jeudi 19 juillet 2018

C'est la fête à l'Elysée

Pour appréhender de façon plus scientifique l'ambiance festive de vos 'élites' dirigeantes, il m'a semblé adéquat de me saisir intellectuellement d'une œuvre cinématographique récente (en terme de décennies), j'ai nommé 'Festen' de Lars von Trier. Doit-on y voir un lien occulte avec le nom de Trierweiler, occupant encore récemment les locaux que je cite dans mon titre ? Je vous laisse seuls juges.

Dans ce film, un jeune homme invité comme il se doit à l'anniversaire de son papa, décide en complotant avec le cuisinier de la demeure familiale, de réserver une surprise amère à l'assemblée qui se réunira dans ce riche lieu à cette occasion. Il va porter un toast fatal à la respectabilité de son paternel en révélant les abus incestueux homosexuels de son papa à son égard dans ses jeunes années, et cela de la façon la plus amère possible, tentant ainsi de 'faire bouger les choses' sur le plan psychologique. L'intrigue du film inclut la réaction de plus en plus violente de son frère à son égard, l'aspect maçonnique de la carrière de son papa, le manque de réaction plus que complice de sa mère, la sidération des gens présents à cette soirée. Lars ne semble pas aimer la société bourgeoise danoise, c'est une conclusion que l'on peut tirer sans trop prendre de risques.

Le schéma triangulaire fils / père / mère sera le cadre interprétatif que je me fixe d'un point de vue psychologique. Je ne cherche pas dans cet article à aborder le viol de la fille, mais celui du garçon.
Ceci me permettra de mieux vous exposer ce qui constitue 'l'idéologie' LGBT du point de vue masculin. Ceci me permettra aussi de mieux vous faire comprendre de quoi je suis sorti moi-même en terme de stupidité post-traumatique. C'est bien là comme d'habitude que se situe la raison profonde de mon envie d'écrire, ainsi que du but de cet article, faire profiter de mon expérience personnelle tous ceux de mes lecteurs à qui il manquerait quelques éléments de compréhensions sur le fonctionnement de leur porte de geôle technologique, dans la grande prison mentale de notre société dégénérée et suicidaire.

Je le spécifie tout de suite, se préparer à me qualifier d'homophobe n'est pas utile, puisque j'ai l'intention ici d'exposer ce qui m'a été dit par des amis 'homos' eux-mêmes concernant leur propre 'société' si spéciale, société que l'un de ces amis homo, qualifiait en riant de 'chevalerie de la petite lucarne'. Il s'agit ici aussi pour moi-même de relater mes propres difficultés au passage de la puberté dans un climat d'écrasement de ma masculinité par toute une série de 'hyper-femelles' dont ma mère représentait l'autorité suprême dans un rayon de beaucoup de kilomètres à la ronde.

Le lecteur averti ou bien branché aura remarqué que j'opère volontairement une translation horizontale de la culpabilité du dit 'touche-pipi' du père à la mère. Festen décrit un fils contre son père violeur, avec une mère s'étant délestée de sa responsabilité personnelle et maternelle, je décris pour ma part une mère castratrice avec un père ayant très probablement également accompli des actes répréhensibles, mais selon moi moins graves. Ce n'est pas une règle générale, mais mon expérience personnelle de ce petit voyage dans une enfance bourgeoise occidentale.

Et si certains diront qu'il est rare de trouver deux parents incestueux dans le même couple, la vieille maxime populaire qui dit que 'qui se ressemble s'assemble', ainsi que les bases de la psychologie post-traumatique, viennent 'gaiement' contredire cette affirmation. De toute façon, même si un seul d'entre ces deux viole effectivement le garçon, il est indubitable que l'autre ne peut pas ne pas être au courant. C'est précisément ce que Festen montre pour ce qui concerne la mère. Je me permets ainsi de considérer le rapport mère / fils comme fil conducteur de cette analyse. L'homo lui-même considère que ce qu'il y a de plus problématique dans sa famille, c'est bien le rapport à sa mère.
On en arrive donc tout naturellement à la liste des choses que j'ai entendues de la part de ces gens qui constituent l'essentiel de la partie dirigeante de ce que vous connaissez sous le label de LGBT.
Voici ce qu'ils m'ont dit, et que j'ai entendu de nombreuses fois d'autres sources, ou dans des films, ou n'importe ou ailleurs :

