Ceux qui me connaissent connaissent mon bouquin, et mes articles, qui sont sur le blog nazipast.blogspot. Il est temps pour moi maintenant de faire une liste pour préciser les choses, la liste des pires choses que j’ai subies dans ma vie. Il ne s’agit pas de faire long, ou d’écrire un autre livre, mais simplement de citer les choses à la suite, et sans s’attarder. Dans le livre, on pourrait croire que le récit des événements est centré sur mes souffrances au niveau du ressenti personnel, mais ce n’est pas le cas, il est au contraire centré sur l’examen de la psychologie de l’ennemi, au travers de ses persécutions sur ma personne, mais la liste dans mon livre de ces persécutions n’est pas du tout exhaustive, et à part quelques traits d’humour, je glisse en silence sur ce que ça m’a fait, je ne m’attarde pas.
Il est temps maintenant pour moi de décrire, comme dans un rapport de police bien concentré, le récit de ma vie qui fut une course ininterrompue sous leurs bombes. Ce sera à vous par la suite, de vous poser honnêtement la question de savoir comment j’ai fait pour y survivre.
Celui qui prend connaissance de ce rapport verra la main du Diable sans aucun doute, et constatera que son but était bien de me faire disparaître en donnant l’impression que ce serait de ma faute. Le sort subi depuis petit est suffisant à montrer que ce n’est pas le cas, ce n’est en rien de ma faute, et en plus je suis toujours là, et debout, et comme cette suite est continue depuis ma naissance jusqu’à maintenant, avec toujours les mêmes calomnies, on constate facilement que l’injustice est la même tout du long, sans variation aucune. Cela signifie que cette série de coups bas, et très violents, est toute aussi injuste maintenant que depuis le début. Sa psychologie est une morgue abandonnée, il applique la seule chose qu’il sache faire ; dévorer les innocents en prétendant avoir fait autre chose, et en prétendant que c’est de leur faute.
Si vous finissez cette liste vous serez alors obligés de vous demander « pourquoi ?». C’est pour cela que je l’écris cette liste, car elle explique par la négative l’importance qui est la mienne aux yeux du Diable (en tant que cible), et donc aux yeux de Dieu aussi (en tant que combattant).
Pour commencer, j’ai été régulièrement violé pendant mon enfance, jusqu’à mes neuf ans. Pirkko ma pseudo mère, était une sataniste de haut rang, et tenait à orienter mon éducation dans le sens de l’antéchrist. J’ai tous les symptômes classiques, dont celui de ne me rappeler que de très peu de cette partie de ma vie, les neuf premières années. Je suis un enfant échangé à la maternité, les preuves sont multiples. Pirkko était mannequin à Paris, donc nos albums photos étaient volumineux, mais il n’y avait aucune photo de ma naissance, de la maternité, de Pirkko post partum, ou de ma première année. Pour ma « soeur », il y avait trois ou quatre photos de Pirkko à l’hôpital avec elle dans les bras, on y voit bien que Pirkko n’était pas du tout en post partum. Les photos avaient été prises à Paris, où ma sœur est sensée être née, et la coiffure toute hollywoodienne, ainsi que ses soins de visage et sa tenue, donnent une dimension des plus ridicules à cette mise en scène de photographes parisiens.
A mes neuf ans, mon papa s’est arrangé pour me sortir de ses griffes, et me donner une éducation, me remettre sur pieds.
Lui c’était un mec genre vétéran du service action en Algérie, où il avait travaillé dans le pétrole, où il avait rencontré le père Bush (Pirkko me répétait cela avec une forme d’arrogance à vomir sensée me rendre fier), et où j’ai appris par la suite qu’il avait rencontré l’OAS également.
Donc quand je dis « remettre sur pieds », c’était pas avec le dos de la cuiller.
Il aura insisté pour me faire apprendre le judo, puis l’escrime, plus tard le « full-contact », et bien plus tard, en revenant de ma montagne, j’ai choisi de suivre une formation intensive en krav-maga. « Dans la vie fiston, il faut se mettre une culotte en inox ».
Parmi les gens qui m’ont violé, des proches de la « famille », une horreur. Des élites suisses, dont les jeunes trouvent marrant de jouer avec la mort, surtout pour les autres, et encore plus si « les autres » sont des petits enfants. Je passe les détails.
J’ai dû je pense assister à beaucoup de viols, et j’en ai développé une haine profonde et instinctive contre les violeurs. A un an et demi j’avais une tête de boxeur, et quand je « switch », quand mon esprit bascule dans le combat instinctif, je me fais peur moi-même. Je me suis souvent entendu dire à mon/mes ennemis « ne fais pas ça, tu ne sais pas dans quoi tu t’engages », et c’est pas pour frimer.
