Une fois que l'on
accepte que les garçons sont aussi violés que les filles quand ils
sont petits, et même si le viol d'un garçon par une femme est
accepté comme étant moins 'violent' que le viol d'une fille par un
homme, n'est-il pas nécessaire de faire face aux conséquences
comportementales chez l'homme dit 'adulte' ?
C'est pour exposer
ce que j'en ai perçu chez moi-même, dans mon histoire de famille,
que j'écris cet article.
Un garçon violé
par sa mère, ça passe beaucoup mieux dans l'inconscient collectif,
car on se dit qu'à part de 'légères' irritations sur le pénis, on
est loin des béances laissées suite au passage du pénis d'un homme
dans le corps d'un enfant (fût-il garçon ou fille). Ce n'est pas
faux, mais est-ce une raison pour ignorer les ravages du passage
d'une matronne dans l'intimité d'un garçon ? Cessons un
instant de subir l'obsession du jugement comparatif, pour passer à
l'évaluation qualitative.
Factuellement, et en
me remémorant ce que je peux de la naissance de ma libido pré et
post-pubère, il ne m'est pas difficile de vous exposer ce qui suit :
La stimulation de la
sexualité chez un petit garçon est une torture. La sexualité
masculine trouve son appaisement dans ce que l'on appelle
'éjaculation' (qui est un terme inadapté, et moche). Triturer le
pénis de façon maladive et obsessionnelle avant que le garçon ne
soit en âge de 'jouir', provoque une explosion de tensions sexuelles
qui ne peuvent ensuite pas sortir de l'esprit.
'Supercharging' ?
Et je ne vous parle
pas de se faire étouffer par une vulve déformée par le passage
d'inonbrables pénis bien sales.
Inutile de dire que
l'adolescent qui aurait subi ce genre de traitements a toutes les
chances de devenit un boutonneux de première. Un jeune homme
surchargé en hormones mâles, avec un système hormonal complètement
déséquilibré. Charlie Hebdo si on veut bien.
Suite à ce genre
d'enfance, il semble assez facile d'en conclure que le rapport sexuel
n'est envisageable que dans une approche 'paniquée', désireuse d'en
arriver à la fin avant d'avoir commencé. Et ceci car le rapport en
tant que tel est synonyme de torture. Et la 'jouissance' est synonyme
de libération. Si c'est durant toute son enfance qu'il a été
surchargé, il passera sa vie à tenter de se vider, Je ne vous
explique pas l'état de la vulve de sa compagne ; cancer du col,
ablation de la matrice, vaginoplastie… De l'autre côté, rupture
du frein, fracture de la hampe.
Une fois que le
jeune homme est un peu plus sûr de lui, et qu'il découvre les
façons d'envisager le rapport de façon à être plus ou moins
assuré d'arriver à la fameuse 'éjaculation', il est alors à même
de se sentir un peu plus 'homme' et alors vient la tentation de
glisser du manque le plus complet d'assurance, à une vision violente
et phallocratique du rapport sexuel, la femme devenant alors une
simple façon de lui fournir les moyens de 'jouir', lisez :'le
libérer de ces tensions hormonales insupportables'. Ces tensions, je
vous le rappelle, en terme d'éthologie, d'étude du comportement,
sont aisément augmentées par la vision régulière de simples
stimulis tels que 'seins nus', 'hanches suggestives', 'longues jambes
épilées', etc etc, stimulis dont regorge notre société si encline
à exposer le corps de la femme comme une marchandise. Notez bien
qu'un anus fait au passage tout à fait l'affaire en terme de
soulagement, quel que soit son âge, et pour certains, quel que soit
son espèce (de mammifère, mais pas seulement).
Indépendamment des
déviances comportementales sexuelles dues au malaxage chronique,
précoce, et obessionnel de son pénis par des babouins femelles
agressives et 'féministes', les conséquences de ces pratiques sont
aussi des déformations de l'image de soi, qui sont intégralement
récupérées par ce genre de clique internationale féminine. J'ai
nommé la 'formation' de fils à mamans (reines maudites). J'ai
nommé, le 'séducteur à gros pénis'. C'est un homme que sa maman
ne laissera jamais être véritablement aimé par une autre femme, et
ceci car la pédérastie à pour conséquence entre autres la
dépendance émotionnelle du violeur/euse, par rapport à sa victime.
Quand ils/elles, violent, ils tombent 'amoureux'. Le rapport provoque
un 'bonding' très intense. La violeuse étant dans une vision
criminelle de ce qu'elle vole chez sa victime, elle n'a aucune raison
de renoncer à des méthodes criminelles de s'assurer de continuer à
profiter de son acquisition malhonnête, à l'image d'un braqueur de
banque qui n'a aucune raison de se laisser ratrapper par la police,
et encore moins de se faire reprendre son 'bien mal acquis'.
