mercredi 8 septembre 2021

Déjà la cognée est mise à la racine des arbres

La nano-médecine de pointe employée dans le cadre d’une obscure stratégie politico-économique


Cela fait maintenant déjà longtemps que j’ai demandé à pouvoir consulter des résultats d’analyse des produits à injecter (PAI) qui circulent en ce moment au milieu de cette folie dite ‘vaccinale’. Cela peinait à venir, et cela se comprend aisément lorsque l’on constate les liens qu’il y a entre ‘le militaire’, et ‘le gouvernemental’, dans ce sujet. La masse de propagande projetée, dans son coulis indigeste et inflammatoire de battage médiatique, ont formé un écran dense de ralentissement de l’intelligence d’investigation.


Il aura fallu attendre que le Japon découvre lui-même dans ces fioles des ‘grains sombres’ aux fortes propriétés magnétiques, pour que certains s’autorisent à faire circuler quelques analyses profondes et détaillées de ces PAI.


J’en ai consulté une, celle d’un certain dr. Young, Robert O. que nous appelleront ROY.

Après en avoir extrait les phrases clés, ainsi que les images correspondantes, et placé tout cela dans un petit fichier ventilé aisément consultable, je me suis attaqué à la lecture d’un autre article scientifique.

Ce deuxième article provient de la république de Corée, c’est une ‘review’ des domaines d’application de certaines des technologies employées dans ces PAI.


Je résume : primo analyse des composants constatés dans les fioles, ainsi que dans le sang de personnes ayant été ‘bénéficiaires’ de ces injections. Deuxio examen des technologies employées qui correspondent à ces éléments constatés.

Autrement dit : voilà ce qu’on trouve, et ensuite, ça correspond à ce type de technologie ou à cet autre type.


Le deuxième article m’a pris une après-midi entière, il relève des toutes dernières technologies en nano-médecine. La complexité des technologie n’a rien à envier aux derniers développements en terme de voyage spatial. J’en avais mal au crâne.


Pour revenir au premier article, le dr. Robert O Young est un scientifique de pointe, reconnu ‘mondialement’, mais pratiquant la médecine dite ‘naturelle’. Il s’est focalisé sur la nutrition cellulaire. Il est donc à l’opposé idéologique des auteurs du second article.


“Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mis dans les mains d’un psychopathe. ” Albert Einstein


Les auteurs du deuxième article diront en conclusion :

“… the great expectations fueling graphene-based research warrant a “digital shotgun” approach… ”

(Les grandes attentes qui alimentent les recherches basées sur le graphène font état d'une approche de ‘fusil-à-pompe’ digital)

Les auteurs se nomment Si-Ying Wu, Seong Soo A An, et John Hulme. Ils font partie de l’institut de recherche médical de l’université de Gachon, située à Sungnamsi, en république de Corée (corée du sud donc…).

La publication a été dûment autorisée par l’éditeur, le Prof. Dr. Thomas J. Webster.

Cette publication date du 26 août 2015.


Ce deuxième article, comme je vous le disais, fait la revue de champs de recherches divers et très complexes. Pour approfondir chacun de ces domaines, il faut une bonne semaine à plein temps, ce qui fait que pour bien comprendre le tout, à mon avis, c’est 4 à 6 mois à plein temps. Mais nul besoin de cela, puisque ce sont des spécialistes reconnus et compétents qui nous en parlent, en faisant référence à chaque fois, à d’autres spécialistes reconnus, et compétents. Il faut parfois savoir lire les terminologies scientifiques employées, connaître les bases des technologies utilisées, dans le principe, ce sera suffisant, et bien utiliser son wikipedia dès que nécessaire. C’est mieux d’avoir ici une formation de base en sciences dites ‘dures’, plutôt qu’en histoire de l’art, c’est sûr.


La compétence des gens concernés par ces articles n’est pas à remettre en question, mais l’état d’esprit de la médecine concernée oui, à mon avis. Nous y reviendrons plus tard.


Alors, qu’en est-il de ce graphène ? Pourquoi ne figure-t-il pas dans la liste des composants des PAI ? La réponse est simple au premier abord, mais prenons garde aux conclusions hâtives. Il ressort de la lecture de ce second article que ces technologies nano-médicales sont dangereuses, bien souvent ‘CYTOTOXIQUES’ (toxiques pour la cellule). Les chercheurs tentent de trouver les moyens de rendre inoffensifs les NOGs (NANO PARTICULES d’OXYDE de GRAPHENE) en les combinant à diverses substances comme, par exemple, les PEGs (Polyéthylène Glycol). Ce n’est qu’un exemple, mais c’est bien du PEG, que l’on trouve dans les PAIs. (prenez un crayon pour les acronymes, la liste est longue).