Dans mes classes d’école je n’ai pas eu que des tendres comme camarades. Un jour une brute de la classe d’au dessus, Christian Pidoux, décide de me casser la gueule, on ne sait toujours pas pourquoi, et je finis par manquer de perdre un œil sur un coin de table. Je n’ai pas reçu les soins à temps, la « maîtresse » ayant jugé que ce n’était pas grave (je me rappelle de la rivière de sang dans le lavabo). C’était l’Ecole catholique « Montolivet » à Lausanne. J’ai eu une infection au cerveau, et ai perdu 40 pourcent de la vision à cet œil. Pidoux des années plus tard commettra le « rapt Lagonico » sur le fils d’une riche famille juive de Suisse. Il sera attrapé au Brésil. La une des journaux. Des années plus tard, ils essaieront de me caser avec la sœur de la victime, Daliah et ses gros seins. Ca ne marchera pas. Ca se voyait qu’elle était lourdement violée. Donc quand je dis « une brute », c’est une vraie brute, très violente. Un enfant adopté du Pérou par un conseiller d’état du canton de Vaud. Tout un programme. Son frère Marc était dans ma classe.
Une ancienne ministre finlandaise de la santé avait affirmé que le premier bébé implanté avec une puce dans le cerveau l’avait été en 1945. Moi j’ai une bosse sur le front, une bosse dans l’os. Mais je n’ai jamais eu d’accident à cet endroit, et pour faire une petite bosse toute ronde comme celle là, il n’y qu’un trauma persistant lors de l’ostéogenèse, donc quand tu es bébé.
Quand l’armée française s’est débrouillée pour me neutraliser ce truc, j’ai eu l’occasion de méditer sur toutes sortes de choses subies au cours de ma vie. En deux mots : aucune chance de se battre contre un individu qui est protégé par celui qui tient la télécommande de votre cerveau. Le dispositif était relié au centre de mon cerveau par un fil conducteur. Je n’ose pas imaginer la douleur lorsqu’ils l’y ont mis.
Un jour Hans me dit « tu sais j’avais un copain qui avait fait l’Indochine, il avait une balle dans la tête », je lui réponds « mais alors il est mort », il me répond « non, non, il va bien, il a juste une balle dans la tête ». Pas de commentaire. J’avais 6 ans.
Le monde médical est complètement mouillé dans toutes ces horreurs, et les premier sont les dentistes. Je passe sur tous les détails au niveau des dents, mais ça m’a pourri la mâchoire, c’est dans l’os avec des métaux lourds, et du graphène sans doute, aussi. Ca fait longtemps qu’ils jouent avec ces conneries, très longtemps. J’ai beaucoup souffert au travers de leurs tortures.
Pirkko faisait organiser des réguliers « pétages de gueule » à mon encontre. Je me retrouve un jour devant un homme adulte de bien 195cm, super baraque, j’ai 11 ans, il me colle une tarte dans la gueule pleine force, ma vessie se lâche par réflexe (pas par peur, mais en cas de choc, ou de mort imminente), il m’en colle une deuxième. Quand je rentre à la maison, elle me questionne (elle m’attendait), joue la vierge effarouchée partie pour me défendre, me ramène là bas, et m’oblige très vite à présenter mes excuses au crétin de l’enfer.
Là on rentre dans les tortures de l’âme, bien pires que la douleur ou les lésions. C’est une déclaration de guerre satanique, la plus haute trahison possible. La couleur est annoncée. Il y en a d’autres, mais j’avais dit « que les pires douleurs » dans cette liste.
Là, t’es conscient de grandir entre les pattes d’un assassin, qui veut de tuer, mais par astuce, sans laisser de traces.
Elle a toujours employé la même méthode, sans variation. Aujourd’hui, j’ai une aptitude à les sentir à distance, les crétins de Bohemian Grove, c’est rigolo. Ils puent en fait, ils puent grave la mort.
Il me faut ajouter que cette femme n’a jamais eu pour moi la compassion naturelle d’une mère, l’envie de savoir à propos des choses qui étaient chère à mon cœur, ou le souhait de passer du temps avec moi, de regarder mes progrès dans telle ou telle discipline sportive. Je n’ai pas pratiqué que des sports de combat. Elle n’avait rien d’une mère, du tout. La nourriture était insuffisante, et de mauvaise qualité, et quand rarement elle la préparait, les pâtes collaient ensemble, et la viande c’était de la semelle. Elle a par la suite vécu dans le château du mari de sa « fille ». La dernière demeure des seigneurs de Savoie, la maison d’Aspres, à Aubonne en Suisse, selon ses dires. Une châtelaine qui ne nourrit pas assez son « fils » ? Avouez que ce n’est pas très crédible.
