vendredi 3 septembre 2021

Je vous le dis sans façons, vous êtes des mercenaires tricheurs, votre fin approche.

 

Encore un article fait dans la rapidité, pour quelques points de plus sur des ‘i’.


Automne 2014, j’arrive en compagnie d’une amie, ainsi que de ma compagne de l’époque, chez Lawrence D. (surnommé Lorentz).


Nous sommes dans une situation dite ‘précaire’, et sommes allés là-bas car nous pensions y trouver un ‘soutien aux personnes et familles en difficultés pour cause de problèmes avec les réseaux pédo-satanistes’. Je ne me sentais pas spécialement en difficulté, mais bon, si nous pouvons êtres accueillis dans une demeure ancienne, avec des gens bien éduqués, pour philosopher de façon honnête, pourquoi pas.


C’était encore un pot de miel, un piège d’opposition contrôlée. Cet homme vivait avec sa compagne, une certaine S. Lafargue, ainsi que la fille de cette dernière, Angélique.

Le type de personnalité d’Angélique correspond assez bien à la chanteuse Louanne, pour info (en moins grosse).


Ma compagne et mon amie finissent par repartir assez vite, car Lorentz s’avère rapidement être un homosexuel violent, du type schizophrène. Dans sa demeure, on peut voir défiler des individus assez proches du profil terroriste, des dealers, des illuminés du type ‘forces spéciales US’. L’un d’entre eux a eu le bras cassé par Lorentz dans un combat, appelons-le ‘Bradley’.


C’est après avoir gagné un combat contre Lorentz, que je serais témoin des terribles scènes du Bataclan, en regardant les nouvelles sur mon pc, chez lui.


Au fil des jours, ce connar* rouquin a l’habitude de se monter le bourrichon et d’entrer dans des états proches de la furie, et parfois de rentrer dans ‘ma’ chambre en forçant les portes anciennes, dont les battants volent alors et viennent claquer sur les côtés. Il se calme toujours immédiatement après cela, car je le fixe, et attends à chaque fois de savoir s’il veut en découdre ou non. Il s’assied alors la plupart du temps, et nous échangeons sur tous les sujets sur lesquels il souhaite amener la discussion. Il faut savoir que Lafargue nous a clairement annoncé dès le départ qu’il lui arrive de boire et d’aller hurler dans le jardin. Il n’y a que le bras cassé de Bradley pour mettre un signal de danger réel sur cette situation. Ce dernier est en fait un courtisan d’Angélique, et cela peut s’expliquer ainsi.


Ces gens ont tenté de me faire croire qu’Angélique avait les yeux sur ma personne.

Moi je m’en fous, mais si je ne la courtise pas, je ne dois pas avoir de problème avec qui que ce soit, logiquement.

Un soir Lorentz arrive pour une fois sans défoncer la porte, très doux il me fait un théâtre au bout duquel, il finit par me faire une sorte de déclaration d’amour dans laquelle il se permet d’appuyer son front contre le mien avec sa main sur mon épaule. J’attendais le moment où j’allais devoir repousser sa tentative de m’embrasser comme une grosse pédal*. Pas eu besoin, il a senti que c’était pas le moment de se ridiculiser.


Je ne sais plus combien de jours après il revient dans ma chambre, et c’est là que commence


LE COMBAT


Il s’approche de moi avec le même air de pédal* rouquine, barbue et avinée que le soir de sa ‘déclaration’. Là je dois avouer avoir manqué de réflexes, je me prends sans prévenir un fantastique coup de boule. J’ai perdu connaissance quelques secondes, pendant lesquelles nous sommes tombés au sol. Il y a eu résistance semi-consciente de ma part, mais c’est brumeux. J’ai eu le temps de me prendre trois fois dans la jambe gauche une tige rouillée qui était sur le côté de notre position. C’était un de ces étendages pliables pour sécher le linge, un des montants était cassé.

Puis ma conscience a eut fini de ‘rebooter’, et j’ai récupéré mes aptitudes. De dessous, d’un coup de hanche, je me suis dégagé de sa tentative de clé de jambe, et me suis retrouvé dessus. Assez rapidement je me suis retrouvé dans la position classique du ‘je suis assis sur toi, et je vais te refaire le portrait avec allégresse’. Je finis donc cette petite période agitée avec mes mains sur ses bras, assis sur son bassin (je savais que ça l’excitait en plus de cela, et ça me mettait de mauvaise humeur). Mon nez saignait sur son pull de pédale irlandaise.


Je passe les détails de ses paroles inutiles.


