Nous nous croisons dans la rue, vous, un homme/femme (non, pas
Brigitte, un homme OU une femme), élégant/te, moi, un moi, comme
tous les jours. Mais OOHHH! quel est cet être? Peut-être un
militaire?! Ou pire, un policier en civil! Un ancien gendarme!
Catastrophe!
Mais, euuh, pourquoi
catastrophe? Vous êtes en retard sur la déclaration d'impôt? Vous
cultivez de la Marie-Jeanne à la lampe à sodium entre les
chaussettes qui sèchent?
Nan, sans blague,
vous avez un rapport problématique à l'autorité? Pourquoi ce
regard dénigrant, un peu gêné, exprimant légèrement la jalousie?
Ca en fait des
questions tout ça, et le but n'est pas forcément d'y répondre plus
que de savoir en quoi vous trouveriez que Hugo Boss ne sait pas bien
couper ses uniformes, ses complets pardon.
C'est peut-être
l'ordre qui vous dérange, vous êtes sans doute un révolutionnaire
alors, un gilet jaune. Vous êtes pétri de l'esprit des lumières,
de liberté et de justice, un vrai Michel Onfray dans toute sa
splendeur. C'est beau, mais c'est faux.
Napoléon lui était
pourtant tout le temps en uniforme. Il aimait l'ordre, dans sa
révolution.
Et quand les gens le
croisaient, peut être avaient-ils peur, mais ils étaient pourtant
pétris d'admiration, devant le petit teigneux très 'successful'.
Alors dans cette
fosse à purin qui nous sert de société, comment cette larve
anti-militariste a-t-elle vu le jour?
Moi je le sais,
depuis plus de dix ans que je fouine dans cette motte de viande
pourrie grouillante et mélangée de merde qu'est le dossier
générique nommé GLADIO (regardez le film 'la mémoire dans la
peau' centré sur le personnage de 'Jason Bourne' pour continuer à
éduquer vos cerveaux de la façon minimaliste que vous préférez) .
Mais au niveau
humain basique, simple, ça veut dire quoi 'tout le monde déteste la
police'?
Contester le système
en place, pédéraste, zoophile et écocide, c'est comme faire pipi
le matin, c'est inévitable. Mais faire croire que renoncer à ce
système équivaudrait à se jeter par la fenêtre, c'est un peu
prendre les cochons pour des poissons volants. C'est pourtant ce que
nos défroqués du conseil de censure fessebouq veulent nous faire
croire. 'Ca a toujours été comme ça, la terre est plate, et le
soleil des réseaux sociaux vous éclaire du lever au coucher'.
Cette doctrine
consumériste qui rejette l'uniforme national dans ses trois
couleurs, que cela fusse en France, en Allemagne, ou en Italie,
trouve sa source dans la pensée de Bernays, pour prendre cet
exemple. C'est dans le 'OK Booming' post 68 que l'asticot en rentré
entre les deux cuisses.
Notez bien qu'en
attendant, ces mêmes porcs qui volent ('pigs on the wing' de Pink
Floyd décrit bien cette mutation chimérique) ne se sont pas
abstenus de promouvoir leurs uniformes LGBTQR- sur vos grands écrans.
Etre anti-militariste en France, c'est faire le jeux de Mac Carthy,
l'être aux US dans les années 60, c'est une règle morale
minimaliste si on aime les arbres, les Vietnamiens, et les vétérans
de sa propre armée.
Donc si je reprends,
quand vous croisez un militaire, vous croisez quoi? Vous croisez un
civil, un civil qui au lieu de faire des portes-manteaux de 7 à 11,
se tient prêt à mettre sa vie en danger pour que l'on boive du
cidre au Mont St Michel, et pas du coca, sachant que boire du coca
là-bas, c'est garantir la béance anale de vos fils et vos filles
pour les 50 prochaines années, et ce jusque dans les Alpes de
Haute-Provence. Si vous ne faites pas le rapport, sachez que vos Ip
sont bien surveillées.
Je répète, un
militaire, une militaire, c'est une personne humaine comme vous et
moi (ah non pas moi j'oubliais), qui a une qualité de l'esprit qui
prépondère sur les autres, et cette qualité c'est le courage.