Aujourd’hui tu me la laisses entre les mains, je ré-invente la torture en 25 volumes. Je n’ai absolument pas peur d’elle ou de ses copains les pédés « rednecks » pétroleux du midwest, j’ai une rage qui défie l’entendement. Jamais je n’aurai cru qu’on puisse être aussi lâche. « Fort avec les faibles, faible avec les forts ». Ce qui fait que quand tu as 15 ans, si tu es toujours debout et que tu te renforces, ils te fuient, même quand ils sont quatre. Ce sont des pédales, pas étonnant que ce soit LGBtruc qui soit dans le collimateur du soulèvement mondial.
Alors rien d’étonnant, une fois que j’ai eu mes treize ans, et que j’ai pu choisir d’aller vivre avec Hans, qu’elle ait passé la vitesse supérieure. Elle a commencé à calomnier, et des années plus tard je me rendrai compte que ma réputation incluait les mots « terroriste, extrémiste, infidèle, violeur, nazi, communiste », et toutes sortes de choses encore. Il s’agissait pour elle de me mettre à dos de la société, seule façon pour une pleutre d’essayer de détruire un jeune homme de plus en plus fort et solide.
J’étais en fait : serviable, protecteur, idéaliste, doux et charmant, la tâche n’allait pas être facile pour elle d’essayer de détruire ma réputation. Alors elle a tout donné dans ce sens.
Et ça, c’est une grande douleur, invisible mais forte. Autant de mal pour rien, juste parce que je tiens à la vie et à l’amour, que je ne plie pas la tête, c’est tout. Lever une armée de médisants contre un seul homme, à cause de son amour de la justice. « Ceux qui m’aiment seront persécutés comme j’ai été persécuté » nous dit le Messie. Aucun doute pour moi sur ce sujet.
Son but c’était de me briser pour me soumettre, me soumettre au Diable, c’est comme cela que ça marche chez les « caca dans la tête ».
Et moi j’étais clairement destiné à passer au travers de tout ça, et rester debout.
Comme je vous l’ai dit, ils voulaient faire de moi un antéchrist, donc j’ai eu leur « formation » si vous voulez, mais j’étais éduqué par Hans, donc j’avais sa formation aussi. Là déjà vous êtes dans un cas particulier, puisque les formation sont en conflit, les « caca dans la tête » mettent assez vite tout le paquet. Alors ils ont abattu Hans quand j’avais 17 ans, et il est mort dans mes bras.
J’ai aussi dû prendre la décision de le « débrancher » sur place, après arrivée de l’équipe en hélico. Ca aussi c’est dur, très dur.
Ensuite ils ont volé son héritage, parlé mal de lui tout le temps, et commencé à machiner ma propre mort, leur « formation » est passée à la poubelle, et les tueurs étaient de sortie, tu les vois de près. Un jour ils arriveront à leur fin, pendant deux heures.
Mais revenons à mon enfance, pour en remettre une couche, j’ai dit que Pirkko était une sorcière de haut rang. C’était la « femme du Diable ». The « mother of darkness », j’ai les éléments suffisants pour dire cela, de source sûre. Donc depuis mon enfance, je suis habitué aux attaques diaboliques les pires, de nuit. Plongé dans la mort, à la merci d’un démon puissant. Paralysie du sommeil, et autres. Souvent surpris d’être encore en vie le matin, vraiment. Je sais aujourd’hui que c’était la femme dans la chambre d’à côte, qui provoquait cela.
Il m’est arrivé d’être en lutte physique, aux prises avec un démon qui voulait me faire passer par la fenêtre, et là je n’étais plus dans mon rêve. Aujourd’hui on les trouve les vidéos de surveillance avec ce genre d’événements, des vidéos certifiées non truquées par le renseignement. Mais quand c’est pas l’heure….. c’est pas l’heure, je ne suis donc pas passé par la fenêtre.
Donc là faut comprendre que ma vie est une course de fond, dans le champ de bataille, pas de pause, que dalle.
