mercredi 28 novembre 2018

Soins du visage, thérapie lumineuse


Les radars sont massivement 'vandalisés'.

Avant que les médias ne tournent cela en une sauce insipide de 'vandalisme', de 'déprédation de bien public' et autres constatations inconscientes du contexte juridique réel en cause dans ce phénomène clairement populaire, je me permets justement de préciser quelques détails juridiques indéniables.

Lorsque vous roulez, il vaut mieux regarder la route. Vérifier toutes les 15 secondes sa vitesse sur le compteur représente un danger évident. Roulez 10kmh en dessous et vous verrez les gens s'agglutiner à votre pare-choc, c'est stressant, c'est dangereux.

Mettre une limite de tolérance à 5kmh n'est pas suffisant, pas la peine de s'étendre sur le sujet, le temps de remettre les gaz, et hop, on est dans la zone bénéficiaire. Les gens le savent tous, 'c'est pour remplir les caisses de l'état.' Oui, sans doute, mais c'est surtout dangereux. Et je ne suis pas là pour imaginer les calculs nécessaires pour rendre à la conduite son caractère 'agréable', mais nul doute que cesser de 'maximiser le bénéfice espéré' ne peut ici que donner des morts en plus. Donc là, la neutralisation de la plupart de ces radars est un geste logique dans son but, bien qu'un peu brutal son application récente. Il s'agit ici bien sûr de changer la loi sur la circulation, ou les dispositions policières concernant la répression.
Et je pense bien sûr que des radars à proximité des écoles, ou avant les points sensibles en terme de sécurité routière, sont des endroits où ils sont une bénédiction angélique.
Mais au milieu du bout droit de 10 km, lorsqu'il n'y a personne, on attend plus de mettre une bûche au type dans sa BMW M3 qui roule à 180 au lieu de 80, plus que la dame âgée qui vient de laisser glisser sa voiture au delà des 86. Hein ? On est d'accord ? Et faire de la thune de façon statistique avec ce genre de 'clients', vous appelez cela comment ? Les français on décidé, ils ont dit : 'DU RACKET' !

Juste, compris, terminé.

La méthode d'extraction de ces champignons métalliques a beau être brutale, elle est néanmoins justifiée, puisque du côté du gouvernement, c'est un peu le 'cause toujours tu m'intéresses'.

Quand à dire que le matériel est détruit oui, ou neutralisé encore, oui, mais vandalisé, non.
Ce matériel est utilisé de façon délictueuse, le gvnmt laisse cela se faire, le matériel est donc neutralisé. Ce serait plus élégant, et moins cher, de le démonter proprement, mais je crois bien que c'est par manque de temps que la méthode a évolué vers quelque chose de plus tactique, de plus sportif. Détail de l'histoire.

Il s'agissait ici de simplement de mettre fin à un racket dangereux. Il est bien entendu que changer la loi dans ce sens est donc attendu en réponse du pouvoir dans le moyen terme.
Le peuple a parlé, point final.

Et pour votre gouverne, illuminée qu'elle est par la joie de la connaissance des équations concernant le choc mou en physique classique, il est clair que se faire coller au cul par un gros tas de métal conduit par un abruti dans sa camionnette à 10 mètres de vous quand on roule à 120... c'est un peu un truc qui rentre dans la catégorie 'tentative d'assassinat' plus qu'autre choses... donc les flics ne devraient pas être occupés à lazériser vos paupières de façe, mais à rouler en banalisée pour coller tous les empaffés schyzophrènes qui vous collent au cul. Ces gens sont des assassins, point final, conscients ou pas. On est en droit de se demander pourquoi rien à ma connaissance n'a été fait pour tenir compte du fait que violer la distance de sécurité d'une telle façon est une mise en mise en danger volontaire de la vie d'autrui.
Y a un gros tas de gens qui devraient être virés sous le prétexte d'être dangereux pour eux-même et la société.
A Ciao et à bientôt



Un peu de moutarde fonctionnelle?


Si j'ai bien compris ce que les français avec qui j'ai discuté de ce sujet m'ont dit, ou ce que j'ai pu glaner sur les réseaux, l'état français est devenu une machine à siphonner l'argent des français pour le compte d'une petite clique de gens que nous qualifierons de 'mystérieux' pour le moment pour la simple et bonne raison qu'ils ne sont que rarement clairement définis socialement. Ils sont difficiles à coincer si vous voulez.

Le destin a fait que je me sois retrouvé 'dans la nature' sans aucun moyen de subsistance autre que la solidarité, peu de temps avant les événements que nous vivons aujourd'hui, j'ai nommé le soulèvement des gilets jaunes. Je suis donc très bien placé pour comprendre la douleur des gens dont les revenus ne suffisent pas pour vivre décemment. De mon côté, cette situation personnelle des plus difficiles était due à une 'guerre de famille' dont j'ai été la victime pour des raisons d'opinions, de convictions, et d'intégrité (relative bien entendu). La plupart des français dont la grogne monte ces jours-ci ont pour leur part une raison principale de se lever dans la protestation, c'est que leur vie est devenue 'non-fonctionnelle'. Elle perd son sens de la même façon que vous pouvez encore rouler avec une voiture qui n'a que trois roues, mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus facile, et si il se trouve que votre roue vous a été volée par l'huissier de justice avec de faux prétextes, il est inévitable de sentir la moutarde vous monter au nez, une fois l'effet de surprise passé. La deuxième raison c'est que si ils se sont fait voler, c'est qu'ils n'étaient protégés par aucune 'société', par aucune magouille, par aucune puissance étrangère. Ils se sont donc retrouvés dans l'obligation de se soulever afin de la constituer eux-mêmes, cette société pas secrète, sans magouille, et qui constitue en soi une puissance au rayonnement international, j'ai nommé le peuple français.

