La nano-médecine de pointe employée dans le cadre d’une obscure
stratégie politico-économique
Cela fait maintenant
déjà longtemps que j’ai demandé à pouvoir consulter des
résultats d’analyse des produits à injecter (PAI) qui circulent
en ce moment au milieu de cette folie dite ‘vaccinale’. Cela
peinait à venir, et cela se comprend aisément lorsque l’on
constate les liens qu’il y a entre ‘le militaire’, et ‘le
gouvernemental’, dans ce sujet. La masse de propagande projetée,
dans son coulis indigeste et inflammatoire de battage médiatique,
ont formé un écran dense de ralentissement de l’intelligence
d’investigation.
Il aura fallu
attendre que le Japon découvre lui-même dans ces fioles des ‘grains
sombres’ aux fortes propriétés magnétiques, pour que certains
s’autorisent à faire circuler quelques analyses profondes et
détaillées de ces PAI.
J’en ai consulté
une, celle d’un certain dr. Young, Robert O. que nous appelleront
ROY.
Après en avoir
extrait les phrases clés, ainsi que les images correspondantes, et
placé tout cela dans un petit fichier ventilé aisément
consultable, je me suis attaqué à la lecture d’un autre article
scientifique.
Ce deuxième article
provient de la république de Corée, c’est une ‘review’ des
domaines d’application de certaines des technologies employées
dans ces PAI.
Je résume :
primo analyse des composants constatés dans les fioles, ainsi que
dans le sang de personnes ayant été ‘bénéficiaires’ de ces
injections. Deuxio examen des technologies employées qui
correspondent à ces éléments constatés.
Autrement dit :
voilà ce qu’on trouve, et ensuite, ça correspond à ce type de
technologie ou à cet autre type.
Le deuxième article
m’a pris une après-midi entière, il relève des toutes dernières
technologies en nano-médecine. La complexité des technologie n’a
rien à envier aux derniers développements en terme de voyage
spatial. J’en avais mal au crâne.
Pour revenir au
premier article, le dr. Robert O Young est un scientifique de pointe,
reconnu ‘mondialement’, mais pratiquant la médecine dite
‘naturelle’. Il s’est focalisé sur la nutrition cellulaire. Il
est donc à l’opposé idéologique des auteurs du second article.
“Le progrès
technique est comme une hache qu’on aurait mis dans les mains d’un
psychopathe. ” Albert Einstein
Les auteurs du
deuxième article diront en conclusion :
“… the great
expectations fueling graphene-based research warrant a “digital
shotgun” approach… ”
(Les grandes
attentes qui alimentent les recherches basées sur le graphène font état d'une approche de ‘fusil-à-pompe’ digital)
Les auteurs se
nomment Si-Ying Wu, Seong Soo A An, et John Hulme. Ils font partie de
l’institut de recherche médical de l’université de Gachon,
située à Sungnamsi, en république de Corée (corée du sud donc…).
La publication a été
dûment autorisée par l’éditeur, le Prof. Dr. Thomas J. Webster.
Cette publication
date du 26 août 2015.
Ce deuxième
article, comme je vous le disais, fait la revue de champs de
recherches divers et très complexes. Pour approfondir chacun de ces
domaines, il faut une bonne semaine à plein temps, ce qui fait que
pour bien comprendre le tout, à mon avis, c’est 4 à 6 mois à
plein temps. Mais nul besoin de cela, puisque ce sont des
spécialistes reconnus et compétents qui nous en parlent, en faisant
référence à chaque fois, à d’autres spécialistes reconnus, et
compétents. Il faut parfois savoir lire les terminologies
scientifiques employées, connaître les bases des technologies
utilisées, dans le principe, ce sera suffisant, et bien utiliser son
wikipedia dès que nécessaire. C’est mieux d’avoir ici une
formation de base en sciences dites ‘dures’, plutôt qu’en
histoire de l’art, c’est sûr.