Ca a développé l’esprit « tête brûlée »
Ensuite après mes 17 ans c’est devenu l’enfer, si tant est que ce ne l’était pas avant. Dans cette ville maudite, Lausanne, les gens commençaient à me regarder de travers. Beaucoup de gens. Je m’en tapais, je pensais « si t’as un truc à me dire, tu me le dis en face », mais à Lausanne, les testicules sont rares. Le caca abonde dans les têtes. Donc c’est le regard fier que je me déplaçais en ville.
Pirkko m’a fait foirer mes études grâce à des actes illégaux, et à l’uni, j’ai vite compris qu’une équipe était là, et pas pour me rendre service. J’ai donc fait l’école buissonnière, et ai parfait mes talents en terme de ballade en montagne, tout en étudiant assez pour essayer de passer les examens quand-même.
Mes amis, je n’en avais plus de ma vie d’avant, et ceux avec qui je faisais du motocross commençaient aussi à virer mauvais, trafic de drogue, et autres saloperies tournées vers le sexe. Il ne restait pas grand-chose, c’était Verdun sur la fin.
Quand j’ai eu finalement fièrement foiré mes études, je suis allé travailler dans les produits financiers, et là je suis arrivé chez ceux qui allaient organiser un « petit accident ». Cette équipe de drogués qui passaient leur temps à voler les gens, se sont débrouillés pour me fournir un « surf » (pour la montagne donc) avec des fixations foireuses, vraiment destiné à s’assurer que je n’échappe pas. Ensuite ce sont des amis des crossmen qui m’ont invité à aller surfer dans une station que je ne connaissais pas, et un champion suisse de surf s’est arrangé pour m’amener jusqu’au piège, auquel je n’ai pas échappé. 8 mètres de chute pour un atterrissage à plat, j’ai choisi en effet de garder mes jambes. Poumons collapsés, je voyais la mort arriver. Et Dieu est intervenu, et ils se sont ouverts à nouveau. Quand je suis arrivé près de mes nouveaux « amis » j’ai vu dans leurs yeux ce que j’avais à voir, pas la peine d’en parler. Multiples fractures et lésions internes. Je n’ai pas reçu de soins. Mais je suis toujours là, et ce jour là, ils ont du se manger les doigts. J’ai mis mes deux semaines avant de trouver les moyens de me déplacer à nouveau. Ca ne faisait mal que quand je respirais, ou que je tentais de bouger.
Dans ce genre de contexte, les gens se tournent assez facilement contre vous, et pour rien, j’en ai parlé dans mon bouquin.
Puis je me suis mis avec ma hollandaise, et nous avons eu ces deux fils que je n’ai pas vu depuis 12 ans au moins. Nous sommes allés vivre près des Diablerets dans la montagne, une offre immobilière d’une de ses collègues. C’est là bas qu’ils organisèrent un autre de ces pièges, et celui là sera mortel. On parle d’un collègue, un chasseur alpin français ; un petit rouquin avec une barbiche, son pote portugais, et sa pute. Une soiré au resto avec l’équipe des collègues des remontées mécaniques « Glacier 3000 ». On quitte le resto où ils ont lâché une blague pourrie sur Marie et Jésus, que j’ai corrigée. Puis on passe chez le chasseur pour fumer un joint, que je n’ai pas fumé puisque j’ai fait ma « crise cardiaque » avant. Aucune raison, mais crise cardiaque quand même. Je me sentais mal juste avant, sans doute cette dernière part de pizza qu’ils m’ont tendue avec le sourire.
Je commence à me relever pour rentrer mourir chez moi, au final je m’accroupis un moment dehors, c’est déprimant de mourir en montagne en laissant une femme et deux enfants en bas âge, et là le rouquin il passe ses doigts sur ma nuque en la caressant, un habitué de ce genre de moments sans doute. Et là j’entends une voix « lève toi et prends ta croix ». Ca m’a motivé. Je me suis levé. Je passe sur les détails, c’est dans mon bouquin. Mais au final, il paraît que ma femme a fait son CPR pendant deux heures. Moi j’étais pas là. C’est il y a peu que j’ai eu le retour d’expérience. Je me suis vu marchant dans un grand champ de blé, au Paradis, avec de superbes arbres autours, et un chemin plus haut, avec un homme qui marchait, il m’attendait, c’était Jésus.
Merci à Sandy ma Hollandaise, tu m’as évité de pourrir sur place, et c’est un grand service rendu.
Le lendemain je me lève, je me mets debout, c’était comme si rien ne s’était passé, pleine forme, j’y croyais pas.
Alors je commence un peu à pousser…. Et là, souffle au cœur. Ah, bon ben c’est pas cher payé, on va y aller molo, j’ai l’habitude.