Cette qualité est souvent appondue à une autre, qui est la
conscience du danger. Cette apondicité (apondance aponditude?)
covalente solide instille inévitablement le sentiment d'urgence dans
la boîte crânienne du bipède en question et présentement décrit
dans les ligne que vous constatez présentement. D'où le regard
parfois inquisiteur surplombant une bouche dont les plis latéraux
ont tendance à regarder vers le bas, trahissant le plaisir un peu
morose et matinal de faire des pompes, ainsi que l'accoutumance à la
douleur, et au fait de faire face au danger dans son coulis de peur
et de désespoir continuellement surmonté.
La répulsion
ressentie envers cet uniforme, fusse-t-il de tissu ou de peau, car
comme le disait un collègue, l'uniforme, c'est avant tout le sens du
devoir, ne peut alors trouver sa source que dans une dose de
frustration et de jalousie tout à fait malsaine. Le regard
inquisiteur trouve alors toute sa justification dans ce croisement
inopiné et aléatoire de bipèdes sur un trottoir. 'Mais dis moi,
petit con, serais-tu un alevin de morue pas fraîche?', un traître à
la nation?
Sachant que la
propagande américaine a choisi Marduk comme guide spirituel (le dieu
de la guerre sans aucun amour sincère, la guerre pour le fric et la
chair gratuite), et que les lois de la guerre ont fini dans la fosse
à purin, le militaire qui déambule à bien souvent à faire à une
populace très majoritairement, au niveau des grandes aglomérations,
soumise à la pensée unique formatée par une bande de pédérastes
multi milionnaires façon Epstein, Clinton, et compagnie. Son
inquisition de votre face un peu porcine est non seulement justifiée,
mais relève la plupart du temps d'une question de sécurité
nationale.
En d'autres termes:
' êtes vous inconsciemment un serviteur de cette société
arboriclaste? '
deuxième question '
allons-nous pouvoir faire quelque chose pour vous sortir cet asticot
élevé aux stéroïdes qui vous bouffe cette matière spongieuse qui
vous sert de siège de la conscience? '
Faites des pompes.
Ou pas.
Il faut dans vos
têtes confronter 'tu ne tueras point' avec 'une fois qu'ils ne font
que ça, vais-je les laisser manger mes enfants avec une sauce
béchamel et des frites?'
Ceux qui savent que
le canibalisme n'est pas une vue de l'esprit ni une théorie
complotiste se divisent en deux catégories: ceux qui se sont déjà
engagés, et ceux qui se balladent dans la rue en dévisageant un peu
trop les Forces de l'Ordre. C'est la raison pour laquelle nous
arpentons vos rues (nos rues) en vous cherchant vigoureusement tous
les jours de notre vie.
L'uniforme est le
sujet de la fièrté d'une nation, il recouvre et protège ce que la
nation a de meilleur. Mais il décore surtout le seul et unique moyen
(après Dieu le père) de la défendre et d'en garantir la survie.
Nier cela
reviendrait à commettre un suicide. Ce serait un jeune garçon qui
voudrait tuer son père. Disons-le, ce garçon-là aurait tout
intérêt à être très discret.
Le rejet de
l'autorité ne peut avoir été instillé que par un ennemi qui chez
lui se garderait bien de laisser quiconque penser cela, nous sommes
d'accord j'imagine. Ou pas.
Il y a des lois de
la guerre, c'est inévitable. Car toutes les guerres ont une fin. Il
n'y a que le crâne malade et pourris d'asticots de crétins comme
certains présidents américains, ainsi que de leurs conseillers
bernaysiens, pour avoir inventé le concept de guerre perpétuelle,
tout comme le concept de guerre contre les médicaments 'War on
Drugs'. (et fermez là si vous ne comprenez pas, vous faites trop de
bruit quand vous ne réfléchissez pas)!
Les lois de la
guerre découlent de la prise de conscience du fait qu'un jour ou
l'autre, les actes commis finiront bien par sortir au grand jour.
C'est pour cela
qu'il vaut mieux se battre pour la justice que pour une vieille morue
dont l'entre-jambe a nourri des générations d'asticots. A vous de
voir.
Comprenez bien que
parvenus à un tel degré de puanteur (que vous auriez espéré
suffisant pour nous détourner de l'objectif), il n'est plus vraiment
question de motivation et de courage, nous en sommes rendus à une
simple question d'hygiène. Franchement, vous projeter au travers de
la fenêtre dès le troisième étage est une option qui vous
permettrait d'éviter des souffrances trop longues. Loin de moi
l'idée de vous inciter au suicide, que nenni, mais il me semble de
salubrité publique de vous indiquer à vous les pédérastes et
autres scatophages, que l'équipe de gens outillés qui vous
recherchent ne sont pas animés envers et contre vous que des
intentions les plus douces ou patientes, et je n'invente rien. Vous
êtes tellement coagulés qu'il n'est nul besoin de vous garoter
quand on vous allège de quelque membre pour vous délier la langue.
