culot de l’être sous ce soleil qui nous écorche.

Je crois qu’on a assez bossé pour prétendre être des gens bien renseignés, et qu’il est temps maintenant de passer à autre-chose, c’est-à-dire la justice, la justice par la violence, la violence naturelle engendrée par l’urgence, l’urgence d’éteindre le feu de la stupidité, de l’erreur (mot traduit par ‘péché’ dans le livre) de ces cochons (donc là toute cette masse de gens qui ne pensent devoir leur salut qu’à l’argent qu’ils ont volé, et non pas mon beau-frère, bien entendu). Car leurs magouilles consistent aussi à le créer ce ‘choc des civilisations’ dont tout le monde parle depuis un certain temps. Donc on magouille avec le Pakistan, mais on tue les musulmans de France, allez comprendre un délire de cochon !

Disclaimer ; toute ressemblance dans ces lignes entre mon beau-frère et un cochon, ou un adorateur de Satan, ou encore un voleur d’enfant (ça, ça reste à prouver), un corrupteur de la loi, un voleur d’héritage, serait purement fortuite, et sans doute due à de la dissonance cognitive. Cette situation où autant de choses lui tomberaient sur la tête par ma ‘faute’, est entièrement due au fait que mes deux fils sont retenus de force et par manipulation, loin de moi, contre mon gré, contre les principes mêmes de la justice, et sous l’influence du diable bien entendu. En d’autres termes, j’ai autre chose à foutre que de parler de toi, mais je suis bien obligé, par la force des choses, si ce n’était à cause de la situation de mes enfants, je ferai bien autre chose que de penser à ta sale gueule (façon populaire de dire que je te trouve moche). Mais bon, des fois je me dis que tu le fais exprès, car cela doit te donner le sentiment de vivre. Ne dit-on pas que voler la femme d’un homme est la façon du pauvre d’esprit, de lui vouer de l’admiration, je ne sais plus de qui elle est celle-là, mais d’un homme connu. Donc voilà, j’espère que toi et tous tes petits copains seront clairement dissociés de toute cette masse de cochons, et traités comme tels, par la justice, celle que tu entends qui gronde, celle qui pointe à l’horizon. Et je pense qu’aujourd’hui beaucoup comprennent mieux ce qu’il voulait dire par ‘et je viens en premier pour m’occuper de ceux qui se réjouissent de ma colère’. Le jour de sa colère est un jour noir. Et oui certains s’étaient ingéniés à concevoir des plans pour balancer toute ‘la masse’ à la mort, et ce au travers d’entreprises cotées en bourse.

Donc maintenant, on va y aller tous ensemble, et qui oserait nier que ceux qui ont bien fait leurs devoirs sont ceux qui seront des guides sur qui on peut compter ? Qui oserait penser que les plus grands traîtres de l’histoire de l’homme seraient des gens qui pourraient espérer ne serait-ce qu’une seconde s’en tirer, dans une époque d’information comme la nôtre ?
Donc on y va tous ensemble, et on va bien gentiment mettre en place les lois qui garantissent le salut de la race humaine, sinon il est clair que se faire couper la tête serait un bien tendre châtiment pour toute cette clique de vieux schnocks qui tripotent tout ce qui n’a pas dix ans.

Ce que j’essayais de vous dire, et ce donc à quoi je voulais vous préparer au travers de ces lignes, c’est qu’il y en a plus que ce que je pensais qui sont en fait totalement incapables de changer de comportement, et ça, c’est fascinant !

Et pour mes enfants, je ne crois pas que vous puissiez comprendre tout cela à votre âge, mais je pense bien que cela va vous être expliqué. Sachez maintenant que c’est bien grâce au fait de vous avoir eu, et d’avoir dû veiller sur vous, et ensuite d’ avoir dû le faire à distance, que je suis devenu ce que je suis devenu. Un homme de guerre. Et que la guerre, bien entendu, je la fais en bonne partie pour vous.

Voilà, bisous à tous les êtres humains, et on se réjouis de la tourner cette page !