Juste
une petite mise au point
N’ayant
pas le loisir de passer du temps derrière un écran dans le cadre
d’une vie sédentaire bien établie, je saisis l’occasion de mon
passage dans un PMU pour tenir mes lecteurs au courant du dernier
développement.
Je
me suis récemment rendu compte que l’administration suisse a fait
une erreur dans mon acte de naissance.
Selon
leur dernier délire qui date de 2015, date à laquelle j’ai fait
une demande d’acte de naissance, je serai né le 31 décembre, et
non le 30, comme il est écrit dans mon passeport, ainsi que dans toute une
série d’actes officiels en ma possession. Un détail, allez-vous
me dire ! Mais non, ce n’en n’est pas un.
L’acte
de naissance est la base même de votre existence juridique, et pour
une unité sur une variable dans un fichier… hop, je n’existe
plus.
Bien
embêtant pour demander un quelconque acte officiel à partir de là.
La
liste des malversations à mon égard de la part de
l’administration suisse est longue, mais là, c’est le clou dans
le cercueil, c’est la cerise sur le gâteau.
J’en
suis bien heureux quelque part, car plutôt que de tenter de
convaincre les gens que telle ou telle plainte a été oubliée dans
un tiroir, il me suffit maintenant d’exhiber copie de cet acte de
naissance afin de montrer que s’il y en a bien un qui a des
problèmes relationnels avec le hasard dans les tiroirs de l’état
helvétique, c’est moi.
Il
restera aux stupides à se dire que cela est dû à une erreur
involontaire, comme si un horloger vous vendait une Breitling après
avoir malencontreusement marché dessus, ou si une Audi S4 neuve vous
était livrée avec une courroie de distribution qui aurait déjà été
utilisée pendant 130’000 km sur une autre voiture avant d’être
malencontreusement montée sur la vôtre en lieu et place de la
courroie neuve…
Je
veux dire par là que l’état civil, l’administration en charge
de la conservation de ces données, n’a d’autre chose à faire
que de conserver ces dites données en s’assurant de ne pas
laisser, je ne sais pas moi, un fou avec un lance flamme détruire
les serveurs, un agent du mossad d’y mettre un virus en confondant
le bâtiment avec un centre iranien d’enrichissement d’uranium,
ou un franc-maçon de venir modifier les données à la pièce en me
confondant avec Hitler… en imaginant que les fm soient ‘ligués’
contre la réincarnation de ce triste personnage, ce qui reste encore
à démontrer.
Donc
voilà, père tué, héritage volé, enfants subtilisés, pension
alimentaire calculée sur une base lunaire, plaintes pénales
dématérialisées, agressé un nombre quantique de fois, mes
compagnes victimes de terrorisme psychologique, menacé de mort,
empoisonné, manipulé… je passe direct à la fin ; et
maintenant c’est mon existence juridique elle même qui est tout
simplement niée.
Alors
on en vient forcément à ce qui, comme la morve au nez, ne demande
qu’à couler de source, c’est à dire, le fameux, le sempiternel,
le rémanent, l’obsessionnel, POURQUOI, mais bon Dieu, pourquoi
tant de haine ?
J’ai
bien développé quelques théories alambiquées du type :’ce
sont sûrement ceux qui ont le meilleur mobile qui sont derrière
tout cela’, ou encore ‘mais bonsangmécébiensûr, si la famille
du procureur tient un cabinet d’avocat avec la famille de ceux qui
jouissent de mes richesses subtilisées, il y a très
vraisemblablement collusion !’, mais bon, je vois que j’ai
beau péter les pales du moulin au lance roquette, je n’en reste
pas moins un don Quichotte paumé sur sa plage, l’épée à la
main, avec ce moulin sans pales qui fait triste figure à cet
endroit, et d’ailleurs, un moulin n’a rien à faire sur la plage.
Il
n’avait pas le droit de s’occuper de cette affaire, le méchant
monsieur, pas le droit.
Et
maintenant, l’acte de naissance… comme je vous le disais, ‘ils’,
les éléphants fou et maçons du mossad avec leur lance-flamme je
suppose, ne pouvaient pas faire mieux que de produire une feuille de
papier aussi emblématique que celle-là, je pense l’encadrer et
bien entendu la mettre sur internet, en attendant qu’un Hitler né
le 31 décembre 1974, et qui porterait mon nom ne vienne me coller un
procès pour violation de la vie privée, usurpation d’identité.
En
attendant, j’ai appris à survivre dans la forêt, à coller un mal
de crâne en 4 heures à un procureur pourri, et son escouade de
flics de choc, à défendre mon honneur sous différents régimes
bananiers, à démonter les argumentaires de différents esclaves
mentaux de telle ou telle appartenance politique, à interpréter le
fil d’info d’une société mondiale en guerre silencieuse, j’en
passe et des meilleures.
Mais
des fois, devant mon feu, en train de cuire ma 11 millième galette
au poivre, tout en surveillant les bruits alentours, j’en arrive à
me demander comment tout cela va se terminer, car une clique pareille
de gens, distribués à tous les échelons des administrations d’un
pays (ou d’un autre), ne peut mener qu’à sa destruction, tout
comme il n’est pas possible que le tourisme au sommet de l’Everest
ne puisse continuer à se développer, tant que la question de la
gestion des déchets qui s’y trouvent, laissés là par tous les
‘héros’ qui y sont montés, ne soit menée de façon sérieuse.
‘Ouaiiiiii,
je suis au sommet du monde ! … Attends, faut que j’aille me
délester d’un peu de matière fécale !’
‘OK,
je mets où les bouteilles vides, je suis complètement bourré’
‘Bah,
jette les de l’autre côté, il neige de toute façon’
‘Ah,
ça fait du bien, on redescend demain ?’
‘Ben
oui’
‘Bon
alors c’est toi qui démonte les tentes, c’est ton tour’
‘Ah
non rien à secouer, on a fini notre délire, moi je les laisse là,
et comme je te le disais, de toute façon il neige’
‘C’est
toi qui voit’
Discours
fictif, mais fictif ou pas, une fois que le dégel arrive, les dégâts
sont là, tapez ‘la plus haute poubelle du monde + EVEREST’
Ca
devait leur faire un peu cet effet à tous ces pourris, d’être
assis sur le sommet du monde, et de regarder les gens se tordre de
douleur 7’000 mètres plus bas. Puis ils ont jeté leurs bouteilles
vides, ont déféqué dans un coin, et puis un jour, le dégel est
venu. Le spectacle est triste à voir, et mon acte de naissance
truqué représente cela à merveille.
Et
comme le disait Einstein, ‘Ah ces chinois, assis comme ils sont on
dirait qu’il sont en train de déféquer’, c’est pas texto,
mais je reviendrai là-dessus, dans un autre article (tapez, Einstein voyage Chine raciste).
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