Cet exemple nous intéresse, car il est représentatif d’un ou deux points d’intérêt au sens de mon article. Cela met en évidence de un : la capacité du monde universitaire à cacher la dangerosité d’un produit qui les intéresse, lorsqu’ils pensent que la ‘balance bénéfice-risque’ penche en leur faveur, mais que comme à chaque fois, ils pensent aussi que nous sommes trop bêtes et ignorants pour comprendre l’immense intérêt de cette ‘stratégie médicale’. Comme à chaque fois, il y a de gros intérêts financiers et militaires qui montrent bien à nous les idiots, que nous sommes possiblement plus méfiants que bêtes, mais la situation finit toujours par une mise en vente de la technologie concernée.

En deuxième point d’intérêt, il y a le fait que, comme souvent, le monde de la recherche combine un poison avec un autre, pour nous dire ensuite que c’est bon pour la santé. Ils appellent cela, la ‘bio-compatibilité’, pour ne pas avoir à parler de ‘cytotoxicité’. C’est pas mauvais, c’est ‘plus moins mauvais’.


De cet article nous pouvons comprendre sans ambiguïté que l’injection d’oxyde de graphène pur (avec le minimum d’impuretés) est cytotoxique, particulièrement pour les cellules endothéliales (celles qui recouvrent l’intérieur des vaisseaux sanguins et du coeur, par exemple), mais aussi pour les lymphocytes-T (système immunitaire). Chez les souris il provoque aussi des lésions aux poumons. Nous parlons ici des propriétés cytotoxiques inhérentes aux NOGs de façon intrinsèque, à cause de ce qu’ils sont, AVANT de leur ajouter des fonctions secondaires.


De cet article nous pouvons aussi tirer la conclusion que lorsqu’injectés, les NOGs se retrouvent à peu près dans toutes les cellules du corps, avec des concentrations élevées en périphérie du, ainsi que DANS le noyau de la cellule.


Les substances contenues dans les PAIs sont représentatives de la stratégie nano-médicale employée dans le domaine de la thérapie génique. Cela fait 10 ans et plus que les capsides de liposomes (petites boules de gras avec des trucs dedans) sont employées dans ce domaine, pour transporter de l’ARN, ou de l’ADN, jusque DANS le noyau des cellules. Le gras (lipides) employé pour faire la petite boule permet de passer la membrane cellulaire sans encombres.

Ce n’est que récemment que ce domaine de recherche a constaté la très grande efficacité des NOGs pour faire le même boulot, aller dans le noyau avec un petit paquet cadeau.

Les PAIs contiennent ces deux technologies. Le poly-éthylène est aussi employé pour parvenir sans trop d’encombres jusque dans le noyau de la cellule.


Il faut s’accrocher pour bien comprendre, parce que ces technologies sont au moins à trois niveaux de compréhension. Donc relire quand pas compris, et peut-être prendre le temps de gougueuliser (QWANT.FR c’est mieux), quand inconnu au bataillon.


Pour reprendre les PEGs, il faut savoir qu’ils sont reconnus comme cancérigènes, et géno-toxiques, par la communauté scientifique, dans sa partie indépendante de la pression financière ambiante dans le milieu. Je sais depuis longtemps que les PEG sont perturbateurs endocriniens, ils foutent en l’air votre système hormonal. Mais dans cet article, ils sont considérés comme la panacée pour affaiblir la dangerosité des NOGs.

Ils font allusion au fait que les PEGs c’est bien et donnent comme exemple le fait qu’on les retrouve très souvent dans les cosmétiques. C’est précisément dans ce domaine que les assos de consommateurs, les écolos, et certaines féministes, se battent pour interdire ces substances. Voilà un peu l’esprit dit ‘médical’ que je constate en abondance dans le domaine des recherches sur les NOGs. A partir de là, quand ils disent qu’un truc est toxique, c’est qu’il l’est vraiment.