La compétence des
gens concernés par ces articles n’est pas à remettre en question,
mais l’état d’esprit de la médecine concernée oui, à mon
avis. Nous y reviendrons plus tard.
Alors, qu’en
est-il de ce graphène ? Pourquoi ne figure-t-il pas dans la
liste des composants des PAI ? La réponse est simple au premier
abord, mais prenons garde aux conclusions hâtives. Il ressort de la
lecture de ce second article que ces technologies nano-médicales
sont dangereuses, bien souvent ‘CYTOTOXIQUES’ (toxiques pour la
cellule). Les chercheurs tentent de trouver les moyens de rendre
inoffensifs les NOGs (NANO PARTICULES d’OXYDE de GRAPHENE) en les
combinant à diverses substances comme, par exemple, les PEGs
(Polyéthylène Glycol). Ce n’est qu’un exemple, mais c’est
bien du PEG, que l’on trouve dans les PAIs. (prenez un crayon pour
les acronymes, la liste est longue).
Cet exemple nous
intéresse, car il est représentatif d’un ou deux points d’intérêt
au sens de mon article. Cela met en évidence de un : la
capacité du monde universitaire à cacher la dangerosité d’un
produit qui les intéresse, lorsqu’ils pensent que la ‘balance
bénéfice-risque’ penche en leur faveur, mais que comme à chaque
fois, ils pensent aussi que nous sommes trop bêtes et ignorants pour
comprendre l’immense intérêt de cette ‘stratégie médicale’.
Comme à chaque fois, il y a de gros intérêts financiers et
militaires qui montrent bien à nous les idiots, que nous sommes
possiblement plus méfiants que bêtes, mais la situation finit
toujours par une mise en vente de la technologie concernée.
En deuxième point
d’intérêt, il y a le fait que, comme souvent, le monde de la
recherche combine un poison avec un autre, pour nous dire ensuite que
c’est bon pour la santé. Ils appellent cela, la
‘bio-compatibilité’, pour ne pas avoir à parler de
‘cytotoxicité’. C’est pas mauvais, c’est ‘plus moins mauvais’.
De cet article nous
pouvons comprendre sans ambiguïté que l’injection d’oxyde de
graphène pur (avec le minimum d’impuretés) est cytotoxique,
particulièrement pour les cellules endothéliales (celles qui
recouvrent l’intérieur des vaisseaux sanguins et du coeur, par
exemple), mais aussi pour les lymphocytes-T (système immunitaire).
Chez les souris il provoque aussi des lésions aux poumons. Nous
parlons ici des propriétés cytotoxiques inhérentes aux NOGs de
façon intrinsèque, à cause de ce qu’ils sont, AVANT de leur
ajouter des fonctions secondaires.
De cet article nous
pouvons aussi tirer la conclusion que lorsqu’injectés, les NOGs se
retrouvent à peu près dans toutes les cellules du corps, avec des
concentrations élevées en périphérie du, ainsi que DANS le noyau
de la cellule.
Les substances
contenues dans les PAIs sont représentatives de la stratégie
nano-médicale employée dans le domaine de la thérapie génique.
Cela fait 10 ans et plus que les capsides de liposomes (petites
boules de gras avec des trucs dedans) sont employées dans ce domaine,
pour transporter de l’ARN, ou de l’ADN, jusque DANS le noyau des
cellules. Le gras (lipides) employé pour faire la petite boule
permet de passer la membrane cellulaire sans encombres.
Ce n’est que
récemment que ce domaine de recherche a constaté la très grande
efficacité des NOGs pour faire le même boulot, aller dans le noyau
avec un petit paquet cadeau.
Les PAIs contiennent
ces deux technologies. Le poly-éthylène est aussi employé pour
parvenir sans trop d’encombres jusque dans le noyau de la cellule.
Il faut s’accrocher
pour bien comprendre, parce que ces technologies sont au moins à
trois niveaux de compréhension. Donc relire quand pas compris, et
peut-être prendre le temps de gougueuliser (QWANT.FR c’est mieux),
quand inconnu au bataillon.
