mercredi 20 juin 2018

Un acte de naissance qui me soulage


Juste une petite mise au point

N’ayant pas le loisir de passer du temps derrière un écran dans le cadre d’une vie sédentaire bien établie, je saisis l’occasion de mon passage dans un PMU pour tenir mes lecteurs au courant du dernier développement.

Je me suis récemment rendu compte que l’administration suisse a fait une erreur dans mon acte de naissance.
Selon leur dernier délire qui date de 2015, date à laquelle j’ai fait une demande d’acte de naissance, je serai né le 31 décembre, et non le 30, comme il est écrit dans mon passeport, ainsi que dans toute une série d’actes officiels en ma possession. Un détail, allez-vous me dire ! Mais non, ce n’en n’est pas un.

L’acte de naissance est la base même de votre existence juridique, et pour une unité sur une variable dans un fichier… hop, je n’existe plus.
Bien embêtant pour demander un quelconque acte officiel à partir de là.

La liste des malversations à mon égard de la part de l’administration suisse est longue, mais là, c’est le clou dans le cercueil, c’est la cerise sur le gâteau.

J’en suis bien heureux quelque part, car plutôt que de tenter de convaincre les gens que telle ou telle plainte a été oubliée dans un tiroir, il me suffit maintenant d’exhiber copie de cet acte de naissance afin de montrer que s’il y en a bien un qui a des problèmes relationnels avec le hasard dans les tiroirs de l’état helvétique, c’est moi.

Il restera aux stupides à se dire que cela est dû à une erreur involontaire, comme si un horloger vous vendait une Breitling après avoir malencontreusement marché dessus, ou si une Audi S4 neuve vous était livrée avec une courroie de distribution qui aurait déjà été utilisée pendant 130’000 km sur une autre voiture avant d’être malencontreusement montée sur la vôtre en lieu et place de la courroie neuve…

Je veux dire par là que l’état civil, l’administration en charge de la conservation de ces données, n’a d’autre chose à faire que de conserver ces dites données en s’assurant de ne pas laisser, je ne sais pas moi, un fou avec un lance flamme détruire les serveurs, un agent du mossad d’y mettre un virus en confondant le bâtiment avec un centre iranien d’enrichissement d’uranium, ou un franc-maçon de venir modifier les données à la pièce en me confondant avec Hitler… en imaginant que les fm soient ‘ligués’ contre la réincarnation de ce triste personnage, ce qui reste encore à démontrer.

Donc voilà, père tué, héritage volé, enfants subtilisés, pension alimentaire calculée sur une base lunaire, plaintes pénales dématérialisées, agressé un nombre quantique de fois, mes compagnes victimes de terrorisme psychologique, menacé de mort, empoisonné, manipulé… je passe direct à la fin ; et maintenant c’est mon existence juridique elle même qui est tout simplement niée.

Alors on en vient forcément à ce qui, comme la morve au nez, ne demande qu’à couler de source, c’est à dire, le fameux, le sempiternel, le rémanent, l’obsessionnel, POURQUOI, mais bon Dieu, pourquoi tant de haine ?

J’ai bien développé quelques théories alambiquées du type :’ce sont sûrement ceux qui ont le meilleur mobile qui sont derrière tout cela’, ou encore ‘mais bonsangmécébiensûr, si la famille du procureur tient un cabinet d’avocat avec la famille de ceux qui jouissent de mes richesses subtilisées, il y a très vraisemblablement collusion !’, mais bon, je vois que j’ai beau péter les pales du moulin au lance roquette, je n’en reste pas moins un don Quichotte paumé sur sa plage, l’épée à la main, avec ce moulin sans pales qui fait triste figure à cet endroit, et d’ailleurs, un moulin n’a rien à faire sur la plage.

Il n’avait pas le droit de s’occuper de cette affaire, le méchant monsieur, pas le droit.

Et maintenant, l’acte de naissance… comme je vous le disais, ‘ils’, les éléphants fou et maçons du mossad avec leur lance-flamme je suppose, ne pouvaient pas faire mieux que de produire une feuille de papier aussi emblématique que celle-là, je pense l’encadrer et bien entendu la mettre sur internet, en attendant qu’un Hitler né le 31 décembre 1974, et qui porterait mon nom ne vienne me coller un procès pour violation de la vie privée, usurpation d’identité.

En attendant, j’ai appris à survivre dans la forêt, à coller un mal de crâne en 4 heures à un procureur pourri, et son escouade de flics de choc, à défendre mon honneur sous différents régimes bananiers, à démonter les argumentaires de différents esclaves mentaux de telle ou telle appartenance politique, à interpréter le fil d’info d’une société mondiale en guerre silencieuse, j’en passe et des meilleures.

Mais des fois, devant mon feu, en train de cuire ma 11 millième galette au poivre, tout en surveillant les bruits alentours, j’en arrive à me demander comment tout cela va se terminer, car une clique pareille de gens, distribués à tous les échelons des administrations d’un pays (ou d’un autre), ne peut mener qu’à sa destruction, tout comme il n’est pas possible que le tourisme au sommet de l’Everest ne puisse continuer à se développer, tant que la question de la gestion des déchets qui s’y trouvent, laissés là par tous les ‘héros’ qui y sont montés, ne soit menée de façon sérieuse.

Ouaiiiiii, je suis au sommet du monde ! … Attends, faut que j’aille me délester d’un peu de matière fécale !’
OK, je mets où les bouteilles vides, je suis complètement bourré’
Bah, jette les de l’autre côté, il neige de toute façon’
Ah, ça fait du bien, on redescend demain ?’
Ben oui’
Bon alors c’est toi qui démonte les tentes, c’est ton tour’
Ah non rien à secouer, on a fini notre délire, moi je les laisse là, et comme je te le disais, de toute façon il neige’
C’est toi qui voit’

Discours fictif, mais fictif ou pas, une fois que le dégel arrive, les dégâts sont là, tapez ‘la plus haute poubelle du monde + EVEREST’

Ca devait leur faire un peu cet effet à tous ces pourris, d’être assis sur le sommet du monde, et de regarder les gens se tordre de douleur 7’000 mètres plus bas. Puis ils ont jeté leurs bouteilles vides, ont déféqué dans un coin, et puis un jour, le dégel est venu. Le spectacle est triste à voir, et mon acte de naissance truqué représente cela à merveille.

Et comme le disait Einstein, ‘Ah ces chinois, assis comme ils sont on dirait qu’il sont en train de déféquer’, c’est pas texto, mais je reviendrai là-dessus, dans un autre article (tapez, Einstein voyage Chine raciste).


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