LE GRAPHENE


C’est quoi ? Un réseau d’atomes de carbone en nid d’abeille. Six atomes qui forment un cercle, et tous ces cercles collés les uns à côté des autres. Le carbone peut être moins bien organisé, c’est alors du graphite, ou du charbon. Ou organisé de façon plus compacte, et cristalline c’est alors du diamant.

Sous sa forme de graphène, il présente des propriétés physiques (mécaniques) impressionnantes qui fascinent les physiciens, et les industriels, ainsi que le CAC40.

Lorsque le graphène est arrangé de façon à ne faire qu’une seule couche d’atomes, et qu’il est recouvert d’atomes d’oxygène, on parle alors d’oxyde de graphène. Cela en change les propriété physiques, pour les rendre encore plus intéressantes pour la science. Il est transparent, plus élastique, et très conducteur, ainsi que présentant des propriétés magnétiques impressionnantes. Nul doute que les Japonais ont trouvé cela dans leurs microscopes, mais pour quelle raison n’ont-ils pas appelé un chat, un chat ?


‘Des petites particule sombres et magnétiques’, ont-ils dit, mon bon m’sieur !


C’est pour les mêmes raisons inconnues que je pense que le monde médical n’a pas osé mettre ces composants-là dans la liste des ingrédients de la soupe des PAI. Ils n’ont pas les autorisations légales, ces produits sont trop dangereux.

Mais regardons alors pour quelle raisons ils les ont mis dedans quand-même. Voici les domaines d’application reconnus des NOGs dans ce deuxième article :


‘This review seeks to provide an overview of the currents applications of graphene oxide in nanomedicine, focusing on delivery systems, tissue engineering, cancer therapies, imaging, and cytotoxicity.’


(Cette revue cherche à fournir un survol des applications actuelles de l’oxyde de graphène en nano-médecine, en se focalisant sur les systèmes de livraison, l’ingénierie de tissus, les thérapies contre le cancer, l’imagerie, et la cytotoxicité)


Chers lecteurs, comme vous le constatez, nous ne sommes pas sortis de l’auberge. Je ne vous expliquerais pas tout ce que j’ai compris de cet article, mais je me focaliserais sur les domaines, comme je vous le disais plus haut, qui nous concernent, c’est-à-dire, la recherche contre le cancer, et les systèmes de livraison, la cytotoxicité est implicite de partout, de la même façon que le fric est implicite de partout dans les systèmes (sociaux cette fois) de livraison des PAIs jusqu’à l’utilisateur final, que l’on surnomme affectueusement, les ‘vaxx’ sur les RS (réseaux sociaux ;) ).


Les NOGs comme véhicules de transport


Votre ‘substrat’ (la strate de dessous, littéralement), cet espèce de petit tapis, peut être utilisé comme transporteur de tout un tas de choses ; des médicaments, des poisons, des transmetteurs de fréquences, ou des molécules plus grosses (ARN par exemple) peuvent y être attachées par des liens chimiques plus ou moins forts.

Et pourquoi pas y attacher deux choses, d’un côté un ARN qui va guider notre système de transport vers sa cible, et de l’autre la substance que l’on veut y apporter ?

Tout est envisageable, et l’imagination s’emballe facilement.

Mais quels exemples de recherches appliquées nous donnent nos trois larrons chapeautés par un si vénérable professeur, sans aucun doute fervent défenseur des libertés démocratiques ?

Un : ils lient un médoc au substrat de façon à ce que l’acidité soit le facteur de libération. Certaines cellules cancéreuses sont plus acides et c’est en rentrant dans ce milieu que le petit vecteur libère son POISON. Médicament peut-être, mais il s’agit d’utiliser la cyto-TOXICITE, pour tuer des cellules cancéreuses. Faudrait pas que le patient se fasse trop de bile, la bile, c’est acide..

DEUX : ils vont utiliser de la lumière comme facteur de libération. Les liens chimiques entre le médoc et le substrat se cassent lorsqu’un laser pulsé dans les infra-rouges est dirigé dans la zone. Les NOGs sont très sensibles aux IR (infra-rouges), une faible puissance suffit pour atteindre le but recherché. Les auteurs s’empressent alors de nous faire part d’un fait amusant supplémentaire:

Lorsqu’il est excité avec plus de puissance, le NOG visé monte facilement à 1000 degrés, en une micro-seconde. Quitte à tuer des cellules, autant tirer dessus, c’est moins cher. La photo-thérapie fait partie des stratégies médicales contre le cancer. Il faut marquer les cellules avec un truc qui va réagir à lumière de façon à tuer la cellule cancéreuse, mais pas les autres.