Pour reprendre les
PEGs, il faut savoir qu’ils sont reconnus comme cancérigènes, et
géno-toxiques, par la communauté scientifique, dans sa partie
indépendante de la pression financière ambiante dans le milieu. Je
sais depuis longtemps que les PEG sont perturbateurs endocriniens,
ils foutent en l’air votre système hormonal. Mais dans cet
article, ils sont considérés comme la panacée pour affaiblir la
dangerosité des NOGs.
Ils font allusion au
fait que les PEGs c’est bien et donnent comme exemple le fait qu’on
les retrouve très souvent dans les cosmétiques. C’est précisément
dans ce domaine que les assos de consommateurs, les écolos, et
certaines féministes, se battent pour interdire ces substances.
Voilà un peu l’esprit dit ‘médical’ que je constate en
abondance dans le domaine des recherches sur les NOGs. A partir de
là, quand ils disent qu’un truc est toxique, c’est qu’il l’est
vraiment.
LE GRAPHENE
C’est quoi ?
Un réseau d’atomes de carbone en nid d’abeille. Six atomes qui
forment un cercle, et tous ces cercles collés les uns à côté des
autres. Le carbone peut être moins bien organisé, c’est alors du
graphite, ou du charbon. Ou organisé de façon plus compacte, et
cristalline c’est alors du diamant.
Sous sa forme de
graphène, il présente des propriétés physiques (mécaniques)
impressionnantes qui fascinent les physiciens, et les industriels,
ainsi que le CAC40.
Lorsque le graphène
est arrangé de façon à ne faire qu’une seule couche d’atomes,
et qu’il est recouvert d’atomes d’oxygène, on parle alors
d’oxyde de graphène. Cela en change les propriété physiques,
pour les rendre encore plus intéressantes pour la science. Il est
transparent, plus élastique, et très conducteur, ainsi que
présentant des propriétés magnétiques impressionnantes. Nul doute
que les Japonais ont trouvé cela dans leurs microscopes, mais pour
quelle raison n’ont-ils pas appelé un chat, un chat ?
‘Des petites
particule sombres et magnétiques’, ont-ils dit, mon bon m’sieur !
C’est pour les
mêmes raisons inconnues que je pense que le monde médical n’a pas
osé mettre ces composants-là dans la liste des ingrédients de la
soupe des PAI. Ils n’ont pas les autorisations légales, ces
produits sont trop dangereux.
Mais regardons alors
pour quelle raisons ils les ont mis dedans quand-même. Voici les
domaines d’application reconnus des NOGs dans ce deuxième
article :
‘This review
seeks to provide an overview of the currents applications of graphene
oxide in nanomedicine, focusing on delivery systems, tissue
engineering, cancer therapies, imaging, and cytotoxicity.’
(Cette revue cherche
à fournir un survol des applications actuelles de l’oxyde de
graphène en nano-médecine, en se focalisant sur les systèmes de
livraison, l’ingénierie de tissus, les thérapies contre le
cancer, l’imagerie, et la cytotoxicité)
Chers lecteurs,
comme vous le constatez, nous ne sommes pas sortis de l’auberge. Je
ne vous expliquerais pas tout ce que j’ai compris de cet article,
mais je me focaliserais sur les domaines, comme je vous le disais
plus haut, qui nous concernent, c’est-à-dire, la recherche contre
le cancer, et les systèmes de livraison, la cytotoxicité est
implicite de partout, de la même façon que le fric est implicite de
partout dans les systèmes (sociaux cette fois) de livraison des PAIs
jusqu’à l’utilisateur final, que l’on surnomme
affectueusement, les ‘vaxx’ sur les RS (réseaux sociaux ;) ).
Les NOGs comme
véhicules de transport
Votre ‘substrat’
(la strate de dessous, littéralement), cet espèce de petit tapis,
peut être utilisé comme transporteur de tout un tas de choses ;
des médicaments, des poisons, des transmetteurs de fréquences, ou
des molécules plus grosses (ARN par exemple) peuvent y être
attachées par des liens chimiques plus ou moins forts.