Le bellâtre en
question souffre d'un autre problème psycho-social, c'est qu'à
moins d'augmenter sa connaissance sur les conséquences traumatiques
du viol sur son propre esprit, et pour cela il devra déjà se rendre
compte et accepter qu'il a été violé, il sera persuadé d'être un
homme exceptionnel. En effet, pour une fille comme pour un garçon,
être violé par le parent de sexe opposé, donne l'impression d'être
choisi par un dieu. Quand on est petit, un parent c'est un dieu. Et
savoir que maman s'intéresse à son pénis, c'est rentrer en
concurrence avec papa. Et d'ailleur maman est amoureuse de ce garçon,
comment cela se pourrait-il autrement qu'à cause du fait que ce
garçon est exceptionnel ? Ça donne un énorme sentiment de
valeur intrinsèque. Le garçon est obligé de devenir un homme à la
place de son père. Bien entendu cela n'est pas possible, mais c'est
la tendance induite dans son esprit par sa mère. Évidemment tout
cela c'est du grand n'importe quoi, puisque la mère en question ne
fait que satisfaire bassement à ses instincts les plus bas, et ce en
s'abaissant en dessous du niveau intelletuel d'une guenon, qui elle
sait encore avec qui il faut s'accoupler. Mais dans l'esprit du petit
garçon, qui cherche encore à cet âge des explications rationnelles
à ses questions interieures, c'est l'explication la plus accessible
qu'il trouve en général.
Notre bellâtre à
gros pénis, se trouve maintenant persuadé qu'il est un demi-dieu au
pouvoir de séduction irrésistible, sentiment augmenté par
l'attitude 'assoifée de sexe' qu'il trouve dans le regard des femmes
qu'il croise. Effet stupide s'il en est, puisque ces femmes ne sont
elles de leur côté que des victimes du même genre de travers pour
des raisons similaires, mais qui ne sont pas le sujet de cet article.
Comment envisager de
trouver une femme pour fonder une famille dite fonctionnelle dans ces
conditions ?
Comment remettre une
telle mère à sa place, pour sortir du rôle 'homme télécommandé
par maman, dont aucune conquête ne sera jamais à la hauteur' ?
C'est une lutte de
ce genre que j'ai menée depuis que mon papa m'a permis de
sortir des griffes du babouin femelle à l'âge de neuf ans.
D'ailleurs c'est
bien lorsqu'il est mort que j'ai commencé à m'intéresser à la
psychologie, à la sagesse etc. J'avais 17 ans, et ça tombait bien,
car il faut avouer qu'il est assez rare qu'un jeune homme s'intéresse
à la sagesse à un âge aussi précoce.
J'ai donc eu
l'occasion de comprendre les briques de bases de la construction
d'une théorie qui pourrait expliquer mes problèmes, ainsi que ceux
de ma famille.
Armé de ces
connaissances nouvelles, j'ai tenté de m'améliorer dans mes
relations intimes, malgré les échecs successifs. Et c'est au bout
de cette course jalonnée de coeurs brisés, et d'illusions
pulvérisées, que je vous apporte les conclusions finales. Je le
fais au travers d'une optique de qualité, la seule qui permette de
comprendre une histoire comme la mienne, l'optique du contrôle
maximum sur ma vie par ma mère.
Ce genre de parents
pédérastes envisagent le succès de leurs vieux jours au travers de
l'esclavage de leurs enfants dont le succès dans la société est
une obligation. Ils en sont les maîtres marionnettistes, et leurs
enfants en sont les pantins.
Ma mère s'est donc
assurée d'obtenir le contrôle maximum sur chacune de mes compagnes.
Et c'est de cela que les quelques lignes qui vont suivre témoignent.
Vivant en Suisse, le
pays où les genoux des femmes se touchent, le pays où si vous
n'êtes pas homosexuel ou au moins bi-sexuel, vous n'êtes pas
normal, la plupart de mes compagnes avaient de lourds problèmes avec
leurs pères. J'étais donc rapidement amené à mettre une distance
entre leur père et nous. C'est normal pour un homme qui sait comment ces papas-là traitent leurs filles. De cela ma mère était consciente
et laissait faire, puisque pour elle comme pour moi, ces pères sont
des porcs. Rien qui ne contredise son plan 'matriarcal'. Le livre
'millénium' va d'ailleurs entièrement dans ce sens. La pauvre
Harriet est en fait si gentille, c'est pas de sa faute, elle qui a
tant souffert de son méchant papa nazi, ce qui n'est pas
nécessairement faux.