Lorsque le NOG est à 1000 degrés, il engendre une ‘micro-cavitation’. Un peu comme une ébullition, mais pire. La dilatation gazeuse s’approche alors plus du vide, que de la vapeur. Ca aussi ça fascine beaucoup, et nul doute que l’allusion au ‘fusil à pompe digital’ vient en partie de cette expérience.


Petite digression industrielle


Sortons maintenant du domaine médical, et laissez moi vous faire part de ce que j’ai lu dans une autre recherche, plus du type qui consistait à examiner les moyens de mettre en place des processus de fabrication de molécules de NOG de tailles précise, d’architectures précises. Autre chose qu’un petit tapis pour mettre des trucs qui vont dans le noyau.

Je ne l’ai plus en référence, mais j’y ais appris que ces molécules de NOG sont photo sensibles, et peuvent rapidement être dégradées par la lumière. Ils en avaient mis en place la production de capsides (petite boîtes) qui entouraient ces molécules de façon à les rendre stables dans la lumière. Dans cet article, pour ces molécules, ils obtenaient par exemple des boîtes à fonctions, qui dans telle ou telle longueur d’onde de la lumière, se mettaient par exemple à produire de l’électricité, ou un champ magnétique, le tout avec un très bon rendement, beaucoup de puissance. Des petits transmetteurs très puissants.


Revenons à notre médecine du poison. Nous comprenons que la lumière peut être employée de façon brute, ou de façon informationnelle. La complexité des technologies présentes laisse le champ libre au possible technologique. Il est par exemple tout à fait envisageable d’utiliser la lumière, ou le champ électro-magnétique, pour dire à de petites machines de faire ceci, ou de faire cela, et cela ne se limite absolument pas au fait de libérer un petit cadeau. C’est un peu là le troisième degré de compréhension de ces technologies. Un, les propriétés inhérentes et intrinsèques des NOGs, deux : leurs capacités de combinaisons et d’interaction, trois : les fonctions complexes ajoutées en synergie. Merci.

Un petit nano-laboratoire, qui soumis à telle fréquence radio, se mettrait à synthétiser de petites molécules de ce que vous voulez, est tout à fait envisageable.

Je précise ici que la première des capacités utilisées en nano-médecine du graphène, est bêtement la cyto-toxicité quasi mécanique. Les nano-tubes (substrat de graphène enroulé, qui devient un tube, plutôt qu'une surface plane) ont premièrement été utilisés comme bactéricides (tueurs de bactéries), à cause du fait que ce sont de minuscules aiguilles qui percent les membranes, tout simplement. Les petites ‘feuilles’ de NOG, sont alors des petits rasoirs, tout aussi simplement. C’est alors leur taille en rapport à la taille de la cellule qui détermine leur pouvoir de coupe.

C’est uniquement à cause de cela qu’ils ont intéressé les chercheurs dans un premier temps; en tant que vecteurs de substances, ça rentre dans le noyau en faisant un trou… fusil à pompe !

Ensuite les recherches se sont affinées.


Et dans les PAIs ?


L’examen, à l'aide de tous les microscopes disponibles de l’étude ROY, allant jusqu’à la vision claire des atomes, microscope à balayage par exemple, montre une série de choses qui sont vraiment la pointe de la recherche en médecine destructive, ou en thérapie génique, et plus encore.


On y trouve des feuilles de NOG, on y trouve des NOGs qui sont par endroit ‘clusterisées’, comme si on avait froissé une feuille de papier. Le NOG devient alors opaque, formant des amas de molécules sombres, comme les ‘grains’ magnétiques de nos amis japonais. On trouve des ‘particules’ nano technologiques faisant état d’un très haut niveau de compétence en ingénierie, mais dont la fonction reste inconnue. On trouve également des particules fabriquées qui me font personnellement plus penser à de la balistique nanométrique. De petites balles destinées à transporter du matériel, on constate des vacuoles sur leur surface. Je viens ici préciser que sauf erreur de ma part, la première technique employée pour introduire de l’ADN dans un noyau était de charger de petites balles en or avec du matériel génétique et littéralement ‘tirer’ dans le noyau, en comptant sur sa capacité de ‘cicatrisation’ pour refermer le trou.