Imaginez un instant
un père de famille dont un enfant aurait été mangé dans telle ou
telle soirée 'hyper select', et dites moi de quelle genre de
vengeance il aurait besoin lors de la mise à mort de son adversaire,
pour étancher sa soif de violence. Enlever la peine de mort, c'est
castrer la justice. Elle n'a dès lors plus de sens, et c'est bien
depuis ces années là que nous avons constaté une explosion de la
pédérastie.
'A l'époque il y
avait des idiots du village, aujourd'hui nous avons des villages
d'idiots' (sagesse fessebouq)
Considérez qu'un
chercheur en mathématiques pures ne peut s'adresser à un enfant de
5 ans sans simplifier son discour. De la même façon, si je rentre
avec des collègues dans un appart' de dealers d'organes juvéniles
et de drogues dures, je vais devoir durcir le ton quand je vais leurs
demander poliment de ne pas aller chercher le fusil d'assaut sous le
canapé.
La peine de mort
s'est appliquée malgré le fait qu'elle ne faisait plus partie du
ratelier Français. Chassez le naturel, il revient au pas de charge,
et je suis bien placé pour le savoir, j'arrête pas de changer de
chaussures.
La torture
également, découle des urgences relatives de telle ou telle
situation. Les manuels militaires n'en parlent pas, mais si je vous
le dis, c'est bien pour faire monter la sauce en neige.
Exemple: vous
entrez, toujours avec les mêmes collègues souriants, dans un appart
où se trouve un sympathique occupant qui dispose d'une télécommande,
qui, imaginons le pour rigoler un instant, peut déclancher des
diffuseurs de gaz neurotoxiques dans TOUTE LA VILLE. J'ai pas dis
tout le pays, même si c'est encore plus drôle, mais on est pas là
pour rigoler, on est là pour travailler, malgré le comique de la
situation. Bon, ce gars là il a pas envie de parler, et lui tirer
une balle dans la tête c'est lui rendre service, parcequ'il n'est
pas trop attaché à la vie, aussi surprenant que cela puisse
paraître. Alors, vous lui pétez les os de la main un par un (avec
le marteau que vous avez précautionneusement apporté), ou vous
attendez l'ouverture automatique des dispositifs (le fil avec le
petit contacteur qui a fait 'clic' quand vous êtes rentrés)? TOUT
LE MONDE VA MOURIR. Vos lui pétez les mains oui ou merde? Juste une
question. Ca tombe sous le sens non? Il ne s'agit justement PAS de le
tuer, bien au contraire.
Il s'agit de sauver
la vie de TOUS LES OCCUPANTS DE LA VILLE, crétins compris. Juste les
os de la main. Alors, la torture? Toujours pas? Si vous avez
l'intention de répondre non, faites le par écrit et sur votre
propre blog svp, en spécifiant bien que vous laisseriez TOUT LE
MONDE MOURIR de peur de vous saloper les menottes. La pendaison haut
et court est une forme de torture, la peine à perpétuité aussi.
Faire croire aux gens qu'ils 'gagnent leur vie' alors qu'ils sont
empoisonnés par 'pig farm A' toute leur vie en est une autre. Avoir
réussi à faire croire aux gens que 'dieu n'existe pas', est la pire
des formes de torture.
Vous commencez à
comprendre ce qu'est le blasphème? Vous tiendriez face à homme qui
mangerait un enfant devant vous?
Vous voyez, c'est
pour cela que parfois, en croisant le militaire, vous pourrez
percevoir un peu de dédain dans son regard, particulièrement si
vous êtes un philosophe à deux balles, du genre de ceux qui
glausent sur les plateaux télé, parlant de droite et de gauche,
sans même savoir où est le juste milieu.
De Gaulle le disait,
la politique des partis est un non-sens. J'ajouterai qu'être
politique sans être militaire, c'est se foutre de la gueule du
monde. Je suis pompier mais j'ai peur du feu. Je vais diriger des
militaires, mais je suis un couard. Je vais m'occuper des zones
intimes des femmes, mais je glisse mon phallus tous les jours entre
les fesses de petits garçons (gynéco?). Je suis juge, mais
j'accepte les cadeaux.