Quoi que là, j’ai commencé à trouver ça lourd, ça a commencé à me gaver. Un truc avait changé au fond de moi.
On a assez vite déménagé en urgence, suite aux menaces d’un flic, à qui j’ai poliment retourné ses menaces de pédé des alpes. Et après nous avons eu la chance de vivre en caravane, puis en mobilhome, avec les deux gamins, et le chien, et les chats, en hiver.
Je passe sur les actes de cruauté sur les animaux, c’est trop lourd, mais ça fait mal aussi.
Ensuite le jour où on arrive enfin dans un appart digne de ce nom, ils utilisent les armes modernes et un voisin portugais avec les yeux de sodomite débile pour brancher la suite du programme ; le divorce. Ben oui on s’ennuie, y’a pas d’action.
J’ai même pas envie de parler du sujet militaire ; avec les chars légers qui arrivent dans mon parking, les super pumas qui font des manœuvres de pédés au dessus de moi quand je fais du vélo pour aller au boulot, les F18 qui font des manœuvres au dessus de ma tête, parce que c’est une armée de pédés, ils sont nuls, et je le leur aurai bien montré ça dans leur faces de merdes plus tard.
Mais là j’étais dans la merde.
Alors je suis même retourné chez Pirkko, qui était en fait chez moi, c’était mon appart depuis la mort de Hans, pour avoir le plaisir de vivre avec son mari illuminati de Bavière (vraiment bavarois en plus), qui s’échinait à me bourrer le crâne avec sa PNL de débile. J’en avais rêvé, ce crétin avait été envoyé rien que pour moi. J’ai plusieurs éléments pour étayer ça, mais j’ai dit « une liste courte ».
Pour revenir sur la chute en surf, dans l’état où j’étais je ne pouvais plus travailler, et j’ai perdu mon boulot, ainsi que la retenue sur salaire de 4000 francs environ. J’ai donc demandé de l’aide, 100 balles à ma sœur, et son trou du cul de mari m’a répondu « non, ça t’apprendra à gérer ton argent ». J’ai géré sa mort à la place, à se fils de pute de bâtard américain, mais plus tard, en même temps que l’armée des pédés.
Voilà, donc je me retrouve à bosser chez Pirkko qui me propose de reprendre son commerce tout en suivant une « formation » (là ils me lèchent le cul si vous voulez), n’oubliez pas qu’il ne faut pas que ça se sache. Je crois qu’ils ont commencé à subir des pressions, faut pas pousser mémé non plus. Moi j’y ai vachement pas cru à sa proposition, mais fallait pas que ça se sache non plus.
Il faut dire que depuis la mort de Hans, j’avais appris à éviter tous les « accidents » de la route qui semblaient naturellement se proposer sur mon chemin d’une façon, on va dire, très abondante. Encore une fois, Hans m’avait préparé à cela en me donnant des cours de conduite dès mes neuf ans, que ce soit dans les champs ou sur la neige, avec un gros 4X4, ou dans des utilitaires de 6 mètres dans la montagne, ou avec des véhicules attelés à des remorques, sur des chemins dans le grand nord suédois. Mon chemin dans le motocross, c’était en bonne partie une idée à lui aussi. Donc quand je dis qu’il « ne fallait pas que cela se sache », c’est bien que je préférais que Pirkko croie que ces mensonges fonctionnent, plutôt qu’elle ne continue à m’envoyer « tout le paquet » de ses copains sodomites amoureux du Diable. C’est quand-même plus facile, ou moins dangereux. Imaginez moi donc patron d’un magasin de prêt-à-porter et de décoration d’intérieur….. en plus elle avait déjà fait le coup à ma « sœur ».
Finalement tout se pète la gueule comme d’hab, le divorce avance, la garde des enfants c’est la merde, et je rencontre Tiphaine, avec qui on se lance dans le cheval, puis une ferme équestre, puis je vois que son père la viole en utilisant des drogues, je ressors ma bible (les occultistes m’avaient carrément interdit de la lire sous peine de mort), nous perdons tout, elle me balance un pot de miel dans la gueule, puis nous partons vivre deux ans dans des hôtels. Ca donne l’occasion de les insulter sur fessebouc, puis de commencer mon bouquin, ensuite j’essaie de demander l’asile en Russie, on me répond à l’ambassade en allemand que « si on accepte, ça veut dire qu’on reconnaît que la Suisse est en guerre », je suis obligé de retourner en arrière, et avec Tiphaine, on arrive au final dans le maquis dans le sud de la France. Ca fait des phrases compactes, mais comme ça c’est pas trop long.