Et pourquoi pas y
attacher deux choses, d’un côté un ARN qui va guider notre
système de transport vers sa cible, et de l’autre la substance que
l’on veut y apporter ?
Tout est
envisageable, et l’imagination s’emballe facilement.
Mais quels exemples
de recherches appliquées nous donnent nos trois larrons chapeautés
par un si vénérable professeur, sans aucun doute fervent défenseur
des libertés démocratiques ?
Un : ils lient un médoc au substrat de façon à ce que l’acidité soit le
facteur de libération. Certaines cellules cancéreuses sont plus
acides et c’est en rentrant dans ce milieu que le petit vecteur
libère son POISON. Médicament peut-être, mais il s’agit
d’utiliser la cyto-TOXICITE, pour tuer des cellules cancéreuses.
Faudrait pas que le patient se fasse trop de bile, la bile, c’est
acide..
DEUX : ils vont
utiliser de la lumière comme facteur de libération. Les liens
chimiques entre le médoc et le substrat se cassent lorsqu’un laser
pulsé dans les infra-rouges est dirigé dans la zone. Les NOGs sont
très sensibles aux IR (infra-rouges), une faible puissance suffit
pour atteindre le but recherché. Les auteurs s’empressent alors de
nous faire part d’un fait amusant supplémentaire:
Lorsqu’il est
excité avec plus de puissance, le NOG visé monte facilement à 1000
degrés, en une micro-seconde. Quitte à tuer des cellules, autant
tirer dessus, c’est moins cher. La photo-thérapie fait partie des
stratégies médicales contre le cancer. Il faut marquer les cellules
avec un truc qui va réagir à lumière de façon à tuer la cellule
cancéreuse, mais pas les autres.
Lorsque le NOG est à
1000 degrés, il engendre une ‘micro-cavitation’. Un peu comme
une ébullition, mais pire. La dilatation gazeuse s’approche alors plus
du vide, que de la vapeur. Ca aussi ça fascine beaucoup, et nul
doute que l’allusion au ‘fusil à pompe digital’ vient en
partie de cette expérience.
Petite digression
industrielle
Sortons maintenant
du domaine médical, et laissez moi vous faire part de ce que j’ai
lu dans une autre recherche, plus du type qui consistait à examiner
les moyens de mettre en place des processus de fabrication de
molécules de NOG de tailles précise, d’architectures précises.
Autre chose qu’un petit tapis pour mettre des trucs qui vont dans
le noyau.
Je ne l’ai plus en
référence, mais j’y ais appris que ces molécules de NOG sont
photo sensibles, et peuvent rapidement être dégradées par la
lumière. Ils en avaient mis en place la production de capsides
(petite boîtes) qui entouraient ces molécules de façon à les
rendre stables dans la lumière. Dans cet article, pour ces
molécules, ils obtenaient par exemple des boîtes à fonctions, qui
dans telle ou telle longueur d’onde de la lumière, se mettaient
par exemple à produire de l’électricité, ou un champ magnétique,
le tout avec un très bon rendement, beaucoup de puissance. Des
petits transmetteurs très puissants.
Revenons à notre
médecine du poison. Nous comprenons que la lumière peut être
employée de façon brute, ou de façon informationnelle. La
complexité des technologies présentes laisse le champ libre au
possible technologique. Il est par exemple tout à fait envisageable
d’utiliser la lumière, ou le champ électro-magnétique, pour dire
à de petites machines de faire ceci, ou de faire cela, et cela ne se
limite absolument pas au fait de libérer un petit cadeau. C’est un
peu là le troisième degré de compréhension de ces technologies.
Un, les propriétés inhérentes et intrinsèques des NOGs, deux :
leurs capacités de combinaisons et d’interaction, trois : les
fonctions complexes ajoutées en synergie. Merci.