De un : les couples homos masculins sont infidèles, bien plus que les hétéros
De deux : il existe un homo qui s'appelle la 'folle', qui est un homo qui abandonne toute domination sur un autre homme, et qui est exagérément dépendant au sexe dans un rapport de soumission, il est généralement exagérément maniéré, éfféminé, hystérique, excentrique. Ce type d'individu est utilisé par cette communauté, mais rarement apprécié, il dégrade l'image de l'homo. Je viens de décrire ce qui ne peut-être appelé autrement qu'un esclave sexuel. C'est précisément ce que vous avez vu dans la vidéo de la soirée 'techno' à l'Elysée. Et c'est bien ce qui vous a choqué.
De trois : La communauté homo est prosélyte, ils sont conscients que cela constitue une chose qui peut leur être reprochée.
De quatre : Ils se considèrent supérieurs intellectuellement aux hétéros, il pensent avoir atteint un stade supérieur de conscience, et pensent que ceux qui n'ont pas fait leur 'comming-out' restent enfermés dans une armoire... (coming-out of the closet).
De cinq : on ne peut que constater que ce 'millieu', qui ne se définit que par l'endroit où le plus de plaisir sera ressenti par le phallus, s'estime supérieur à un milieu dit 'post-chrétien' qu'il qualifie d'attardé, de phallocrate et de patriarcal.
De six : j'ai bien repéré un peu de gêne de leur part concernant la problématique des matières fécales restant accrochées au phallus et de ce qui ne peut être qualifié que de saleté, mais cela est généralement rattrapé par des arguments du type que l'homosexualité 'ce n'est de loin pas que ça', et que la fellation est tellement mieux pratiquée par un homme avec un doigt entre les fesses, etc etc...
De sept : la relation du 'pédé' à sa mère est réputée très difficile, même si c'est bien elle qui accepte généralement plus facilement son 'coming-out'.

Très bien.

Pour moi c'est beaucoup plus simple que cela. Une mère qui écrase son fils après en avoir abusé est facilement assimilable à une victime de viol. En effet, une fillette violée par son papa aura bien des chances de détester, consciemment ou non, la gent masculine par la suite. Ou disons plutôt que la probabilité de voir une femme non violée dans son enfance violer son fils par la suite est bien inférieure à la probabilité du contraire (une femme violée dans son enfance qui viole son fils, et non un fils qui viole sa mère violée elle-même dans son enfance). A moins bien-sûr de supposer la présence de sociétés secrètes satanistes qui forcent des chrétiens pratiquants à violer leurs enfants, ce qui bien-sûr relève de la théorie du complot et de la paranoïa, ce qui fait que nous en resterons aux probabilités. Cette mère disais-je, est castratrice, elle écrase son fils, c'est en tout cas ce que ma mère faisait. Elle avait beaucoup apprécié les livres de la collection 'Millénium', avec ces histoires de Lizbeth Salander, d'hommes qui détestent les femmes, et de viols de petites filles dans des caves sado-maso par des grands-pères nazis. Ce genre de mères-là cultivent une culture de la frustration chez leur fils, qu'elles souhaitent voir habillé dans les premières années de leur entrée dans la société en velours cottelé, avec une raie sur le côté de leur petite tête si souvent embrassée, etc etc. S'il peut rester habillé comme cela jusqu'après l'ENA, c'est encore mieux.

