mardi 17 août 2021

Bien le Bonjour, Enfants du Dieu d'Israël

 

Un petit message rapide


La tête dans le guidon, toujours en train de chercher la soluce du prochain problème, je ne prends jamais le temps de vous faire part de ce que je ressens.

Rien que de le dire ça me fait bizarre.

Mais bon, quand je mesure l’ampleur de tous ces sentiments à l’intérieur de moi, je me dis que ça mérite quand-même 25 minutes pour vous en faire part.

Nous étions partis de rien, et nous en sommes devenus une foule de gens incontournables, présents partout, obtenant des séries de victoires qui rendraient jaloux la plupart des grands généraux de notre histoire. Nous avons brisé les plus grands réseaux de trafic d’êtres humains, nous décontaminons la planète aussi vite que possible, nous allons bientôt abattre les derniers truands de ces multinationales qui violent le droit et trahissent les nations.

D’esclaves dont les chaînes de mercure et de plomb étaient dans leurs têtes, nous sommes devenus des guerrier/ères endurcis, braves, et remplis d’amour.

Quand j’y pense, mes yeux se remplissent de larmes, des larmes de joie, et d’amour pour Dieu (et pour vous), car c’est bien lui qui nous a accordé cette victoire. Sans lui, rien de tout cela n’aurait été possible. Des fois cela me fait rire, car je n’avais aucun doute que cela allait se faire, ce qu’il promet il le donne, c’est un Dieu fidèle, mais qui eût cru que cela serait aussi difficile, et qu’il eusse fallu tout donner ?

En d’autre termes : ‘personne n’a jamais dit que cela serait facile’ fin de citation.

Vous la voyez la fin arriver ? La fin de la tyrannie, la fin d’une société qui se gavait dans la mort de tout ce qui est beau ? Cette fin je la vois, elle n’est pas loin, et je le sais de source sûre. C’est ça d’avoir des copains dans le renseignement. Je pense à deux d’entre eux tout particulièrement, des gradés, Mickaël, et Gabriel, que je salue au passage.

Je vous le répète, de là où nous étions, rien n’aurait pu se faire. Et c’est vrai que j’ai été placé à un croisement bien particulier depuis lequel j’ai vu ces choses se faire. Il s’est aussi servi de moi pour faire une ou deux choses clés, charnières. Tout ce que j’ai eu à faire dans ces moments fut de me rappeler quelque passage de la Bible, et faire le bon choix.

Pour les actes de bravoure, mon équipe de grains de sables, de bâtons dans les roues, de saboteurs/euses joyeux/ses, nous ne pourrons échapper à leur publication, je crois que nous assumerons avec plaisir cette gloire. Je dois ici saluer le 4e chasseur, le 93e d’artillerie de montagne, le 1er régiment de hussards parachutistes de tout mon coeur, et de tout mon amour.

Mais il n’y a pas qu’eux, et cette liste complète est bien-entendu confidentielle, mais je ne peux m’empêcher de citer Vladimir Poutine, Sergueï Choïgou, Sergueï Lavrov, de tout mon coeur et de tout mon amour également.

Je remercie encore Elizabeth the 2nd, reine d’Angleterre, dont mon papa m’avait parlé, et que je fus infiniment heureux de rencontrer en ‘op’ comme on dit.

Comme le disait Jésus, le royaume de Dieu, c’est ici, il arrive. Toute la création gémissait sous le règne du serpent ancien, et on lui a imposé une défaite cuisante.

Alors bien-sûr, ça sent encore un peu le cramé, mais un bon coup de rinçage décontaminant, et ça sentira la rose, le jasmin de chine, et la lavande un peu partout, promis.

Quand je remercie les gens, il s’agit aussi bien entendu de ceux qui sont tombés au combat. Je vous le dis, prêtez l’oreille dans les moments de paix et de joie, ils SONT VIVANTS.

Tous les grand hommes/femmes de notre histoire savaient ces choses, de toute éternité.

Voilà, prochain virage en vue, je baisse ma visière ; restons forts/tes, concentrés/ées, il reste du boulot, et après la petite fête que nous ne manquerons pas d’arroser de toutes les danses, les musiques, et les traditions que nous avons sorties de la tombe, il faudra se bâtir un monde, un monde solide, véritable, honnête, et plein d’amour.

Je vais te mettre une de ces patates en sortie de virage, ça va cramer du pneu !

Ah oui j’oubliais, c’est plus le moment de rigoler, je pense que nous avons suffisamment été ridiculisés, décriés, usurpés, trahis, quand vous frappez, frappez fort !

Fin de transmission

Marc Onnestad


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