J’ai arrêté le combat, l’ai laissé se relever et partir de la chambre. Première erreur tactique de sa part, il m’a tourné le dos. Il est parti couïner chez sa maman, Lafargue a bien 20 ans de plus que lui. Elle me dira plus tard qu’il est allé lui dire que j’étais plus fort que lui, je ne peux pas ne pas citer cela.

Plus tard, une fois que je m’étais bandé la jambe, ayant constaté la profondeur de deux des trois trous, il revient dans ma chambre et vient vers moi avec une tête de connard irlandais hirsute, il a l’intention de me mettre sur la gueule ça se voit. Je lève ma garde et l’avertit de ne pas avancer plus, il continue ; première patate fouettée de la gauche dans sa gorge, il s’arrête.. il reprend son avance, je lui hurle de s’arrêter cette fois ci mais il continue, .. deuxième patate. Il s’arrête, puis reprend, je hurle encore, il continue, .. troisième patate.


Il refait un pas vers moi, puis semble pris par une main invisible au niveau de la gorge, son menton se baisse un peu, et son visage de brute semble indiquer un étrange mélange entre stupidité et mauvaise foi, avec son coulis de peur.

Sans même me regarder il se retourne et repart au premier étage chez ce qui semble bien être sa ‘pair de femelles’. Deuxième erreur, il m’a encore tourné le dos.


Fin de combat.


Les similitudes avec le combat récent contre le chien seront peut-être à découvrir dans une petite étude comparative pour les amateurs de poils et de sang. J’ai eu au moins deux occasions de le tuer qui se sont présentées à moi. Comme vous pouvez le constater, je ne l’ai pas fait. Mais son comportement était bien identique à ce chien maudit, lui m’aurait tué, aujourd’hui j’en suis sûr. Dans ma chambre, près de la porte, il y avait une masse, une pioche, une pelle. Il m’avait proposé de faire des boulots de déboisage, et autres défrichages dans sa propriété.

J’ai gagné deux fois en une soirée, et n’ait saisi aucune occasion de le frapper par derrière, avec un coup de pied par exemple.

Comprenez bien qu’avec le souffle coupé, et de dos, il n’aurait eu aucune chance.


Je passe sur toutes les façons que ces gens ont utilisées pour essayer de me séduire, ou de me faire miroiter des choses du genre ‘on va t’aider à t’en sortir’. Ils savaient très bien quels étaient mes problèmes personnels de lanceur d’alerte. C’est de la récupération d’opposants politiques. Une fois que c’est raté, on voit vraiment ce qu’ils ont au fond du coeur.


Après ce combat, je suis encore resté un mois chez eux, histoire de finir l’hiver. Il n’a plus essayé de faire son malin, quelque chose avait changé, et l’atmosphère était plus légère.


C’était dans les environs proches d’Angers, à Bouchemaine pour être exact.


Muni de ces infos vous ne devriez pas pouvoir les retrouver, sauf si bien sûr, vous êtes un peu renseignés.


Il représente parfaitement la domination US des années passées.

Les parallèles comportementaux avec macron sont nombreux.

Il cultivait son image de ‘bon français’ avec son béret, ses jolies fringues bien bourgeoises, son grand terrain.

J’avais en nettoyant la chambre qui m’avait été assignée par eux trouvé un petit livre qui traitait grosso modo de ‘la bête’. Un livre des années 80 avec illustrations et dont le but était de glorifier la puissance sexuelle d’un humanoïde très poilu.. Je l’ai mis au feu, faut pas pousser.


L’un des personnages passant de jour dans cette demeure, et avec qui j’avais travaillé dans la propriété, ressemblait de près à l’un des frères Kouachi. Je parle de ressemblance génétique, pas d’identité judiciaire. Il était aussi un prétendant de la petite Angélique.

Je soupçonne ces gens d’avoir prostitué cette jeune femme plusieurs fois par semaine.


Je place encore ici le fait que mes deux accompagnatrices et moi-même avons trouvé sur ce terrain, lors de notre arrivée en caravane, des habits de jeune fille incomplètement brûlés, avec une petite paire de chaussures. Âge supposé de la propriétaire de ces effets : 5 ans environ.


Sachez que bien entendu les forces de l’ordre ont été instantanément mises au courant de chacun des événements qui se déroulaient dans cette demeure qui était bien plus que soumise à des écoutes dites ‘standard’. Je ne révèle ici rien qu’elles ne sachent déjà, mais je rends simplement un peu plus ‘publiques’ ces choses, sans compromettre quoi que ce soit.

Le véritable déshonneur qui est l’intérieur du coeur de gens comme Macron, ou Zuckerberg, ou Connor Mac Gregor, doit être montré au grand jour, afin que tout le monde sache à quel point ce sont des tricheurs, des couards, des mercenaires sans éthique, voir, des assassins.


Marc Onnestad





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