Le problème de l'inceste, c'est qu'il soude définitivement le parent à son enfant dans un rapport coupable de dépendance AMOUREUSE, et affective. La jalousie en est donc la conséquence directe. Le fils écrasé sera donc astreint à respecter cette appartenance amoureuse sous peine de subir bien des tourments dramatiques par la suite. Ce qui est marrant si on aime le drame ridicule, c'est que c'est bien souvent l'enfant qui prend le dessus de cette relation ABOMINABLE. Une de mes amies victime d'un père incestueux m'affirmait pouvoir le manipuler pour obtenir de lui ce qu'elle voulait. C'est le syndrôme que je nomme de la 'petite princesse' pour ce qui est du rapport père / fille. Mais tout le monde connaît l'expression 'fils à maman'.
La femme est jalouse dans son amour, la mère incestueuse aussi, un fils infidèle sera parfois puni de mort, c'est bien ce que j'affirme avoir subi de la part de ma mère. L'homo donc a une relation d'amour / haine avec sa mère, c'est logique.

Venons-en maintenant au cul du problème, et à cette pénétration anale glorifiée au point de dénigrer complètement le vagin, organe pourtant voué à cette fonction de façon symétrique au pénis. Cela constitue un grand secret d'initié que de constater pour eux que l'on peut avoir un contact par pénétration avec la partie interne de la verge, et que cela peut fournir assez de plaisir pour conduire à un orgasme masculin. Cool. On aurait envie de leur préciser que le pénis peut-être frotté à pas mal de choses pour finir par éjaculer, mais bon, si c'est vraiment une idéologie que nous touchons-là... respectons la liberté d'expression !
Cela constitue néanmoins le septième point de ma liste de tout à l'heure, qui est de dire qu'ils n'aiment pas du tout qu'on leur rappelle que le pénis reste biologiquement un organe de reproduction et que comme le disait ma précédente compagne, il est très difficile de fertiliser un étron. Ils en reviennent tout naturellement à l'argument catholique du 'contre-nature' qui soulève chez eux, rires cyniques, sarcasmes, et réponses agressives. Mais comment dire alors ? 'biologiquement inadapté ?', 'médicalement dangereux ?' (à moins d'avoir un pote qui travaille dans les antibiotiques?), 'un gaspillage de savon ?'. Je ne sais comment dire, mais il me vient à l'idée une citation d'une spécialiste en ergonomie aérospaciale soucieuse de cette question des économies de savon en apesanteur :'c'est kakabeuark !'.

Laissez-moi maintenant, dans mon élan de réconciliation de LGBT avec le reste de la société, vous parler d'un article de journal que j'ai lu en Suisse il y a environ 25 de cela, il s'agissait d'un examen de la mère dite 'couveuse', pour ne pas employer un terme plus emplumé, sous un angle psychothérapeutique. Inutile de dire que cet article fait paries des choses que j'ai lues et qui ont été extrêmement utiles à mon éveil transcendental, sociétal, et relationnel post-freudien (sans aller jusqu'à Utoya). Cette brillante psychothérapeute donc, examinait le rapport mère / fils dans le cadre d'une éducation bourgeoise, et saucissonnait l'éventail des personnalités résiduelles possibles en trois catégories que je vous livre dans leur coulis de personnalités plus ou moins célèbres comme illustration.
L'homme inconscient de ses antécédents familiaux incestueux, hyper concerné par le fait de coller avec le mythe de l'homme dur (pub Gillette). Souhaitant souvent être un Starsky sans Hutch, ou un Alix sans Enak, inconscient également de la fierté que les homos ont de leur apprendre par la suite que le dessinateur d'Alix, tout comme monsieur Starsky, étaient pédés comme des phoques. Cet homme est donc celui qui est qualifié de 'refoulé', il peut-être violent dans son couple dès que les difficultés arrivent, les difficultés qui renvoient souvent à la violence du père de sa compagne par exemple. Le fameux problème du 'beau-père', etc etc Ce sont le genre d'hommes qui souffrent parfois de trop travailler, qui ne s'expriment émotionnellement pas assez, etc etc Cet homme aura souvent lutté pour faire accepter à sa mère sa femme. C'est le type A.
Le type B, libéré de l'obligation de n'obéïr sexuellement qu'à un seul vagin, cet homme, parfois plus conscient que sa mère a de l'influence dans la société, a souvent abandonné tout espoir de lui faire accepter une femme comme potentielle concurrente dans la course à la domination vaginocrate sur son esprit. Il a abandonné, et a préféré devenir un bourreau des cœurs, je cite ici Warren Beaty, Clooney, et tout le cirque. Certains sont bi-sexuels, pan-sexuels ou zoophiles, mais ce n'est pas ce qui nous intéresse ici. Ce qui nous intéresse, c'est de savoir que l'immense quantité de vagins parcourus ne constitue pas une concurrence sérieuse à la mère, et c'est bien là que son règne n'est pas menacé. Ces despotes du poil pubien en profitent souvent pour culpabiliser et manipuler un tel fils en prétendant défendre la gent féminine en reprochant à leur fils ses frasques, ce qui n'est qu'une façon inversée d'obtenir ce qu'elle veut de son enfant. C'est une méthode que la dernière 'petite princesse' dans ma vie a dénoncé comme étant une méthode de manipulation inversée, 'ne fait surtout pas ça' afin d'obtenir le résultat souhaité, c'est à dire 'ça', précisément.
Le type C est l'homo dont nous parlons dans cet article.