On trouve aussi de petits objets de différentes factures constitués du mélange de métaux communément appelé ‘acier inox’, en forme de petite lame. Ou en forme de tige plate. Ce ne sont que des exemples, mais l’un des premiers défis que la nano-techno naissante a relevé, c’est bien de faire tourner un nano moteur électrique. Ils étaient tout contents, je me rappelle encore de cet article du SCIAM (scientific american). Ces deux objets me semblent bien avoir été conçus dans ce but, mais cela n’est que mon impression. Tant qu’on est dans la médecine de tuerie de cellules innocentes qui n’ont rien demandé, qu’on les perce de partout, qu’on les empoisonne, qu’on les flingue, alors pourquoi pas les passer au Moulinex ™ ?


On trouve bien entendu nos petits ballons de foot que sont les liposomes. On trouve une masse certaine et conséquente de matériel probablement génétique, constaté grâce à la spectrométrie Rayons X, ou d’autres types de spectrométrie (tous plus complexes et performants les uns que les autres).


Donc les listes d’ingrédients sont honnêtes, mais pas complètes. Nous comprenons que c’est sans doute par manque d’autorisations que les NOGs n’y figurent pas. Mais il n’y a pas que les NOGs qui n’y sont pas.


Les métaux


Avant de faire la liste des métaux trouvés dans les analyses ROY, il me faut revenir sur la géno-toxicité des NOGs, elles est indéniable puisque tel quel dans le sang, les NOGs coupent tout simplement de façon aléatoire les brins d’ADN, mais il est notable qu’en présence de fer et de manganèse, Fe et Mn, tout cela devient TRES géno-toxique, et même mutagène !


2e article : ‘’As stated previously, both metals are highly mutagenic in the presence of GO, nonspecific release of these ions from traditionally prepared GO might result in unusually high levels of toxicity and random scission of DNA ‘’

(comme affirmé plus haut, les deux métaux sont hautement mutagènes en présence d’OG, une libération non-spécifique de ces ions depuis des OG fabriqués de façon traditionnelle peut aboutir à des niveaux inhabituellement élevés de toxicité, et des coupures aléatoires de l’ADN)


Il faut comprendre ici que les premiers processus de fabrication de l’OG (oxyde de graphène) impliquaient l’utilisation de ces deux métaux, c'est le processus dit ‘traditionnel’. Mais depuis d’autres méthodes ont été utilisées qui permettent l’obtention d’OG dit quasi pur (‘pristine’ en anglais). On voit bien la différence dans l’étude ROY qui montre dans une photo 1 des feuilles de NOG produites dans les premières années, genre 2009, et les feuilles de NOG constatées dans notre expérience génique actuelle, dans un flacon de PAI. Il est donc difficile de croire que ces deux métaux sont présents pour cause d’imperfection du processus de fabrication. Mais de toute façon nous trouvons d’autres métaux qui ne sont là que pour des raisons inhérentes aux brevets de ces PAI, au sens du fonctionnement de ces petites merveilles de technologie, pas juste au sens de la liste de contenus, ces métaux ont certainement une utilité du second ou troisième degré de compréhension. Selon l’étude ROY, voici une partie des métaux présents, entre autres substances bien connues, mais toutes toxiques :


‘’ Identification of organic carbon, oxygen and nitrogen particulates with an aggregate of embedded nanoparticles including bismuth, titanium, vanadium, iron, copper, silicon and aluminum which were all found in the so-called Pfizer “vaccine.” ’’


On trouve aussi du Chrome, du souffre, du bismuth, du sélénium, du plomb, du cadmium et du nickel.


Je ne fais pas de différence entre les PAIs, mais sachant que certains font des mélanges dans leur sang, autant garder cette approche inclusive. Toutes les entreprises concernées obéïssent à la même politique financière ou médicale, Bill gates par exemple, le grand spécialiste des vaccins, est actionnaire de toutes ces entreprises. Il s’est bien ‘hedgé’ tout simplement.


A moins d’avoir à faire à de bêtes empoisonneurs bien primaires, il est évident que la présence de ces métaux ne peut être due qu’à leurs propriétés nano technologiques, certains éléments cités sont semi-conducteurs par exemple. Certains de ces métaux me semblent tout indiqués pour faire de ces petites machines de bon récepteurs ou émetteurs de fréquences, comme je l’ai dit plus haut. Mais avouez que la complexité des technologies présentes dépasse vraisemblablement la lutte contre le cancer.