Si tout s’écroule toujours dans ma vie c’est pour que Pirkko puisse dire « il ne finit jamais ce qu’il commence, c’est un incapable, il n’est pas digne de confiance ».
On commence à se faire des campements dans cette terre rocailleuse, avec les doigts, par moins 17 parfois, et dès le deuxième campement, on subit les approches des chasseurs « venus parfois de 600 kilomètres » me disent les locaux. Dans ce contexte, nous entrons en relation avec l’armée française, de façon discrète, ou pas. Camion de transmission, hélicoptères tigres, mirages 2000, sections d’infanterie de nuit qui disent coucou, et tout ça. Ca remonte le moral. Et puis ça change des pédés. Le super Puma c’est français après tout.
Pour le coup, ça va être mon tour de monter une petite op avec les nouveaux collègues, et elle sera couronnée de succès. Mais c’est une autre histoire.
A ce stade, les événements ont pris une autre tournure, le vent tourne.
Lorsque je suis descendu de ma montagne, c’était vers 2008, j’entendais « Viva la Vida » de Coldplay. C’était le choc boursier contre les USA.
Lorsque je suis arrivé dans le maquis c’était 2013, le début des premiers hauts faits de la résistance mondiale. J’étais synchrone, j’étais donc au bon endroit, au bon moment.
En Suisse j’ai subi une mort sociale en plus du reste, ils ont changé mon acte de naissance, qui était déjà faux au départ. Quand je me suis retrouvé dans les buissons, j’étais donc prêt pour tout ce que Dieu allait me montrer, me dire, afin de me préparer à ce que j’allais avoir à faire. La petite opération qui va bien.
Il m’a simplement débarrassé de tout ce qui avait quoi que ce soit à faire avec les banquiers qui se tripotent l’anus. Ca m’a fait du bien. Et après que certains implants soient tombés, que mon sang ait été nettoyé, et bien je ne me suis jamais senti aussi libre, aussi heureux, aussi fort. Eux voulaient encore me dégommer, et leurs chasseurs affluaient, mais en fait, leur ennemi leur échappait, se renforçait, et organisait sa riposte, ils devenaient verts de rage.
Bon, mais c’est pas pour dire que c’est facile de se déplacer avec 40 kilos sur le dos, par 40 degrés sous le soleil, ou de nuit, sans faire aucun bruit, et en regardant partout pour essayer de déceler un habit de camouflage, ou une lunette de précision. C’est très dur.
Merci à Tiphaine d’avoir tenu, elle était devenue très belle, j’étais fier. Elle a beaucoup travaillé, elle m’a été d’une grande aide pour la mission.
A ce stade, vous aurez compris que c’est atroce de se faire arracher chacune de ses compagnes. Mais pour eux, il fallait continuer à faire comme cela, histoire de faire croire à l’histoire « homme à femmes infidèle ».
Pendant 10 ans je n’ai pas REGARDE une femme autre que ma hollandaise.
Vous aurez bien de la peine à dire que je ne suis pas un homme de Dieu, à mois de recracher l’argumentaire de Pirkko.
Non je n’ai pas eu le choix quand j’étais petit, je n’ai pas choisi mon destin. Mais quand j’ai eu le choix, j’ai tout remis dans la lutte, je ne me suis pas mis à l’abri. Un jour en opération, à la radio FM j’entends le leader d’un groupe de hard rock qui sort une phrase hors contexte en interview ; « salut à celui qui est sorti des enfers, et qui a décidé d’y retourner ». Une vision un peu simpliste de décrire la douleur dans laquelle j’ai été d’accord de tremper encore une fois, dans le but d’accomplir cette « petite OPEX ».
C’est quoi souffrir pour vous ? C’est quoi tout perdre, subir l’injustice ? Sans Dieu je serais mort ou fou. C’est ce qu’ils voulaient obtenir.
Raté, c’était mon tour de répondre maintenant.
Puis une fois les contacts pris, les idées générales établies, je suis parti, pour six mois d’OPEX.
Je passe sur la description, c’est secret défense, et ils ont plus souffert que moi, donc c’est pas dans la liste de toute façon.
Il y a juste eu l’empoisonnement au fluorhydrique, et à part les dents, c’est le marteau dans l’oreille interne qui a mangé, d’où les 40 pourcent en moins d’un côté. Ca fait pas cher l’occultiste abattu. Merci et à la prochaine, fils de pute. Ma vie était une telle horreur que partir à la guerre m’a semblé être des vacances. C’est dire !