J'approche donc ma
nouvelle relation en tentant d'apporter à ma compagne des notions de
base sur le respect de soi : 'Il n'est pas normal que ton père
se comporte avec toi comme si tu étais sa maîtresse, il n'est pas
normal qu'il soit jaloux de moi. Les crises de jalousie à mon égard,
le ton plein de reproches, les tentatives de manipulations perverses
et mensongères pour t'éloigner de moi, et tenter de garder le
contrôle sur ton esprit, ça non plus ce n'est pas normal.'
De son côté et
jusque là, ma mère reste à l'écoute de l'évolution de ma
relation, ne fait rien contre cela. Elle se sert de ses relations
dans la ville de Lausanne pour avoir la plus grande oreille occulte
possible.
A la limite, elle
augmente le sentiment de désarroi du père qui perd sa fille, et ce
de diverses façons. En envoyant par exemple des amies à elle poser
des questions douloureuses à cet homme à des moments opportuns.
'Ah, ta fille ne vient pas ce week-end comme d'habitude ? Mais
pourquoi, tu t'entends tellement bien avec elle, c'est merveilleux la
relation que vous avez, etc etc'. Elle augmente ainsi mes
difficultés, la charge sur mes épaules, le danger contre moi.
A ce stade, ma
compagne se retrouve un peu parachutée, larguée. J'assure sa
protection spirituelle, mais dans sa vie des portes se ferment, le
père usant généralement de ses relations pour se venger de sa
fille. 'Tu ne m'aimes plus, je vais te le faire payer'. Et s'il a de
quoi se venger de moi dans ma vie, il ne se prive pas non plus. Un
vieux cochon sur le retour, c'est pas joyeux.
Des portes qui se
ferment, c'est parfois l'occasion de se retrouver à deux et de
discuter, c'est pour cela que dans ces moments, si votre employeur
vous donne tout-à-coup des responsabilités en plus, et que des
anciens amis et ex-compagnes ou compagnons vous contactent, il est
temps de vous demander si tout cela peut-être mis sur le dos du
'hasard'.
Là, si vous avez à
faire à une famille puissante, l'occurrence d'accidents n'est pas à
exclure.
Revenir voir maman
dans des moments comme ceux-là est une victoire en soi pour elle. Et
si par malheur j'avais eu un moment de crise dans mon couple, alors
elle exultait en son intérieur. Là c'est le code comportemental de
l'acte dit 'concluant'. Une question lâchée avec tout le fiel du
singe, mais avec un sourire bien compassionné suffit à faire des
ravages. 'Comment ça va avec Sylvie ?' Alors qu'elle a été
mise au courant des difficultés, ça lui permet de lire la douleur à
peine dissimulée sur votre visage. Et moi, de plus en plus conscient
au fil de mes échecs de sa perversion, j'avais de moins en moins
envie de me confier à qui que ce soit de mes problèmes de couple.
Imaginez la
perversion de ce genre de femmes qui se disent féministes !
Elles sont prêtes à se servir des pires porcs contre une femme
violée abandonnée à son propre sort, pour satisfaire leurs
pulsions vaginales toxicologiques. C'est ce que ma mère a fait. J'en
voyais les preuves à chaque fois, et Tiphaine (une de mes compagnes,
pour ceux qui savent ce qu'est la page facebook 'une vie violée')
n'a pas manqué de me faire remarquer que son papa était étrangement
près de ma mère pour un homme qui n'était pas sensé la connaître,
elle avait raison.
J'avais fait de
cette lutte une question de guerre spirituelle, plus qu'un souhait
d'arriver au bonheur dans mon couple. Au fur-et-à-mesure, il
m'importait plus de savoir que j'arrivasse un jour à coincer cette
guenon satanique, et aussi à véritablement aider mes compagnes,
plutôt que de savoir si oui ou non j'allais arriver à une relation
heureuse avec la femme à qui j'essayais d'expliquer, soit qu'il
n'était pas normal de faire des défilés de lingeries pour les
copains de beuverie de son papa, soit qu'il n'était pas normal que
son père la frappe pour la dissuader de voir son copain, soit qu'il
n'était pas normal qu'il se confie à elle sur ses histoires
d'infidélité, etc.
A ce stade, bien
souvent, ma mère devenait donc plus proche de celui qui devait être
son pire ennemi idéologique, que de celles dont elle aurait du
devenir une alliée au sens du féminisme. En effet, comment
pourrait-elle refuser à une jeune prétendante la présence dans sa
vie d'un homme prêt à tout sacrifier pour son bonheur, qu'il fusse
sexuel, psychologique, émotionnel, religieux ?