Ces trois types sont des esclaves de leur mère. Il serait quand-même gonflé de prétendre qu'un garçon né dans une famille non-incestueuse, grandissant normalement, et rencontrant plus tard une jeune femme similaire, ne ressente pas toutes ces émotions extrêmement puissantes qui ont toujours constitué la base de notre histoire de bipèdes sur cette planète. En d'autres termes, avoir envie de mettre son pénis dans un anus ne fait pas partie des comportements psychologiques naturels... ha non ! Faut pas dire naturels ! Euuuh... des comportements psychologiques aptes à assurer la survie de l'espèce ? Ça va comme ça ? Transmettre sa force 'virile' naissante, au printemps de la vie, devant la beauté féminine illuminée par le reflets du soleil au millieu de tous ces beaux cheveux... dans un RECTUM ???? 'fermtagueuuuule', comme dirait l'autre.
Et comprenez une fois pour toute que si un garçon est régulièrement pénétré par son père dans son cul, il est normal qu'il en développe une sexualité problématique, comme l'était la mienne au passage de la puberté. Remarquez bien que même si le phallus en question appartient à l'oncle, au cousin, au facteur, la problématique des hémorroïdes reste la même. Le but ici n'est donc clairement pas de critiquer un homo parce qu'il préfère un phallus dans son fondement qu'un vagin comme interlocuteur sexuel, mais bien de constater que nous faire passer ça pour de la supériorité intellectuelle ou une idéologie ne peut résulter que d'un complot de société ourdit par des fabricants de savon ou de machines à laver, ou des opposants au programme spatial international.

Et donc oui, j'étais l'esclave de ma mère, jusqu'à mes neuf ans, âge auquel le dégoût de ses bras m'a poussé dans la vraie vie, et âge auquel elle a lancé sa guerre contre moi. Guerre qui alla crescendo jusqu'au jour où je me suis finalement résolu à répondre à ses traits enflammés. Des souvenirs de vagins étouffants, et anormalement placés au dessus de ma tête de petit garçon, j'en ai. Et ils ne font pas partie de mes meilleurs souvenirs. Le vagin comme arme pour terroriser un garçon, c'est pas tellement plus glorieux que le phallus paternel en dessous de la limite d'âge. C'est de la terreur, point final, contre une victime impuissante, et c'est précisément cela qui fait jouir plein de gens qui interprètent cela comme du plaisir... Mais comment croire que c'est du plaisir alors que c'est la meilleure façon de se garantir une mort en victime d'assassinat à une époque où tout est enregistré, et cela même à travers les murs.