Ces gens étaient ceux qui dirigeaient le monde à sa perte, et avec ce genre de petite op conçue dans les buissons, nous avons changé l’avenir du Monde. C’est pas compliqué. Et là, uniquement là, je comprends pourquoi autant de souffrances dans ma vie.
C’était incroyablement dur, souvent atroce, mais une fois que le vent tourne, alors le ciel se dégage.
Ces souffrances me donnent une capacité à comprendre, soutenir et soigner, des gens qui ont subi des choses qui les rendent inatteignables au commun des mortels. Je n’aurais pas pu sinon. Elles me donnent aussi la capacité de plonger dans la psychologie des ennemis de Dieu, car la plupart des gens ont de la peine à croire à autant de mal, c’est une de leurs stratégies de camouflage.
Ces capacités n’enlèvent rien à mon envie de vengeance.
Et je suis ainsi devenu tellement plus fort qu’avant. C’est cher payé, mais je suis debout, et Dieu m’a dit « regarde ce que j’ai fait de toi ».
Au retour d’OPEX, je me trouve embringué dans une histoire avec un taré qui prétendait aider les lanceurs d’alertes, un fou rouquin qui se prend pour un roi, et qui pendant 3 mois me joue son truc de sataniste façon « ouh ouh je te fais peur avec des hurlements, des grands cris, et ma sale gueule de pédé ». Tiphaine et sa copine ont fini par avoir peur et partir, je suis resté, et finalement le combat a fini par avoir lieu. Il a agi en traître, comme tous les pédés, et j’ai gagné le combat. Il y a les cicatrices maintenant. Ce qui était dur, c’était la trahison, l’ambiance infernale, la saleté. Je me permets de penser que c’est dans cet endroit où il m’avait invité à venir, que certains aspects du « Bataclan » ont été décidés.
Suite à cela je rencontre Caroline, nous vivons dans un 9 mètres carrés dans le 15e, puis dans l’appart que lui avait loué la fille du Général de Villiers. Je m’interpose entre elle et son papa de merde (encore un taré avec de la merde dans la tête), il essaie de m’agresser, frappe sa fille et finit par dire « bon ben si c’est comme ça alors prenez là ». Chose faite, elle descend de Louis11, ça m’arrange.
Dur d’être vilipendé par un couple de bourges débiles dont la femme se dépêchera d’aller rencontrer Pirkko, pour aller ensuite colporter les mêmes rumeurs qu’elle à mon encontre. Bon, ces abrutis ont pris au moins trois doses, donc de savoir que les ennemis de la France, et de ma gueule, se tirent une balle dans la tête, pleine de caca de toute façon, ça m’arrange. Pour une fois que c’est pas moi qui les enterre.
Mais c’est dur. C’est dur de protéger des femmes pour constater que la « bonne » société crache de la merde sur vous. C’est du blasphème, vous faites le bien et ils disent que vous faites le mal. Mais constatez que ça aide beaucoup à soulever un peuple, parce que les gens finissent par savoir, et quand ils constatent l’ampleur du mensonge sur ceux qui ont le plus résisté, ça forge des vocations, ça remplit les bureaux du recrutement. Comment Dieu fait-il pour motiver les gens, si ce n’est en choisissant les plus aptes au combat pour montrer l’exemple ? Le Saint Coran, dit de ces gens (dont je fais partie), qu’ils sont « endurants ».
Je me trompe ?
Et puis il y a certaines amies de ces femmes qui s’avèrent au final servir l’ennemi, vous ne les avez jamais vues, mais elle approchent votre femme et lui disent « tu sais j’ai entendu que ton homme en fait il est comme ceci ou comme cela ». La femme, elle est bien placée pour savoir que c’est faux, alors elle répond « euh, non non, il est pas comme ça ». Et puis après, l’amie elle ne revient pas, elle ne répond pas au téléphone, mais la femme, elle, elle revient du rendez vous, et elle vous raconte tout, et là, c’est la victoire…. Mais ça fait mal. Alors imaginez une VIE ENTIERE à subir ça. Que ça. Uniquement ça. Ca semble irréel non ?
Mais avouez que ça donne une très grande expérience dans la compréhension, de « comment ça marche en fait », dans cette société dominée par des crânes pleins de merde.
Quand on fait beaucoup de bien, il est inévitable que votre réputation devienne bonne. Dans mon cas j’ai une sphère de malédiction autours de moi qui empêche cette réputation de me toucher. Des remarques amicales, des « bravo bien joué », tout ça, c’est pas pour moi, à part quelques rares exceptions. Des fois les collègues me filent un rencard, et on se descend quelques verres dans un café ici ou là. Ce sont de beaux moments. Mais ceux qui participent ont toujours un certain calibre, parce qu’il n’est pas rare que ça tabasse assez vite, dans les alentours, ou dans leur vie après. Ce sont des rendez-vous, mais pas pour les faibles.