Imaginez qu’ils en sont à envisager l’organogenèse grâce à ces machines. A l’image de l’impression 3D, ils déposent des couches de cellules souches de la façon qu’ils veulent, puis disent à ces cellules de se dériver en cellules fibroblastes, myoblastes, etc.. C’est à dire que quand on a un petit téléphone lumineux dans le noyau de ces cellules souches, ils est ‘aisé’ de leur dire quoi devenir (avec un fusil à pompe dans l’autre main, mais bon). La présence de ces métaux m’indique à moi le genre de complexité de fonction impliquée. Cette histoire d’impression 3D d’organes vient de l’article 2, c’est un domaine de recherche et de développement de la nano-médecine. Pas un film de science fiction.


Et puis il y a l’imagerie


La résonnance magnétique nucléaire, le PET scan, sont utilisés pour permettre aux médecins de bien visualiser vos organes. Il est parfois nécessaire de vous injecter des trucs pour rendre vos organes scintillants sous le rayonnement. On est loin du thé à la camomille, et avec les NOGs, encore beaucoup plus loin. Ils sont hautement magnétiques, et l’une de ces techniques d’imagerie est justement la résonance magnétique, ou RM. Les NOGs c’est le kif total pour le technicien en imagerie. Imaginez des gens qui prennent des photos de chauves souris dans une cave, et qui se prennent la tête avec les capacités ISO de leur cannon EOS (finesse de détection). Et tout à coup un super copain arrive avec un phare de détection anti-aérien de 1200 watts, et ce dans la lumière invisible (aux chauves souris)… c’est ça.

Le vaxx est un cas d’école en imagerie. Connaissant les sociétés estudiantines, nul doutes que certaines ‘apps’ disponibles permettent de mettre le smartphone en interface avec un détecteur, afin de voir ces humanoïdes, dans la rue, sans la paroi osseuse du crâne, etc

Les étudiants sont des rigolos parfois.


Vous l’aurez compris, les vaxx ont dans leur sang de quoi les transformer en labo nano technologique. Ces éléments, les métaux, les nano-machines, les projectiles, et le matériel génétique et autres sont arrivés dans TOUS les organes du corps, dans le noyau des cellules et ailleurs.

Le système immunitaire a bien souvent été leurré pour cause de liposome par exemple (impossible de savoir ce qu'il y a DANS le ballon de foot). Il est aussi rentré en panique, pour cause de mort des lymphocytes T, par exemple.


L’ensemble des éléments cités plus haut évoque une géno-toxicité de la pire espèce, de par la nature même des éléments présents, métaux toxiques, PEGs, NOGs. Et cela AVANT de rentrer dans la discussion des FONCTIONS espérées de cette expérience génétique. Mais à partir du moment où l’on constate la présence du parasite ‘Trypanosoma cruzi’, dans le PAI de la maison Pfizer, on est en droit de se dire que les raisons derrière toutes ces cachotteries ne sont pas aussi ‘médicales’ qu’il y paraît.


Mon article ‘le fabuleux vaccin d’Amélie pour rien’ (j’ai emprunté ce titre à un internaute, il n’avait pas mis de brevet sur cette blague), fait bien état d’une influence militaire pour ce qui est du SRAS COV 2. Il en va de toute évidence de même pour son ‘antidote’.


Les myocardites s’expliquent naturellement par la toxicité spécifique de l’OG pour les cellules endothéliales. Certains en sont morts.


Les thromboses sont aussi dues aux propriétés de l’OG, il est un coagulant. Dès qu’il est dans le sang, il provoque une coagulation autours de lui. Etude ROY.

Les AVC (vasculaire cérébral) sont aussi logiques si on part du principe que le cerveau est un organe cible de ces ARN messagers. Cela fait longtemps que des virus sont employés pour ‘viser’ des organes avec des thérapies, cette technique est toutefois imparfaite. Après, il est vrai que les thromboses ne concernent de loin pas que le cerveau, on a vu des amputations de membres divers.