L'homo a aussi tendance à se vanter de fréquenter de très belles femmes, qui, dit-il, préfèrent fréquenter ce milieu-là afin de ne pas être draguée de façon inopportune. Argument intéressant, mais à chaque fois que je l'entendais je devais feindre d'ignorer le fameux prosélytisme d'un espèce de VRP du rectum dilaté tentant de me vendre les avantages de son … idéologie, à coup de belles femmes.
Le huitième point consiste à dire pour eux que ce sont eux qui dirigent la société de façon cachée car le pékin moyen est trop bête pour comprendre que l'éveil se situe entre les fesses. Ici nous pouvons constater que la présence de grosses masses d'argent est à corréler avec le renoncement à utiliser sa verge avec dignité. Les belles femmes victimes de leur apparence ont naturellement tendance à se rapprocher des milieux très argentés, normal. Une femme qui insiste sur sa beauté plastique plus que sur sa beauté intérieure, et qui court après l'argent, on appelle ça comment déjà ? J'ai oublié. Constater qu'au final, elle et ses amis aient de la peine en terme de choix pour les soins de la peau n'est pas étonnant.

S'être fait violer en tant que petit garçon, c'est pas sa faute, garder une sexualité qui n'en est pas une, libre à lui (je ne considère pas ma main droite comme ayant été une partenaire sexuelle voyez-vous), mais venir nous vendre cela comme un facteur de sélection de l'élite de notre société, je trouve que c'est dommage pour les arbres et les fleurs du pays concerné.
Le dernier abruti frustré ayant accompli un nombre abyssal de conneries sous le couvert d'une activité gouvernementale étatique illustre à la perfection cette troisième catégorie que je décrivais précédemment. Cet homme qui a premièrement été chauffeur pour l'Elysee, qui a causé un accident, sans toutefois être tombé dans une embuscade, avant de vouloir commettre un délit de fuite, mettant ainsi un terme à sa carrière courte mais intense de chauffeur, et qui a ensuite tenté de commander des armes flashball pour assure la sécurité du président (et je ne parle malheureusement pas du fromage), avant de se faire refuser son achat, et de prouver par la même qu'il est aussi très mauvais vendeur, s'est ensuite amusé à tenter de faire croire qu'il serait au moins bon dans la castagne gratuite et sans aucun risque en violant de façon grave la loi encore une fois en prenant un insigne policier, et un casque de CRS, suite à son glorieux stage de sécurité d'une semaine dans la gendarmerie. Et bien cet homme a été chargé de la sécurité du président !!! C'est là qu'on voit qu'il y a des gens qui le détestent ! Il avait également fantasmé des histoires de trappes d'évacuation dans une boîte !!! Mon grand, pour ta gouverne, quand ça tire, on évacue, on reste pas sous le plancher...
Et puis de toute façon, l'oeuf sur la tête, il se l'est pris quand-même. Il a juste prouvé qu'en plus de ne pas savoir conduir, de ne pas savoir bien vendre, de ne pas savoir assurer la sécurité, il ne sait pas non plus ce que se battre veut dire. Il illustre le piston maternel à la perfection, il n'est peut être pas fan de la pénétration anale, mais il est 'gay' dans le sens où Obama l'entend, il fait partie de l'élite de notre société, de là à se l'imaginer en bas résille, il y a un fossé. LGBT s'est récemment adjoint le suffixe 'H', pour donner LGBTH, en tentant de faire croire que être 'gay' ne voulait pas forcément dire être homo. On en déduit donc que faire partie dans le gouvernement des 'proches' du président, qui porte l'étendard LGBT comme une bannière de croisade, ne veut pas forcément dire que l'on est une 'tapette'. Non, mais l'idéologie qui consiste à dire que les catholiques sont des attardés phallocrates, ça oui, il en fait partie, sinon il ne serait pas un proche du président.
Comprenez que la catégorie 3 est encore plus violente que le 'refoulé' de la catégorie 1, ce chauffeur dangereux pour lui-même et pour la société, ce vendeur de brassards à la sauvette, illustre la violence gratuite et stérile dont ils se gardent bien de vous parler. Ce n'est pas un 'coming-out' qu'ils font, mais un 'coming-in the closet' dans le 'closet' des culottes et jarretelles de leur maman, qui était sans doute belle à l'époque, et qui courait sans nul doute après l'argent.

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