Une fois l'isolement
du couple opéré, dans une sphère de méfiance sociophobe induite
par l'augmentation des persécutions par la main dite 'blanche', et
une fois s'étant assuré que je venais encore chez elle ne serait-ce
que pour lui dire bonjour, il ne restait à ma mère qu'à procéder
à l'abattage de la 'petite conne' qui avait osé espérer lui
prendre son Spiderman de prédilection. L'araignée étant un symbole
du règne occulte de ce type de femmes qui utilisent leur vagin comme
une psycho-pompe à âmes humaines. C'est bien une araignée que l'on
trouve devant le conseil fédéral à Berne en Suisse. Spiderman est
donc un homme qui ne fait que traîner sur la toile tissée par sa
maman…
Bon moi de mon côté
j'étais un spiderman muni d'une paire de ciseaux, pas étonnant que
je n'aie fait que tomber professionnellement parlant.
Dans ces moments, il
suffisait alors d'augmenter les menaces sur ma compagne, de lui
déverser un torrent d'insultes occultes à mon égard, de me pousser
à me sentir seul dans ma lutte, à amoindrir l'image que j'avais de
ma compagne, ce qui était accessible puisqu'elle était poussée à
se voir à ce moment comme une victime de viol incestueux, ce qui
n'est pas très glorieux, pour arriver à semer à discorde entre
nous.
Sorcellerie, point
final.
Mais tout ça pour
assouvir les envies vaginales d'une seule vieille femme putride ?
Et les autres alors, elles font quoi ? Elles se rabattent sur
des garçons ? Et moi je fais quoi ?
Je me bats. Contre
une vieille chouette enragée, une furie, etc
Le problème de
cette furie, c'est qu'à force de casser mes relations toujours avec
la même méthode, elle a été obligée de déverser des trains
entiers de malédictions sur moi. Ce qui est assez difficile à faire
sur un seul individu sans que cela ne déraille au bout d'un moment.
En d'autres termes,
après m'avoir fait passer pour un gourou dans un premier temps,
ensuite pour un manipulateur qui passe de femme en femme sans se
soucier de la peine que je leur cause, ensuite pour un paranoïaque,
elle s'est retrouvée à court d'arguments. On ne peut pas être pire
que le diable quand-même. Et au bout d'un moment l'effet s'est
inversé.
Les gens renseignés,
faisant face à un tel torrent de merde, ont fini par comprendre, et
je suis remonté du fond de la mer, comme un bouchon à réaction, et
ai été éjecté dans le ciel, tout en haut. C'est la réputation
inverse. Comme si on avait déversé sur moi de l'huile la plus
sainte, par camions entiers. Mais personne d'autre que moi n'est
responsable de cela (ou Dieu si vous êtes croyant).
Et je trouve en cela
la raison de l'argumentaire d'une certaine véritable 'petite conne'
à mon égard. Oui j'ai aussi eu deux harpies dans ma vie. Et l'une
d'entre elles se plaisait à me dire que du haut de sa sorcellerie,
elle avait le pouvoir de faire croire ce qu'elle voulait à mon
entourage. Je comprends aujourd'hui qu'elle tentait simplement de me
faire croire que le succès croissant que je connaissais n'était dû
qu'à son bon vouloir. Ne pouvant rien faire contre le courant
ascendant qui me poussait, elle tentait de me faire croire que
c'était elle qui soufflait. Technique classique.
Non, elles ont de
leur côté fait tout ce qui était en leur pouvoir pour me dégoûter
de toute velléité de libérer ces femmes, et ce faisant, elles ont
détruit toute chance de jamais pouvoir communiquer avec moi à
nouveau. Elles sont allées beaucoup trop loin dans la soumission
effective qu'elles ont témoigné envers le vrai culte phallocrate,
celui qui considère la 'jouissance' comme seul but dans la vie, quel
que soit le trou dans lequel il s'enfonce. Le corollaire de cette
impureté introduite de force dans le sexe de jeunes filles (ou de
nourrissons), c'est une attitude vaginale aussi débile que son
pendant testiculaire. Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, ce
qui est impardonnable, c'est de faire la guerre à ceux qui, pourtant
prêts à passer l'éponge sur les déviances du passé, sont
déterminés à soigner ce qui reste, en silence, pour tenter de
faire rentrer dans l'arche de l'humanité face à la troisième
guerre, ce qu'il reste à récupérer. Imaginez que face à la
contemplation d'un bouton nucléaire, il est assez malvenu de vouloir
s'asseoir dessus, et non, un ICBM n'est pas similaire à un sexe
d'homme. Et non, une verge n'est pas un outil de destruction du sexe
de la femme.
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