Un petit
nano-laboratoire, qui soumis à telle fréquence radio, se mettrait à
synthétiser de petites molécules de ce que vous voulez, est tout à
fait envisageable.
Je précise ici que
la première des capacités utilisées en nano-médecine du graphène,
est bêtement la cyto-toxicité quasi mécanique. Les nano-tubes (substrat de graphène enroulé, qui devient un tube, plutôt qu'une surface plane) ont
premièrement été utilisés comme bactéricides (tueurs de
bactéries), à cause du fait que ce sont de minuscules aiguilles qui
percent les membranes, tout simplement. Les petites ‘feuilles’ de
NOG, sont alors des petits rasoirs, tout aussi simplement. C’est
alors leur taille en rapport à la taille de la cellule qui détermine leur pouvoir de coupe.
C’est uniquement à
cause de cela qu’ils ont intéressé les chercheurs dans un premier temps; en tant que vecteurs de substances, ça rentre dans le noyau en faisant un trou…
fusil à pompe !
Ensuite les
recherches se sont affinées.
Et dans les PAIs ?
L’examen, à l'aide de tous
les microscopes disponibles de l’étude ROY, allant jusqu’à la
vision claire des atomes, microscope à balayage par exemple, montre
une série de choses qui sont vraiment la pointe de la recherche en
médecine destructive, ou en thérapie génique, et plus encore.
On y trouve des
feuilles de NOG, on y trouve des NOGs qui sont par endroit
‘clusterisées’, comme si on avait froissé une feuille de
papier. Le NOG devient alors opaque, formant des amas de molécules
sombres, comme les ‘grains’ magnétiques de nos amis japonais. On
trouve des ‘particules’ nano technologiques faisant état d’un
très haut niveau de compétence en ingénierie, mais dont la
fonction reste inconnue. On trouve également des particules
fabriquées qui me font personnellement plus penser à de la
balistique nanométrique. De petites balles destinées à transporter
du matériel, on constate des vacuoles sur leur surface. Je viens ici
préciser que sauf erreur de ma part, la première technique employée
pour introduire de l’ADN dans un noyau était de charger de petites
balles en or avec du matériel génétique et littéralement ‘tirer’
dans le noyau, en comptant sur sa capacité de ‘cicatrisation’
pour refermer le trou.
On trouve aussi de
petits objets de différentes factures constitués du mélange de
métaux communément appelé ‘acier inox’, en forme de petite
lame. Ou en forme de tige plate. Ce ne sont que des exemples, mais
l’un des premiers défis que la nano-techno naissante a relevé,
c’est bien de faire tourner un nano moteur électrique. Ils étaient
tout contents, je me rappelle encore de cet article du SCIAM
(scientific american). Ces deux objets me semblent bien avoir été
conçus dans ce but, mais cela n’est que mon impression. Tant qu’on
est dans la médecine de tuerie de cellules innocentes qui n’ont
rien demandé, qu’on les perce de partout, qu’on les empoisonne,
qu’on les flingue, alors pourquoi pas les passer au Moulinex ™ ?
On trouve bien
entendu nos petits ballons de foot que sont les liposomes. On trouve
une masse certaine et conséquente de matériel probablement
génétique, constaté grâce à la spectrométrie Rayons X, ou
d’autres types de spectrométrie (tous plus complexes et
performants les uns que les autres).
Donc les listes
d’ingrédients sont honnêtes, mais pas complètes. Nous comprenons
que c’est sans doute par manque d’autorisations que les NOGs n’y
figurent pas. Mais il n’y a pas que les NOGs qui n’y sont pas.
Les métaux
Avant de faire la
liste des métaux trouvés dans les analyses ROY, il me faut revenir
sur la géno-toxicité des NOGs, elles est indéniable puisque tel
quel dans le sang, les NOGs coupent tout simplement de façon
aléatoire les brins d’ADN, mais il est notable qu’en présence
de fer et de manganèse, Fe et Mn, tout cela devient TRES
géno-toxique, et même mutagène !