A l’heure qu’il est, on commence à avoir le dessus, et nous sommes capables de sécuriser le secteur, et puis ce sont des solides, comme moi, si ça tabasse, c’est toujours l’occasion de rigoler un peu. L’action, on aime ça nous.
Mais bon, c’est quand que ma vie va être sortie de cet isolement ? De cette malédiction ? Histoire que les gens comprennent que si le monde a été sauvé de la destruction un certain nombre de fois, c’est au prix du sang versé ? Combien de mes collègues sont morts ? Morts pour vous ? Moi j’ai même le privilège d’être passé par là voyez vous. Je pourrais même avoir mon nom sur un monument aux morts….
Et oui ça arrive ce genre de choses, les allers retour rapides au paradis. Même Stéphane Bern en a parlé sur Europe 1 !
Donc voilà, un premier regard sur les points les plus durs. Les tortures de l’âme sont les plus atroces, le viol de votre enfant, de votre femme, ou même la torture de votre petit prématuré, ou de votre aîné. La trahison de ceux que vous aimez. Ce sont les spécialités des « crânes pleins de caca ». Ils adorent faire cela, car ils sont vides à l’intérieur, et sont jaloux de tous ceux qui se tiennent debout. Ce sont des merdes, à cramer au lance flamme. Toute votre élite européïste, c’est cela. Tout ceux qui veulent « changer l’Europe de l’intérieur », sachant ce qu’elle a fait à la France pour le compte de Washington, c’est cela, des traîtres diaboliques, des crânes pleins de merde. Ils ne vous parleront jamais des ballets écarlates, de Dutroux, du réseau Coral, ou de Torro Bravo. Si vous ne parlez pas de cela, vous êtes comme Pirkko, vous n’êtes pas dignes de prétendre vouloir le bien de la France, vous êtes des traîtres.
J’ai clairement été choisi par Dieu, avec d’autres, pour m’interposer entre le Royaume de France et de Navarre, et cette bande de brutes nées pour être prises et détruites. Je suis forgé dans le feu, et dans la mort, pour proclamer le règne du Roi des Rois, Jésus de Nazareth, et les cafards qui sont ses ennemis seront écrasés. Ce sont mes ennemis à moi aussi, et je n’ai pas vraiment eu le choix.
Je laisse de côté des dizaines de provocations au combat par des champions de ceci ou de cela, des dizaines de passages en force avec des véhicules militaires pour impressionner, des dizaines d’empoisonnements légers en boîtes de nuit pour donner l’impression que j’avais « trop bu », des dizaines d’accusations gratuites et injustifiées en public, destinées à saquer le moral. La liste doit être courte, il s’agit de proposer un truc comestible, pas de faire vomir.
Je finis avec une note positive : tout cela n’aura pas empêché Dieu de me bénir avec des compagnes qui furent des femmes très belles, fortes, intelligentes, combatives. J’ai pratiqué toutes sortes de sports, mon papa m’a appris toutes sortes de choses utiles au combat. J’ai fait le tour des USA en camping-car à neuf ans, j’ai fait le « tour de Suède » en régate, appris à camper aussi au même âge. J’ai appris la pêche très jeune, le vélo à la dure, plus tard à tirer comme il faut, j’en passe et des meilleures. On ne peut pas dire que je me sois ennuyé. J’ai surtout appris à repérer un connard de loin, et il m’a aussi donné les éléments nécessaires à la compréhension de ce que ce serait d’être un « prince en guerre », après sa mort.
Vous remarquerez que je ne me répands pas dans la description de ce que c’est que de faire la guerre, cela ne concerne en effet pas cette liste, car en guerre, les douleurs, c’est « de bonne guerre », c’est normal, c’est fait pour ça. Cette liste c’est pour décrire tout ce qui est absolument inacceptable, pas ce qui est normal. Mais il est vrai que les souffrances de la guerre se sont encore ajoutées à tout cela.
Comprenez donc qu’au sortir de ces horreurs, toujours debout, je ne crains vraiment pas tout ce qui pourrait venir par la suite. En effet, rien ne peut être pire que la période dont nous sortons, et au milieu de cela, il sera difficile de trouver beaucoup plus aguerri que moi. Il est temps de lever la tête, il est temps comme le dit Caroline « de leur mettre leur nez dans leur caca ».