Il me reste encore à dire que cette combinaison NOG+PEG repose sur des liaisons chimiques ‘covalentes’, que les auteurs de l’article 2 avouent n’être pas totalement stable. Elle peut casser, vous vous retrouvez alors avec des NOGs, et des PEGs, dans l’organisme, deux géno-toxiques, cyto-toxiques, qui détruisent votre système circulatoire, immunitaire, vos poumons vraisemblablement, et bien plus encore.

Le conseil serait bien évidemment d’éviter les sources de rayonnement magnétique, les sources lumineuses trop fortes, évitez les ampoules infra-rouges chez le kiné par exemple, le temps que votre organisme évacue un peu ce merdier, et que le but recherché par toutes ces technologies se stabilise dans vos organes cibles.

Nul doute que le trans-humanisme, l’organo-genèse, et la parfaite symbiose homme-machine était bien le but recherché autant par certains hommes politiques, que par certains clients de ces PAIs, et plus encore. Le prix est cher en termes de victimes collatérales. Mais ne doutons pas que les fonctions tertiaires de ces assemblages ne tarderont pas à montrer leurs visages un de ces quatre. La boîte de pandore est bientôt vide, si je puis dire.


Notre humanité a fait confiance à des créations de mains d’hommes, plutôt qu’à Dieu. Amusant de se dire que ces croisements de virus avec des gains de fonctions à la clé s’appellent des ‘chimères’. Marrant de se dire que la ‘thérapie génique’ change, et casse vraiment l’ADN des vaxx. Alors que la Bible nous dit que ‘dans les temps de la fin, il en sera comme au temps de Nöé’, et que dans le même livre il est dit que dans ces temps-là, ‘toute chair était impure’. Modifier l’ADN, c’est casser la pureté de la résonance harmonique interne et propre à l’ADN, il devient alors une chimère.


De la poussière à la poussière




Le carbone est le support de la vie. Nous sommes aussi remplis d’eau, mais ça, c’est le médium dans lequel la vie se ballade. Le cycle benzénique est la brique de base de la plupart des tissus de la vie. Le cycle benzénique, c’est précisément 6 atome de carbones, liés en un cercle. Il y a des atomes d’hydrogène autours. Evidemment, nous ne sommes pas remplis de benzéne, mais lorsqu’on ajoute des atomes divers et variés autours de cette structure de carbone en cercle, on en dérive autant de substances diverses que l’on veut. Du TNT, des hormones, des stéroïdes. Ce cycle de carbone peut se voir adjoindre ensuite d’autres cycles parfois de 5 atomes, et l’on vient alors dangereusement près de la structure des composants de base de l’ADN, ce sont les nucléosides. On peut aussi enlever un atome de carbone et le remplacer par un hydrogène, ou un azote, et continuer ainsi la progression de ce qu’on appelle les composés aromatiques, parce que les odeurs organiques sont composées de ce genre de molécules. Cela fait partie de la chimie dite ‘ORGANIQUE’.


 

Le cycle de 6 carbones répété en grand nombre dans un réseau en nid d’abeille, c’est du graphène. On peut le dire, c’est la poussière dont nous sommes issus. Et au sortir de l’incinérateur, dans une urne, le carbone qui la remplit, mais cette fois ci sous sa forme la moins organisée, c'est bien de la poussière. De la poussière, à la poussière.

Nul doute au premier regard que le spécialiste voit immédiatement le potentiel immense en terme d’imitation ou de recréation de la vie de ce réseau d’atomes. Et c’est bien dans ce sens là qu’il a été employé en nano-médecine. Tout est chimie organique, cycles benzéniques ajoutés, modifiés, assemblés. Nul doute que toutes ces substances se lient magnifiquement bien au substrat des NOGs.


Le potentiel de ces substrats dans le corps humain ne m’inspire pas mieux que nos trois joyeux drilles, un fusil à pompe digital.


Je vous remercie de votre fidélité de lecteurs. Sachez que je n’ai toujours pas monnayé ces travaux d’enquêtes. Je suis très heureux pour une fois d’avoir pu reprendre ce qui constituait mes lectures presque préférées, la science, dans un contexte d’enquête criminelle, et de renseignement militaire.


Amicalement, Marc Onnestad

 



PS : vivent les bac +2 !

L'article de ROY

 http://stateofthenation.co/wp-content/uploads/2021/08/GrapheneOxideVaccinePaperUpdated.pdf


L'article de Corée

https://www.dovepress.com/current-applications-of-graphene-oxide-in-nanomedicine-peer-reviewed-fulltext-article-IJN










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