2e
article : ‘’As stated previously, both metals are highly
mutagenic in the presence of GO, nonspecific release of these ions
from traditionally prepared GO might result in unusually high levels
of toxicity and random scission of DNA ‘’
(comme affirmé
plus haut, les deux métaux sont hautement mutagènes en présence
d’OG, une libération non-spécifique de ces ions depuis des OG
fabriqués de façon traditionnelle peut aboutir à des niveaux
inhabituellement élevés de toxicité, et des coupures aléatoires
de l’ADN)
Il faut comprendre
ici que les premiers processus de fabrication de l’OG (oxyde de graphène)
impliquaient l’utilisation de ces deux métaux, c'est le processus dit
‘traditionnel’. Mais depuis d’autres méthodes ont été
utilisées qui permettent l’obtention d’OG dit quasi pur
(‘pristine’ en anglais). On voit bien la différence dans l’étude
ROY qui montre dans une photo 1 des feuilles de NOG produites dans
les premières années, genre 2009, et les feuilles de NOG constatées
dans notre expérience génique actuelle, dans un flacon de PAI. Il
est donc difficile de croire que ces deux métaux sont présents pour
cause d’imperfection du processus de fabrication. Mais de toute
façon nous trouvons d’autres métaux qui ne sont là que pour des
raisons inhérentes aux brevets de ces PAI, au sens du fonctionnement
de ces petites merveilles de technologie, pas juste au sens de la
liste de contenus, ces métaux ont certainement une utilité du
second ou troisième degré de compréhension. Selon l’étude ROY,
voici une partie des métaux présents, entre autres substances bien
connues, mais toutes toxiques :
‘’
Identification of organic carbon, oxygen and nitrogen particulates
with an aggregate of embedded nanoparticles including bismuth,
titanium, vanadium, iron, copper, silicon
and aluminum which were all found in the so-called Pfizer
“vaccine.” ’’
On trouve aussi du
Chrome, du souffre, du bismuth, du sélénium, du plomb,
du cadmium et du nickel.
Je ne fais pas de
différence entre les PAIs, mais sachant que certains font des
mélanges dans leur sang, autant garder cette approche inclusive. Toutes les
entreprises concernées obéïssent à la même politique financière
ou médicale, Bill gates par exemple, le grand spécialiste des
vaccins, est actionnaire de toutes ces entreprises. Il s’est bien
‘hedgé’ tout simplement.
A moins d’avoir à
faire à de bêtes empoisonneurs bien primaires, il est évident que
la présence de ces métaux ne peut être due qu’à leurs
propriétés nano technologiques, certains éléments cités sont
semi-conducteurs par exemple. Certains de ces métaux me semblent
tout indiqués pour faire de ces petites machines de bon récepteurs
ou émetteurs de fréquences, comme je l’ai dit plus haut. Mais
avouez que la complexité des technologies présentes dépasse vraisemblablement la lutte contre le cancer.
Imaginez qu’ils en
sont à envisager l’organogenèse grâce à ces machines. A l’image
de l’impression 3D, ils déposent des couches de cellules souches
de la façon qu’ils veulent, puis disent à ces cellules de se
dériver en cellules fibroblastes, myoblastes, etc.. C’est à dire
que quand on a un petit téléphone lumineux dans le noyau de ces
cellules souches, ils est ‘aisé’ de leur dire quoi devenir (avec
un fusil à pompe dans l’autre main, mais bon). La présence de ces
métaux m’indique à moi le genre de complexité de fonction
impliquée. Cette histoire d’impression 3D d’organes vient de
l’article 2, c’est un domaine de recherche et de développement
de la nano-médecine. Pas un film de science fiction.