« Tout augmente, ce n'est plus possible, ils sont déconnectés, ils ne nous écoutent pas, ils nous mentent, il ne nous reste rien pour vivre... »

De nombreux syndicats entrent en action, alors même que les gens ne font même plus confiance à ce genre de mécanismes sociaux. Le pouvoir en place (cf définition floue donnée plus haut), essaie d'utiliser les vieilles méthodes pour 'écraser la révolte', et la police dont les voitures sont pourries, et les retraites sûrement placées en bourse par d'autres, et sur des marchés risqués, se retrouve presque à devoir se matraquer elle-même, puisqu'elle se plaint exactement des mêmes choses que les gens qui sont en face. Le paradoxe est là puisqu'il est normal de continuer à défendre les institutions, ils ne vont quand-même pas laisser les gars les plus musclés et motivés aller donner une punition bien méritée pourtant à ces gens qui composent le gouvernement. Il ne sert à rien de déraper, et de tenter de sortir Macron par les cheveux dans la rue. Mais il est nécessaire que le peuple se soulève pour obtenir justice. Macron n'est pas responsable de tout, les gilets l'ont bien compris, qualifiant cette dernière hausse des taxes de 'goutte d'eau'. Il représente toutefois à la perfection les gens dont il défend les intérêts. Jeune premier au cerveau plein de grands mots, et maîtrisant à la perfection l'aspersion de perlimpinpin.

Mais plus que son pouvoir d'hypnothérapeute, ce dont je me méfie de mon côté, c'est de son pouvoir de provocation, ou plutôt du pouvoir de provocation des gens derrière lui, pour être exact.
Vous coller une volée de taxes de cet acabit, c'est un peu se foutre de vous, pour être honnête. C'est un peu comme dire à une personne menottée et couchée à terre de 'prendre sa voiture et de partir d'ici'. C'est à mi-chemin entre la torture psychologique, et la provocation diabolique.
Je ne viens pas dire ici que se soulever correspondrait à tomber dans le piège du diable, mais comme un flic face à un dérangé suicidaire qui vous insulte en agitant un couteau, il est nécessaire d'intervenir, mais il est encore plus nécessaire de ne même pas penser à l'insulte. Il faut absolument chasser cela de notre esprit. Le flic ici c'est les gens, le malade avec son couteau, c'est une certaine élite financière qui affiche 'ouvertement' (pas dans les médias bien-entendu, mais dans les faits), son dédain pour la notion de 'France'.


Ce qui se passe en France maintenant est extrêmement positif, ce mouvement donne des résultats inespérés, de mon point de vue, et dites-vous bien de toute façon qu'il n'y a pas le choix, puisque vos vies sont devenues non-fonctionnelles. Ca ne marche plus, kaput...
Donc dehors, soulèvement, imposition de limites infranchissables, et analyse de la situation réelle. Bref, prise en main de la voiture qui était clairement conduite par un alcoolique suicidaire. Je parle ici de cette clique financière.
N'allez pas penser que je définisse toute la finance comme un ennemi, je vous le dis les limites du secteur de l'ennemi sont floues. Mais sortir les dossiers les plus brûlants et en trouver les coupables permet de parcourir ce territoire tout en en balisant les frontières.
On ne prête pas sa femme, on ne confie pas son argent à des voleurs, et les gens suivis pour troubles graves de la personnalité ne doivent pas être nommés à la tête du pays.

Selon moi, le soulèvement que nous constatons doit avoir pour but de résoudre en premier lieu les principaux dossiers criminels qui sont une plaie à la gorge du peuple. Ensuite il s'agit de protéger ce dernier contre la résurgence de ce type de criminalité d'état dans de pareilles proportions. Pour ce faire il est nécessaire de redonner le pouvoir au peuple, car cela est inévitable. La perte progressive de ce pouvoir n'a généré qu'une seule chose, la lente croissance de la colère, ce n'est pas possible autrement, et c'est ce que l'on constate.

Moi je sais ce qu'ils avaient en tête, les gens de cette clique, pour tous ces gens qui composent la France, mais je préfère le garder pour moi, afin de ne pas mettre de l'huile sur le feu. Et je sais bien que beaucoup de français le savent au fond d'eux, et que quelque part, leur soulèvement est plus dû à cela qu'aux taxes sur le pétrole. Quand on se rend compte que votre gouvernement ne vous aime pas du tout, se fout de votre gueule, et vous écrase, que voulez-vous faire d'autre ? C'est un peu l'effet que cela m'a fait de me rendre compte que ma mère ne m'aimait pas du tout, cherchait à détruire ma réputation, et avait passé ses ordres pour que je disparaisse dans un 'accident'.