Vous pensiez que la
corruption est une question dont on peut parler à la télé en
restant assis? Vous êtes partis pour une belle ballade en train
fantôme.
Vous me trouvez
agressif? Impoli? Extrême? Je suis la version polie et patiente de
ceux auxquels il faudra répondre très gentiment et prestement quand
ils vont venir frapper à votre porte pour vous poser quelques
questions.
Je vous renseigne,
nous sommes à la recherche des derniers agents infiltrés dans nos
sociétés, dont le but était le vrai, le fameux 'grand reset'. Si
vous pensez que le conseil d'administration de Pfizer s'occupe de
guérir les gens, c'est que vous ne prenez dans les médias que ce
qui est agréable à vos oreilles de porc, devant son auge, pleine de
merde. Pfizer a été condamnée pour CHARLATANISME a de nombreuses
reprises. Crétin.
Je tiens aussi à
préciser à certaines personnes, que le qualificatif de
'complotiste', est une insulte sur le plan légal, et que bientôt va
venir le temps de payer tout ce que vous nous avez craché à la
figure pendant que nous étions occupés à vous sauver la vie. Dans
la vie, il ne suffit pas de recracher ce que l'on vous force à
croire, il faut être intelligent, sinon c'est qu'on est con, vous
comprenez, ou pas? Essayez d'apprendre à être courtois rapidement.
Les os de la main ne se laissent pas casser uniquement pour des
raisons d'urgence absolue.
Rétablir l'honneur
n'est pas une question d'égo, c'est une question de sécurité, et
c'est bien celle-là que 'captain america' et sa clique de crétins
homosexuels ont infiltrée, entammée, et bien rongée, en bon rats
dégueulasses qu'ils sont. On ne laisse pas ses enfants vous insulter
le matin dans la cuisine sans s'oocuper prestemment de la
problématique avec vigueur (pas besoin généralement de leur péter
les mains à ceux-là).
Donc on va remettre
de l'ordre dans cette société, et j'arrêterai d'être cynique et
grossier quand les porcs vérolés d'asticots par tous les orifices
arrêteront de dévisager les forces de l'ordre d'une façon qui
donne envie de manier le marteau.
Non je ne vous
incite pas à sauter par la fenêtre, car vous pourriez
accidentellement tuer un civil, je ne fais qu'insister sur le fait
que vous allez beaucoup souffrir avant de sortir votre dernier
souffle. Je trouve beaucoup plus drôle de vous voir attendre la mort
avec de plus en plus d'angoisses, avec les jours qui passent.
Comité de censure
fessebouq, laissez-moi rire.
Des militaires d'une
puissance étrangère, déguisés en civils, et dont la doctrine
militaire ressemble à une montagne de caca. Vous êtes de la merde,
et lentement, jour après jour, nous vous éliminons de la surface de
cette planète.
Vous dénoncer comme
je le fais est un plaisir, puisqu'il suffit de dire la vérité et
c'est par définition inattaquable juridiquement. Imaginez: 'monsieur
le juge, je mange du caca et j'ai pas envie qu'on m'insulte en le
disant, c'est de la diffamation'. Elle est jolie la fenêtre, c'est
du double vitrage? Ca va les os de la main?
L'histoire regorge
des différentes façon que l'on trouve d'évacuer les crétins de
votre espèce, et ça fait longtemps que je l'ai compris, mais je me
suis retenu 15 ans de vous le dire. Voilà, c'est fait. Voyez, la
vengeance est un plat qui se mange froid. Là c'est tout un buffet à
gogo. Dommage que pourri comme vous l'êtes maintenant, on ne peut
même plus vous donner aux requins, ils sont gavés d'ailleurs, tout
comme nous, on est gavés, pour d'autres raisons.
Le paradis n'est pas
accessible aux timides, est-il écrit dans la Bible. On peut
considérer qu'un pays en guerre regroupe TOUT le peuple sous sa
bannière. TOUS doivent participer de la résistance SOLIDAIRE. On
peut évoquer le concept de solidarité pour comprendre cela, ou même
celui de non-asistance pour en définir l'opposé. Participer de
cette société sans la dénoncer haut et fort du matin jusqu'au
soir, et du soir jusqu'au matin, c'est la cautionner par acte
concluant. C'est la notion de complicité. On se trouve l'excuse
qu'on peut pour expliquer sa lâcheté. L'anti-militarisme n'existe
pas, tout comme les cochons qui volent.