Et puis il y a
l’imagerie
La résonnance
magnétique nucléaire, le PET scan, sont utilisés pour permettre
aux médecins de bien visualiser vos organes. Il est parfois
nécessaire de vous injecter des trucs pour rendre vos organes
scintillants sous le rayonnement. On est loin du thé à la camomille,
et avec les NOGs, encore beaucoup plus loin. Ils sont hautement
magnétiques, et l’une de ces techniques d’imagerie est justement
la résonance magnétique, ou RM. Les NOGs c’est le kif total pour
le technicien en imagerie. Imaginez des gens qui prennent des photos
de chauves souris dans une cave, et qui se prennent la tête avec
les capacités ISO de leur cannon EOS (finesse de détection). Et
tout à coup un super copain arrive avec un phare de détection anti-aérien de 1200 watts, et ce dans la lumière invisible (aux
chauves souris)… c’est ça.
Le vaxx est un cas
d’école en imagerie. Connaissant les sociétés estudiantines, nul
doutes que certaines ‘apps’ disponibles permettent de mettre le
smartphone en interface avec un détecteur, afin de voir ces
humanoïdes, dans la rue, sans la paroi osseuse du crâne, etc
Les étudiants sont
des rigolos parfois.
Vous l’aurez
compris, les vaxx ont dans leur sang de quoi les transformer en labo
nano technologique. Ces éléments, les métaux, les nano-machines,
les projectiles, et le matériel génétique et autres sont arrivés
dans TOUS les organes du corps, dans le noyau des cellules et
ailleurs.
Le système
immunitaire a bien souvent été leurré pour cause de liposome par
exemple (impossible de savoir ce qu'il y a DANS le ballon de foot). Il est aussi rentré en panique, pour cause de mort des
lymphocytes T, par exemple.
L’ensemble des
éléments cités plus haut évoque une géno-toxicité de la pire
espèce, de par la nature même des éléments présents, métaux
toxiques, PEGs, NOGs. Et cela AVANT de rentrer dans la discussion des
FONCTIONS espérées de cette expérience génétique. Mais à partir
du moment où l’on constate la présence du parasite ‘Trypanosoma
cruzi’, dans le PAI de la maison Pfizer, on est en droit de se
dire que les raisons derrière toutes ces cachotteries ne sont pas
aussi ‘médicales’ qu’il y paraît.
Mon article ‘le
fabuleux vaccin d’Amélie pour rien’ (j’ai emprunté ce titre à
un internaute, il n’avait pas mis de brevet sur cette blague), fait
bien état d’une influence militaire pour ce qui est du SRAS COV 2.
Il en va de toute évidence de même pour son ‘antidote’.
Les myocardites
s’expliquent naturellement par la toxicité spécifique de l’OG
pour les cellules endothéliales. Certains en sont morts.
Les thromboses sont
aussi dues aux propriétés de l’OG, il est un coagulant. Dès
qu’il est dans le sang, il provoque une coagulation autours de lui.
Etude ROY.
Les AVC (vasculaire
cérébral) sont aussi logiques si on part du principe que le cerveau
est un organe cible de ces ARN messagers. Cela fait longtemps que des
virus sont employés pour ‘viser’ des organes avec des thérapies,
cette technique est toutefois imparfaite. Après, il est vrai que les
thromboses ne concernent de loin pas que le cerveau, on a vu des
amputations de membres divers.
Il me reste encore à
dire que cette combinaison NOG+PEG repose sur des liaisons chimiques
‘covalentes’, que les auteurs de l’article 2 avouent n’être
pas totalement stable. Elle peut casser, vous vous retrouvez alors
avec des NOGs, et des PEGs, dans l’organisme, deux géno-toxiques,
cyto-toxiques, qui détruisent votre système circulatoire,
immunitaire, vos poumons vraisemblablement, et bien plus encore.
Le conseil serait
bien évidemment d’éviter les sources de rayonnement magnétique,
les sources lumineuses trop fortes, évitez les ampoules infra-rouges
chez le kiné par exemple, le temps que votre organisme évacue un
peu ce merdier, et que le but recherché par toutes ces technologies
se stabilise dans vos organes cibles.
Nul doute que le
trans-humanisme, l’organo-genèse, et la parfaite symbiose
homme-machine était bien le but recherché autant par certains
hommes politiques, que par certains clients de ces PAIs, et plus encore. Le prix est cher en
termes de victimes collatérales. Mais ne doutons pas que les
fonctions tertiaires de ces assemblages ne tarderont pas à montrer
leurs visages un de ces quatre. La boîte de pandore est bientôt
vide, si je puis dire.
Notre humanité a
fait confiance à des créations de mains d’hommes, plutôt qu’à
Dieu. Amusant de se dire que ces croisements de virus avec des gains
de fonctions à la clé s’appellent des ‘chimères’. Marrant de
se dire que la ‘thérapie génique’ change, et casse vraiment
l’ADN des vaxx. Alors que la Bible nous dit que ‘dans les temps
de la fin, il en sera comme au temps de Nöé’, et que dans le même
livre il est dit que dans ces temps-là, ‘toute chair était
impure’. Modifier l’ADN, c’est casser la pureté de la
résonance harmonique interne et propre à l’ADN, il devient alors
une chimère.
De la poussière à
la poussière
Le carbone est le
support de la vie. Nous sommes aussi remplis d’eau, mais ça, c’est
le médium dans lequel la vie se ballade. Le cycle benzénique est la
brique de base de la plupart des tissus de la vie. Le cycle
benzénique, c’est précisément 6 atome de carbones, liés en un
cercle. Il y a des atomes d’hydrogène autours. Evidemment, nous ne
sommes pas remplis de benzéne, mais lorsqu’on ajoute des atomes
divers et variés autours de cette structure de carbone en cercle, on
en dérive autant de substances diverses que l’on veut. Du TNT, des
hormones, des stéroïdes. Ce cycle de carbone peut se voir adjoindre
ensuite d’autres cycles parfois de 5 atomes, et l’on vient alors
dangereusement près de la structure des composants de base de l’ADN,
ce sont les nucléosides. On peut aussi enlever un atome de carbone
et le remplacer par un hydrogène, ou un azote, et continuer ainsi la
progression de ce qu’on appelle les composés aromatiques, parce
que les odeurs organiques sont composées de ce genre de molécules.
Cela fait partie de la chimie dite ‘ORGANIQUE’.
Le cycle de 6
carbones répété en grand nombre dans un réseau en nid d’abeille,
c’est du graphène. On peut le dire, c’est la poussière dont
nous sommes issus. Et au sortir de l’incinérateur, dans une urne,
le carbone qui la remplit, mais cette fois ci sous sa forme la moins
organisée, c'est bien de la poussière. De la poussière, à la poussière.
Nul doute au premier
regard que le spécialiste voit immédiatement le potentiel immense
en terme d’imitation ou de recréation de la vie de ce réseau
d’atomes. Et c’est bien dans ce sens là qu’il a été employé
en nano-médecine. Tout est chimie organique, cycles benzéniques
ajoutés, modifiés, assemblés. Nul doute que toutes ces substances
se lient magnifiquement bien au substrat des NOGs.
Le potentiel de ces
substrats dans le corps humain ne m’inspire pas mieux que nos trois
joyeux drilles, un fusil à pompe digital.
Je vous remercie de
votre fidélité de lecteurs. Sachez que je n’ai toujours pas
monnayé ces travaux d’enquêtes. Je suis très heureux pour une
fois d’avoir pu reprendre ce qui constituait mes lectures presque
préférées, la science, dans un contexte d’enquête criminelle,
et de renseignement militaire.
Amicalement, Marc
Onnestad
PS : vivent les
bac +2 !
L'article de ROY
http://stateofthenation.co/wp-content/uploads/2021/08/GrapheneOxideVaccinePaperUpdated.pdf
L'article de Corée
https://www.dovepress.com/current-applications-of-graphene-oxide-in-nanomedicine-peer-reviewed-fulltext-article-IJN